Il y a de l'eau dans le gaz sur les marchés pétroliers. Depuis le début de l'année, le cours du baril de brut est tombé, et c'est une première depuis 2009 -soit le plus fort de la crise, sous les 50 dollars.
Que ce soit à Londres ou à New York. Les analystes, Goldman Sachs en tête, parient désormais sur un prix de référence sous les 40 dollars à un horizon de six mois et pour une moyenne annuelle autour de 50 dollars. Pire, par la voix du ministre de l'énergie des Emirats arabes unis, Suhaïl Mazroui, l'Opep avoue désormais son impuissance à "protéger" les cours, dont la dégringolade (-55%) est constante depuis juin. L'Express fait le point sur un marché qui semble devenu fou et où des influences contraires sont à l'oeuvre.
Source: lexpress.fr
Que ce soit à Londres ou à New York. Les analystes, Goldman Sachs en tête, parient désormais sur un prix de référence sous les 40 dollars à un horizon de six mois et pour une moyenne annuelle autour de 50 dollars. Pire, par la voix du ministre de l'énergie des Emirats arabes unis, Suhaïl Mazroui, l'Opep avoue désormais son impuissance à "protéger" les cours, dont la dégringolade (-55%) est constante depuis juin. L'Express fait le point sur un marché qui semble devenu fou et où des influences contraires sont à l'oeuvre.
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