Dans cette phase si particulière de monté des craintes et des peurs concernant le gaz de schiste, il serait intéressant de consacrer un topic à toutes les questions autours de ce sujet, afin de constituer une véritable base de connaissance sur le sujet. Toutes les questions sont ouvertes et chacun peut y apporter les réponses dans les limites de ses connaissances, de son expertise et de ses recherches.
1. 2 sites pilotes ont été lancés concernant le gaz de schiste. Un troisième est prévu. Les forages exploratoires sont verticaux et utilisent la fracturation hydrolique.
2. La fracturation hydrolique nécessitait au tout début 200 substances chimiques, dont certains sont cancerigènes. Actuellement, Sonatrach utililse une dizaine de substances chimiques, utilisés dans l'industrie agro alimentaire. Il serait intéressant d'en connaitre la liste exacte.
3. La nappe Albienne contient 45000 milliards de m3. Elle peut produire 7 milliards de m3 par an. Actuellement, 3 milliards par an sont utilisés pour tout les usages, 70% pour l'agriculture. Le renouvellement de l'albien dépend de la pluviométrie et des infiltrations et est évalué par l'Observatoire du Sahel et du Sahara à 1.4 milliards m3.
4. La fracturation hydrolique nécessite de grandes quantités d'eau, évalué en moyenne à 15000m3/jour. L'eau peut etre réutilisé pour plusieurs fracturations, dans le cadre d'un retraitement dont le coût est à évaluer et jugé important. En forant 30000 puits sur 25 ans, 200 millions de m3 par an est sous tirée. Il serait intéressant de savoir si l'eau est dépoluée, ou stockée et quel risque ce stockage génère vis à vis de la nappe Albienne.
5. La nappe albienne est à une profondeur se situant entre 50 à 2200 m. La roche mère qui génère le gaz de schiste, elle se trouve entre 2000 et 3000 m. Il est nécessaire d'identifier l'epaisseur des couches géologiques entre la nappe Albienne et la roche mère exploitable.
6. La technique d'exploitation du gaz de schiste consiste à 1 specificité, par rapport à l'exploitation conventionnelle, une pression de 600 bars nécessaire pour fracturer la roche mère à 2000m. Ni la technique des puits horizontaux, ni celle de la fracturatin ne sont spécifique au gaz de schiste. Ces 2 techniques sont utilisé pour l'exploitation des gisements conventionnels, comme ceux non conventionnels.
7. Les risques de fissure du à la fracturation dans le désert algérien sont nuls. Du fait des profondeurs concernées. Le risque de fuite est du à des failles sismiques dont l'étude est obligatoires pour l'exploitation. Si des failles sont présentes, la pressiorisation des puits serait ineficace, et l'exploitation de surcroit.
8. Les risques de fuites au niveau du puit sont plus importants dans le gaz de schiste, du fait de la pression utilisée. Ce risque peut etre maitrisé à travers de plus gros moyens de cimentation des puits, bien plus draconiens qu'un gisement conventionnel.
9. La durée de vie d'un puit de schiste est bien inférieur qu'un puit conventionnel, par la nature meme du gaz qui n'estpas ssue par simplepressiorisation, mais par des fracturations qui aujourd'hui sont constitué de 20 bras horizontaux autours d'un puit vertical qui vont jusqu'à 1km.
10. L'exploitation du gaz de schiste nécessite une activité de forage permanente pour etre rentable. Le cout d'un puit tourne autour de 15 millions de $ en 2014.
11. La phase d'exploitation est réglementée et ne peut débuter qu'après 11 ans du début de la phase exploratoire.
.....
Si parmi les élément exposés, il y a des imprécisions, la configuration de ce topic permet de les corriger. Chacun pourra, compléter, préciser, voir modifier les point eronés.
1. 2 sites pilotes ont été lancés concernant le gaz de schiste. Un troisième est prévu. Les forages exploratoires sont verticaux et utilisent la fracturation hydrolique.
2. La fracturation hydrolique nécessitait au tout début 200 substances chimiques, dont certains sont cancerigènes. Actuellement, Sonatrach utililse une dizaine de substances chimiques, utilisés dans l'industrie agro alimentaire. Il serait intéressant d'en connaitre la liste exacte.
3. La nappe Albienne contient 45000 milliards de m3. Elle peut produire 7 milliards de m3 par an. Actuellement, 3 milliards par an sont utilisés pour tout les usages, 70% pour l'agriculture. Le renouvellement de l'albien dépend de la pluviométrie et des infiltrations et est évalué par l'Observatoire du Sahel et du Sahara à 1.4 milliards m3.
4. La fracturation hydrolique nécessite de grandes quantités d'eau, évalué en moyenne à 15000m3/jour. L'eau peut etre réutilisé pour plusieurs fracturations, dans le cadre d'un retraitement dont le coût est à évaluer et jugé important. En forant 30000 puits sur 25 ans, 200 millions de m3 par an est sous tirée. Il serait intéressant de savoir si l'eau est dépoluée, ou stockée et quel risque ce stockage génère vis à vis de la nappe Albienne.
5. La nappe albienne est à une profondeur se situant entre 50 à 2200 m. La roche mère qui génère le gaz de schiste, elle se trouve entre 2000 et 3000 m. Il est nécessaire d'identifier l'epaisseur des couches géologiques entre la nappe Albienne et la roche mère exploitable.
6. La technique d'exploitation du gaz de schiste consiste à 1 specificité, par rapport à l'exploitation conventionnelle, une pression de 600 bars nécessaire pour fracturer la roche mère à 2000m. Ni la technique des puits horizontaux, ni celle de la fracturatin ne sont spécifique au gaz de schiste. Ces 2 techniques sont utilisé pour l'exploitation des gisements conventionnels, comme ceux non conventionnels.
7. Les risques de fissure du à la fracturation dans le désert algérien sont nuls. Du fait des profondeurs concernées. Le risque de fuite est du à des failles sismiques dont l'étude est obligatoires pour l'exploitation. Si des failles sont présentes, la pressiorisation des puits serait ineficace, et l'exploitation de surcroit.
8. Les risques de fuites au niveau du puit sont plus importants dans le gaz de schiste, du fait de la pression utilisée. Ce risque peut etre maitrisé à travers de plus gros moyens de cimentation des puits, bien plus draconiens qu'un gisement conventionnel.
9. La durée de vie d'un puit de schiste est bien inférieur qu'un puit conventionnel, par la nature meme du gaz qui n'estpas ssue par simplepressiorisation, mais par des fracturations qui aujourd'hui sont constitué de 20 bras horizontaux autours d'un puit vertical qui vont jusqu'à 1km.
10. L'exploitation du gaz de schiste nécessite une activité de forage permanente pour etre rentable. Le cout d'un puit tourne autour de 15 millions de $ en 2014.
11. La phase d'exploitation est réglementée et ne peut débuter qu'après 11 ans du début de la phase exploratoire.
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Si parmi les élément exposés, il y a des imprécisions, la configuration de ce topic permet de les corriger. Chacun pourra, compléter, préciser, voir modifier les point eronés.
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