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Les frères Kouachi ne seront pas enterrés en Algérie

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  • Les frères Kouachi ne seront pas enterrés en Algérie



    Le journal « Al-Nahar » Algérien a indiqué, que le gouvernement Français a fait une demande auprès de son homologue d’Algérie afin de permettre l’enterrement des frères Kouachi, les deux terroristes qui ont attaqué le siège de Charlie Hebdo à Paris, sur son territoire.
    La même source a précisé, que l’Algérie a rejeté cette demande car Saîd et Cherif Kouachi n’ont pas la nationalité algérienne et sont nés et morts en territoire français.
    Le journal a ajouté que la France tenterait, à travers cette demande à l’Algérie, de se débarrasser d’une éventuelle « bombe à retardement » qui pourrait porter préjudice et causer des problèmes de sécurité.


    tunisienumerique

  • #2
    Inutile de polémiquer pour faire diversion, les familles n'ont jamais demandé l'enterrement à l'étranger. L'un enterré à Reims dans le 51 et l'autre à Gennevilliers dans le 92, dans le secret pour éviter la publicité et ne pas attirer les adeptes de la barbarie. Les maires ont l'obligation d'accepter si lieu de résidence dans la commune et surtout bien français, meme dans le caveau familial s'il existe. Le maire de Reims n'a pas voulu vendre de concession. Ils n'hésiteront pas le moment venu à déterrer au bout de 10 ou 20 ans.

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    • #3
      «Je préférerais éviter d'enterrer un terroriste»
      Saïd Kouachi aurait été enterré vendredi, à Reims. Son frère cadet, Chérif, devrait être inhumé non-loin de Paris. Une application de la loi qui ne ravit pas les maires.
      Décédés vendredi 9 janvier, sous les balles des forces de l'ordre, les frères Kouachi, accusés de terrorisme, mettent les maires dans l'embarras. Selon la presse française, leur dépouille sera enterrée de manière anonyme.
      «Comme tous les maires, je préférerais éviter d'enterrer un terroriste dans ma commune, raconte Patrice Leclerc, maire de Genneviliers (Hauts-de-Seine), au Parisien/Aujourd'hui en France, mais j'applique la loi.» L'élu précise ne pas avoir le choix, suite à la demande de la femme de Chérif, qui souhaitait que les deux frères soient inhumés au même endroit. Chérif résidait dans cette commune située non-loin de Paris et reposera dans le carré musulman du cimetière.
      Le maire exige cependant que la sépulture soit anonyme.
      De son côté, Saïd aurait été enterré le vendredi 16 janvier, à Reims, selon les informations de France Bleu/Champagne Ardenne. Sa sépulture, elle aussi, est anonyme. Le maire s'y opposait pourtant fermement vendredi, mais n'a pu se soustraire à ses obligations. «J'ai refusé l'achat de concession, mais l'Etat m'a rappelé à mes obligations, selon la législation», a déclaré Arnaud Robinet.
      20 minutes

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      • #4
        Panshir,

        Ce n'est pas la famille qui a demandé l'inhumation en Algérie on le sait. C'est l'état français. Et c'est l'état algérien qui répond.
        Il n'y a rien de polémiste ici!
        La France n'a qu'à appliqué sa loi, elle est très claire.

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        • #5
          Pourquoi les enterrés en Algérie puisqu'ils sont français ?? !!

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          • #6
            ennahar

            vous croyez ennahar ce torchon pro intégriste qui recueille ses informations dans les caniveaux d'Alger

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            • #7
              Envoyé par Vympel
              ...
              La même source a précisé, que l’Algérie a rejeté cette demande car Saîd et Cherif Kouachi n’ont pas la nationalité algérienne et sont nés et morts en territoire français.
              ...
              La demande et la réponse sous-entendent plusieurs questions.

              Les frères KOUACHI étant nés antérieurement aux lois de BOUTEFLIKA sur la nationalité, seraient donc d'une mère algérienne et d'un père non algérien. Ce qui les priveraient de la nationalité algérienne. Dans ce cas, quelle est la nationalité du père ?

              La deuxième question est celle relative à la déchéance de la nationalité algérienne. Si les frères KOUACHI sont de père et de mère algérienne, alors ils sont automatiquement de nationalité algérienne. Ont-ils perdu cette nationalité en prenant la nationalité française à leur majorité ( code de la nationalité avant l'introduction de la magouille liant la déchéance de la nationalité algérienne à un décret ) ?.

              Personnellement, j'aurai aimé qu'on nous ai expliqué pourquoi les frères KOUACHI ne sont pas de nationalité algérienne.

              P.

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              • #8
                Personnellement, j'aurai aimé qu'on nous ai expliqué pourquoi les frères KOUACHI ne sont pas de nationalité algérienne
                Par la simple raison qu'ils sont inconnus de l'Algérie. Ils sont né à l'étranger, et aucune transcription consulaire n'avait été faite. Ils n'ont ainsi aucune existance algérienne...
                Othmane BENZAGHOU

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                • #9
                  ennahar

                  vous croyez ennahar ce torchon pro intégriste qui recueille ses informations dans les cafés et taxis d'Alger

                  Commentaire


                  • #10
                    Comment l'algerie peut accepter d"enterrer des francais en plus terros ,deja c interdit par la loi algerienne et les mairies exigent un certificat de residence pour delivrer l'autorisation,la loi francaise est claire et les maires ou resident les kouachi ne peuvent refuser qu"ils y soit enterrė

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                    • #11
                      Comment l'algerie peut accepter d"enterrer des francais en plus terros
                      Qu'ils aillent au diable!
                      Les enterrer en Algérie fera de leur tombeau un lieu de pèlerinage pour toutes sortes de fous de *Dieu!
                      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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                      • #12
                        Le journal « Al-Nahar » Algérien a indiqué, que le gouvernement Français a fait une demande auprès de son homologue d’Algérie afin de permettre l’enterrement des frères Kouachi, les deux terroristes qui ont attaqué le siège de Charlie Hebdo à Paris, sur son territoire.
                        l'idée a du naître dans la petite téte sans cerveau d'un journaleux d'el nahar de ***** , qui voulais inventer et lancer une polémique ....rien d'autre...
                        tu tombe je tombe car mane e mane
                        après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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                        • #13
                          La question a été résolue notamment par le choix de l'epouse de l'un d'eux ...mais à mon avis Pangeen pose les bonnes questions . Et non @Ott, le droit de la nationalité c'et un peu plus compliqué qu'une histoire d'existence ou d'inexistence de transposition consulaire d'un acte.


                          Si ces 2 frères, certes français, orphelins de pere puis de mère ( 2 parents immigrés algériens) avaient par exemple encore un grand pere ou une grand mère en Algerie qui aurait sollicité leur inhumation en Algerie ( sepulture anonyme ) ..juridiquement rien ne s'y serait opposé ( sauf à trouver un texte algerien qui interdit un auteur de crime d'être enterré en Algerie) , et ce quand bien même il auraient pas au prealable fait une demande d'obtention de papiers algériens. Ils auraient donc pu y être inhumés ( anonymement éventuellement ) car ils sont aussi Algériens et même Algériens à double titre, par leur père et par leur mère

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                          • #14
                            Il ne s'agit de droit mais de réalités et de faits. Tant qu'une transcription d'une naissance n'est pas faite, aucun droit, de quelque nature qu'il soit ne peut etre exigé, car inconnu par l'état civil algérien...
                            Othmane BENZAGHOU

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                            • #15
                              Ah peut être ..Ott

                              Mais le principe en droit de la nationalité à l'echelle quasi planetaire , notamment dans une perspective de protection d'enfants mineurs dans des situations problematiques ( mais pas que) ...... est de pouvoir être considéré comme un national d'un Etat même sans document

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