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Pour ce, Amar Tou sollicité pour la réalisation d’un hôpital spécialisé.
Tlemcen est considérée comme la région la plus touchée par le phénomène des malades mentaux. Des statiques du secteur de la santé font état de l’existence de 15 000 personnes touchées par cette maladie, lesquelles, en raison de leur comportement, peuvent être dangereuses pour elles-mêmes ou pour autrui.
Cette dangerosité qui peut résulter de l’abus d’alcool ou de stupéfiants ou d’une déficience mentale nécessite des spécialistes.
Mais malgré une prise en charge par l’unique service d’une capacité de 12 lits au niveau du CHU de Tlemcen qui s’occupe également d’autres malades des wilayas limitrophes (Naama et Sidi Bel Abbès), le déficit en matière d’infrastructures pouvant prendre en charge cette communauté est largement constaté et les spécialistes réclament la réalisation d’un hôpital pour mieux gérer la situation, car ces personnes sont des malades et doivent être traitées comme telles. Dans ce cas, l’hospitalisation est le meilleur moyen de s’assurer que le traitement médical est suivi. C’est pourquoi le ministre de la Santé est sollicité pour affecter à cette région le projet de réalisation d’un hôpital. Une telle action, si elle se concrétisait, mettrait fin aux comportements de ces malades qui importunent les citoyens et demeurent un fardeau pour la société.
Ces personnes atteintes de troubles mentaux et psychologiques devront être prises en charge avec notamment des actions de prévention, de diagnostic, de soins, de réadaptation et de réinsertion sociale. Car l’ensemble de ces actions s’intègrent dans le schéma général d’organisation du système de santé, en tenant compte, au niveau de l’organisation, des particularités propres à ce secteur, dont l’exigence de la continuité des soins intra et extra-hospitaliers.
- La Tribune
Tlemcen est considérée comme la région la plus touchée par le phénomène des malades mentaux. Des statiques du secteur de la santé font état de l’existence de 15 000 personnes touchées par cette maladie, lesquelles, en raison de leur comportement, peuvent être dangereuses pour elles-mêmes ou pour autrui.
Cette dangerosité qui peut résulter de l’abus d’alcool ou de stupéfiants ou d’une déficience mentale nécessite des spécialistes.
Mais malgré une prise en charge par l’unique service d’une capacité de 12 lits au niveau du CHU de Tlemcen qui s’occupe également d’autres malades des wilayas limitrophes (Naama et Sidi Bel Abbès), le déficit en matière d’infrastructures pouvant prendre en charge cette communauté est largement constaté et les spécialistes réclament la réalisation d’un hôpital pour mieux gérer la situation, car ces personnes sont des malades et doivent être traitées comme telles. Dans ce cas, l’hospitalisation est le meilleur moyen de s’assurer que le traitement médical est suivi. C’est pourquoi le ministre de la Santé est sollicité pour affecter à cette région le projet de réalisation d’un hôpital. Une telle action, si elle se concrétisait, mettrait fin aux comportements de ces malades qui importunent les citoyens et demeurent un fardeau pour la société.
Ces personnes atteintes de troubles mentaux et psychologiques devront être prises en charge avec notamment des actions de prévention, de diagnostic, de soins, de réadaptation et de réinsertion sociale. Car l’ensemble de ces actions s’intègrent dans le schéma général d’organisation du système de santé, en tenant compte, au niveau de l’organisation, des particularités propres à ce secteur, dont l’exigence de la continuité des soins intra et extra-hospitaliers.
- La Tribune