DIEU -Le Très Haut et Louage à lui - dit dans le Saint Coran :
« Ceux qui mangent [pratiquent] de l'intérêt usuraire ne se tiennent (au jour du Jugement dernier) que comme se tient celui que le toucher de Satan a bouleversé. Cela, parce qu'ils disent: ‹Le commerce est tout à fait comme l'intérêt› Alors qu'Allah a rendu licite le commerce, et illicite l'intérêt. Celui, donc, qui cesse dès que lui est venue une exhortation de son Seigneur, peut conserver ce qu'il a acquis auparavant; et son affaire dépend d'Allah. Mais quiconque récidive... alors les voilà, les gens du Feu! Ils y demeureront éternellement ».
Saint Coran, sourate Albakara, verset 275
D’après Jabir Le messager de dieu - la paix et les bénédictions de dieu soient avec lui- a dit :
« Maudit le mangeur des intérêts [pratiquant], qui les fait générées, celui qui les écrits [dans un contrat] et leurs deux témoins. Et dit ils sont semblables »
Rapporté par Mouslim 299
A-RIBA (l’intérêt) signifie (dans l'origine du mot en arabe) l’addition. Et au niveau coranique (charia) A-RIBA signifie: le supplément à la créance et c’est ce qui est connu dans le domaine financier par la « Capitalisation »
Les intérêts (A-Riba) sont illicites dans toutes les religions révélées et sont défendus par le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam. L’ancien testament reflète aussi ce jugement :
« Si tu prêtes de l’argent à l’un des fils de Chaibii, ne prends pas la position du créancier, n’exiges pas de lui des intérêts ».
De même, dans le nouveau testament:
« si vous prêtez [l’argent], pourquoi attendez-vous la récompense, et quelle gratitude vous aurez ? Par contre, faites du bien et prêtez sans attendre en retour des récompenses et donc vous serez amplement gratifiés ».
Dans ce sens, toute l’église s’est mise d’accord, de manière catégorique, sur l’aspect prohibé des « Intérêts » (A-Riba).
« Ceux qui mangent [pratiquent] de l'intérêt usuraire ne se tiennent (au jour du Jugement dernier) que comme se tient celui que le toucher de Satan a bouleversé. Cela, parce qu'ils disent: ‹Le commerce est tout à fait comme l'intérêt› Alors qu'Allah a rendu licite le commerce, et illicite l'intérêt. Celui, donc, qui cesse dès que lui est venue une exhortation de son Seigneur, peut conserver ce qu'il a acquis auparavant; et son affaire dépend d'Allah. Mais quiconque récidive... alors les voilà, les gens du Feu! Ils y demeureront éternellement ».
Saint Coran, sourate Albakara, verset 275
D’après Jabir Le messager de dieu - la paix et les bénédictions de dieu soient avec lui- a dit :
« Maudit le mangeur des intérêts [pratiquant], qui les fait générées, celui qui les écrits [dans un contrat] et leurs deux témoins. Et dit ils sont semblables »
Rapporté par Mouslim 299
A-RIBA (l’intérêt) signifie (dans l'origine du mot en arabe) l’addition. Et au niveau coranique (charia) A-RIBA signifie: le supplément à la créance et c’est ce qui est connu dans le domaine financier par la « Capitalisation »
Les intérêts (A-Riba) sont illicites dans toutes les religions révélées et sont défendus par le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam. L’ancien testament reflète aussi ce jugement :
« Si tu prêtes de l’argent à l’un des fils de Chaibii, ne prends pas la position du créancier, n’exiges pas de lui des intérêts ».
De même, dans le nouveau testament:
« si vous prêtez [l’argent], pourquoi attendez-vous la récompense, et quelle gratitude vous aurez ? Par contre, faites du bien et prêtez sans attendre en retour des récompenses et donc vous serez amplement gratifiés ».
Dans ce sens, toute l’église s’est mise d’accord, de manière catégorique, sur l’aspect prohibé des « Intérêts » (A-Riba).
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