nous fîmes exploser les rochers
et d'entre leur restes, jaillit l'eau
un lit lui fut dressé
allongée, elle devint fleuves et ruisseaux
de la terre, nous poussâmes du bois
le vent le berçant, le soleil le renforçant
au sommet, des délicatesses suspendues
mures et mielleuses, à ses bras suspendues
le tapis de terre nous pliâmes
et bientôt naquirent les montagnes
abritant nos chef d’œuvres précédents
blanches quand le soleil s'éloigne
un paradis, où mille et un petit êtres
sautillent, se faufilent et chantent
harmonie sempiternelle, la paix s'y déposa
délicatement, et de son règne elle rayonna
j'ai faim, j'ai besoin de tout
beaucoup de choses me manquent
mais je ne sais lesquelles
je me gratte je tourne en rond, crie comme un fou
avide que je suis...et je m'en vante
je défie le temps, je ne veux de ses séquelles
je façonne le monde à mon image
rêve d'atteindre les nuages
je creuse, explose et détruis
pour me construire, encore et encore des abris
quand je touche le fond, je crois atteindre les sommets
quand je rencontre un obstacle, je le soumet
quand on me parle, j'ignore
j'ai décrétè que le silence était d'or
ha l'or!.., tout ce qui brille m’appartiens
au plus méritant parmi les miens
j'ai attribué le titre de star
car il faut briller, même d'une lueur noire
pour moi et les miens, les limites ne sont que défis
... ne laissant derrière moi que débris
tant de mépris...
prononce mon nom, à moi tu t’identifies
je n'ai décri que l'homme que je suis
nous voici donc, réunis ici
sur une rue, création de la rêverie
tu es interpellé par ce que tu lis
ne passe donc pas, à coté de ceci:
tu crois que le temps t'appartiens
détrompe toi, tu es sa possession
de toi il dispose, tout comme des tiens
le défier, relève de l’obsession
le premier passage, italique
est ce qui fut avant ton arrivée
le second, quant à lui
est une énumération de tes faits
ensembles, nous sommes tous
l'accumulation de choix, de souvenirs
il fit le monde, nous sommes entrain de le défaire
il faut le dire, l'écrire et le décrire, ne surtout pas ... se taire
et d'entre leur restes, jaillit l'eau
un lit lui fut dressé
allongée, elle devint fleuves et ruisseaux
de la terre, nous poussâmes du bois
le vent le berçant, le soleil le renforçant
au sommet, des délicatesses suspendues
mures et mielleuses, à ses bras suspendues
le tapis de terre nous pliâmes
et bientôt naquirent les montagnes
abritant nos chef d’œuvres précédents
blanches quand le soleil s'éloigne
un paradis, où mille et un petit êtres
sautillent, se faufilent et chantent
harmonie sempiternelle, la paix s'y déposa
délicatement, et de son règne elle rayonna
j'ai faim, j'ai besoin de tout
beaucoup de choses me manquent
mais je ne sais lesquelles
je me gratte je tourne en rond, crie comme un fou
avide que je suis...et je m'en vante
je défie le temps, je ne veux de ses séquelles
je façonne le monde à mon image
rêve d'atteindre les nuages
je creuse, explose et détruis
pour me construire, encore et encore des abris
quand je touche le fond, je crois atteindre les sommets
quand je rencontre un obstacle, je le soumet
quand on me parle, j'ignore
j'ai décrétè que le silence était d'or
ha l'or!.., tout ce qui brille m’appartiens
au plus méritant parmi les miens
j'ai attribué le titre de star
car il faut briller, même d'une lueur noire
pour moi et les miens, les limites ne sont que défis
... ne laissant derrière moi que débris
tant de mépris...
prononce mon nom, à moi tu t’identifies
je n'ai décri que l'homme que je suis
nous voici donc, réunis ici
sur une rue, création de la rêverie
tu es interpellé par ce que tu lis
ne passe donc pas, à coté de ceci:
tu crois que le temps t'appartiens
détrompe toi, tu es sa possession
de toi il dispose, tout comme des tiens
le défier, relève de l’obsession
le premier passage, italique
est ce qui fut avant ton arrivée
le second, quant à lui
est une énumération de tes faits
ensembles, nous sommes tous
l'accumulation de choix, de souvenirs
il fit le monde, nous sommes entrain de le défaire
il faut le dire, l'écrire et le décrire, ne surtout pas ... se taire
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