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. Le Point.fr
Après les attentats de Paris qui ont fait 17 morts, l'heure est à la répression. Selon un sondage Ipsos/Sopra-Steria pour Le Monde et Europe 1, 95 % des Français disent vouloir "durcir les conditions de détention des détenus qui contribuent à propager les idées extrémistes dans les prisons". 90 % des sondés sont également favorables à "la déchéance de la nationalité des Français qui partent faire le djihad en Syrie". Ils sont également 89 % à vouloir restreindre "la liberté d'opinion sur Internet en cas de propagation des idées djihadistes", toujours selon Europe 1.
À la suite des attentats, 72 % des Français disent ressentir de la colère, 51 % du "dégoût", 24 % de la "peur", 8 % de la "vengeance" et 4 % seulement de la "résignation". Plus d'un Français sur deux a, par contre, ressenti de la fierté et de la fraternité après la marche historique du dimanche 11 janvier qui avait rassemblé près de quatre millions de personnes dans toute la France.
Après les attentats de Paris qui ont fait 17 morts, l'heure est à la répression. Selon un sondage Ipsos/Sopra-Steria pour Le Monde et Europe 1, 95 % des Français disent vouloir "durcir les conditions de détention des détenus qui contribuent à propager les idées extrémistes dans les prisons". 90 % des sondés sont également favorables à "la déchéance de la nationalité des Français qui partent faire le djihad en Syrie". Ils sont également 89 % à vouloir restreindre "la liberté d'opinion sur Internet en cas de propagation des idées djihadistes", toujours selon Europe 1.
À la suite des attentats, 72 % des Français disent ressentir de la colère, 51 % du "dégoût", 24 % de la "peur", 8 % de la "vengeance" et 4 % seulement de la "résignation". Plus d'un Français sur deux a, par contre, ressenti de la fierté et de la fraternité après la marche historique du dimanche 11 janvier qui avait rassemblé près de quatre millions de personnes dans toute la France.