j'ai perdu mon cerveau a la deuxieme ligne waaaaaaaouuuuuuuuu il viens d'ou celui qui a écrit ça ?
Prédiction, Variation, Imprévu", est une interrogation de la configuration conceptuelle, logique et organisationnelle dans laquelle prend sens le temps réel. Il s’effectue par l’addition de textes théoriques courts empruntant largement une perspective historique. C’est aussi une réflexion sur ce qui s’engage comme expérience artistique pour un sujet qui est partie prenante d’un dispositif en temps réel. Sous cet angle on peut considérer que cette réflexion hérite bien des deux dimensions de la critique philosophique du déterminisme : l’interrogation de la clôture d’une conception du monde héritée de la notion newtonienne du déterminisme ; l’interrogation de la place de la liberté dans un monde entièrement déterminé. Simplement, elle ne reprend pas cette vieille question de façon surplombante, à partir de l’idée principielle de la liberté, mais dans ce qui constitue une expérience artistique comme exercice en situation et dans la construction d’un dispositif de la liberté d’une pensée incarnée. Parler de causalité, c’est désigner l’espace théorique dans lequel la question du temps réel s’enracine comme concept. Mais ce n’est qu’un aspect d’une réalité plus vaste. On ne pourra venir à bout de la question théorique du temps réel en la réduisant à un objet purement mental ou à une figure logique. Elle engage aussi une expérience, des perceptions, des situations. Le temps réel désigne ainsi à la fois une réalité empirique, qui touche aux modalités de notre rapport au monde, une forme logique et une question philosophique.
Prédiction, Variation, Imprévu", est une interrogation de la configuration conceptuelle, logique et organisationnelle dans laquelle prend sens le temps réel. Il s’effectue par l’addition de textes théoriques courts empruntant largement une perspective historique. C’est aussi une réflexion sur ce qui s’engage comme expérience artistique pour un sujet qui est partie prenante d’un dispositif en temps réel. Sous cet angle on peut considérer que cette réflexion hérite bien des deux dimensions de la critique philosophique du déterminisme : l’interrogation de la clôture d’une conception du monde héritée de la notion newtonienne du déterminisme ; l’interrogation de la place de la liberté dans un monde entièrement déterminé. Simplement, elle ne reprend pas cette vieille question de façon surplombante, à partir de l’idée principielle de la liberté, mais dans ce qui constitue une expérience artistique comme exercice en situation et dans la construction d’un dispositif de la liberté d’une pensée incarnée. Parler de causalité, c’est désigner l’espace théorique dans lequel la question du temps réel s’enracine comme concept. Mais ce n’est qu’un aspect d’une réalité plus vaste. On ne pourra venir à bout de la question théorique du temps réel en la réduisant à un objet purement mental ou à une figure logique. Elle engage aussi une expérience, des perceptions, des situations. Le temps réel désigne ainsi à la fois une réalité empirique, qui touche aux modalités de notre rapport au monde, une forme logique et une question philosophique.
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