Par Ziad Alami- le 30/01/2015- Le 360.ma
Invité au Sommet de l’Union africaine, qui a porté à sa présidence le président zimbabwéen Robert Mugabe, 90 ans, à sa présidence, le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a invité les dirigeants africains à ne pas s’accrocher au pouvoir.
«Les changements de Constitution non démocratiques et les vides juridiques ne devraient pas être utilisés pour s’accrocher au pouvoir». Cette critique à fleuret moucheté a été faite par le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, invité du sommet des chefs d’Etat de l’Union africaine qui a ouvert ses travaux vendredi 30 janvier à Addis Abeba, en Ethiopie. «Les dirigeants modernes ne peuvent se permettre d’ignorer les vœux et aspirations de ceux qu’ils représentent », a poursuivi le premier responsable de l’organisation des Nations Unies, en faisant allusion aux dirigeants africains qui refusent de quitter leurs fonctions au terme de leurs mandats, au mépris des règles du jeu démocratique et de la volonté de leurs peuples. Et ce alors que Robert Mugabe, 90 ans, président du Zimbabwé depuis l'indépendance de son pays en 1980, a été élu à la tête de l'Union africaine. Une belle passe d'armes.
Invité au Sommet de l’Union africaine, qui a porté à sa présidence le président zimbabwéen Robert Mugabe, 90 ans, à sa présidence, le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a invité les dirigeants africains à ne pas s’accrocher au pouvoir.
«Les changements de Constitution non démocratiques et les vides juridiques ne devraient pas être utilisés pour s’accrocher au pouvoir». Cette critique à fleuret moucheté a été faite par le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, invité du sommet des chefs d’Etat de l’Union africaine qui a ouvert ses travaux vendredi 30 janvier à Addis Abeba, en Ethiopie. «Les dirigeants modernes ne peuvent se permettre d’ignorer les vœux et aspirations de ceux qu’ils représentent », a poursuivi le premier responsable de l’organisation des Nations Unies, en faisant allusion aux dirigeants africains qui refusent de quitter leurs fonctions au terme de leurs mandats, au mépris des règles du jeu démocratique et de la volonté de leurs peuples. Et ce alors que Robert Mugabe, 90 ans, président du Zimbabwé depuis l'indépendance de son pays en 1980, a été élu à la tête de l'Union africaine. Une belle passe d'armes.
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