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Facebook et le double discours sur la liberté d’expression

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    Facebook et le double discours sur la liberté d’expression
    Après avoir affirmé son soutien à Charlie Hebdo, Facebook a supprimé des pages jugées « offensantes pour le prophète Mahomet ». À vouloir contenter tout le monde, on se met parfois dans des situations plutôt inconfortables. Facebook l’a appris à ses dépens. Après avoir clamé haut et fort « Je suis Charlie » pour affirmer la volonté du réseau social de favoriser la liberté d’expression. D’un autre côté Facebook s’est plié aux exigences de certains pays et notamment de la justice turque en censurant des pages qui affichaient des caricatures du prophète Mahomet jugées « offensantes ».
    Facebook soutient Charlie Hebdo

    C’est Mark Zuckerberg en personne qui affichait le 8 janvier dernier ce message en faveur de la liberté d’expression « Facebook a toujours été un lieu où les gens du monde entier partagent leur point de vue. Nous respectons les lois de chaque pays, mais nous ne laisserons jamais un pays ou un groupe de personnes dicter ce que les gens peuvent partager à travers le monde », un message ponctué par le désormais célèbre #JeSuisCharlie.
    Il semblerait pour le fondateur du réseau social a très vite oublié ses belles paroles puisque sous la pression de la justice turque, le réseau social a préféré supprimer des pages jugées offensantes plutôt que de risquer une interdiction du réseau social dans le pays.
    Une censure régulière pour Facebook

    En effet, lundi dernier, un tribunal de la ville d’Ankara avait intimé l’ordre aux équipes de Facebook de supprimer des pages « offensant le prophète Mahomet » sous peine de fermeture de Facebook dans le pays. Le New York Times, qui relaie cette affaire, ne donne aucune précision sur le nombre de pages concernées, ni si ces dernières concernaient des caricatures du journal Charlie Hebdo. Facebook a donc préféré les profits engendrés par les 40 millions d’utilisateurs turques à la liberté d’expression.
    Ces fermetures de page ne sont pas une première, en décembre dernier, une page appelant le peuple russe à manifester en soutient au principal opposant de Vladimir Poutine avait été supprimée par Facebook sen Russie. En Pakistan et en Inde, il est également fréquent que des pages soient supprimées pour des raisons similaires.

    Source: Begeek.fr

  • #2
    Faut respecter les lois et les lignes rouges de chaque pays .....
    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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    • #3
      Toutes les libertés, y compris celle de l'expression, ont des limites fixées par la loi.

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      • #4
        La liberté d'expression , ou la liberté tout cour , il faut la réclamer d’abord chez soi , avant de l’exigé des autres .

        On entend souvent des griefs contre la France "pays des droits de l'homme ", pourquoi pas ces mêmes droits partout ou ils sont bafoués ? ...

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        • #5
          Il parait que l'Arabie Saoudite a ouvert une école en Suède pour enseigner "les droits de l'homme et la liberté d’expression". Tous les dirigeants Européens s'y ont inscrits
          Curriculum vitæ : "Je suis né et depuis... j'improvise !!"

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