Par ce post, je souhaite contribuer en toute modestie à eclairer les forumistes sur le triste sort vécu par les maghrebins au Quebec et au Canada en général en esperant que mon message suscitera un débat ou l'on connaitra d'autres cas pareils. La presse ne s'intéresse pas à leur cas ni celle du Maghreb et surtout pas celle du Canada.
Il y a de cela cinq ans, j'etais entré dans un magazin de friperies situé sur le boulevard Saint Laurent à Montréal. Il en existe beaucoup de nombreuses boutiques de ce type à Montreal. Ces magazins font le bonheur des classes pauvres au Québec, notamment les immigrés. Dans ce magazin, j'avais sollicité l'aide d'une vendeuse qui s'avérait être une marocaine. Comme elle avait l'air d'être affable j'avais tout de suite sympathisé avec elle. Au cours de la discussion que nous avions echangée, j'avais appris qu'elle etait au Québec depuis 3 ans. Une grande tristesse emanait d'elle et je décelais chez elle un profond desepoir mêlé d'une insurmontable amertume pour son vécu quotidien. En mon for interieur, j'avais tout de suite compris les véritables raisons qui boulversaient ma nouvelle connaissance, mais ne voulant pas être indiscret je laissais cette marocaine me raconter briévement ses tristes peripéties depuis son arrivée au Québec .
Cette sympathique marocaine dont l'âge approchait de la quarantaine etait cadre supérieure en gestion financière dans une grande banque au Maroc que je ne citerai pas le nom pour des raisons evidentes. Attirée par l'appel des sirénes de l'immigration au Canada, elle ramassa toute ses economies et elle dut même pour cela vendre tous ses biens dont son modeste logement qu'elle possédait au Maroc. Depuis son arrivée au Canada et aprés avoir tapé à toutes les portes pour decrocher un emploi, toutes ses tentatives furent vaines. Toutes ses economies ont fondu comme neige et aprés cela elle a été réduite a trimer dans une friperie au salaire minimum aprés qu'eut fait partie de l'elite au Maroc. Comme je lui temoignais ma compassion car je vivais moi même une situation semblable, je lui demandais sur les raisons qui l'empêchaient de retourner au Maroc. Le Maroc ne connaissait pas de boulversements comme ceux que l'on vivait. Elle m'avait répondu que si elle y retournerait, c'etait le denuement qui l'attendrait la bas car elle avait tout perdu et qu'elle n'avait pas de chances de reprendre son ancien emploi.
A un marocain qui la connaissait et auquel j'avais demanndé de ses nouvelles, j'avais appris qu'elle avait fini par entrer au Maroc il y a deux ans et qu'elle a pu trouver un poste trés intéressant dans le secteur des assurances. Puisse Dieu lui venir en aide en toute circonstance.
Il y a de cela cinq ans, j'etais entré dans un magazin de friperies situé sur le boulevard Saint Laurent à Montréal. Il en existe beaucoup de nombreuses boutiques de ce type à Montreal. Ces magazins font le bonheur des classes pauvres au Québec, notamment les immigrés. Dans ce magazin, j'avais sollicité l'aide d'une vendeuse qui s'avérait être une marocaine. Comme elle avait l'air d'être affable j'avais tout de suite sympathisé avec elle. Au cours de la discussion que nous avions echangée, j'avais appris qu'elle etait au Québec depuis 3 ans. Une grande tristesse emanait d'elle et je décelais chez elle un profond desepoir mêlé d'une insurmontable amertume pour son vécu quotidien. En mon for interieur, j'avais tout de suite compris les véritables raisons qui boulversaient ma nouvelle connaissance, mais ne voulant pas être indiscret je laissais cette marocaine me raconter briévement ses tristes peripéties depuis son arrivée au Québec .
Cette sympathique marocaine dont l'âge approchait de la quarantaine etait cadre supérieure en gestion financière dans une grande banque au Maroc que je ne citerai pas le nom pour des raisons evidentes. Attirée par l'appel des sirénes de l'immigration au Canada, elle ramassa toute ses economies et elle dut même pour cela vendre tous ses biens dont son modeste logement qu'elle possédait au Maroc. Depuis son arrivée au Canada et aprés avoir tapé à toutes les portes pour decrocher un emploi, toutes ses tentatives furent vaines. Toutes ses economies ont fondu comme neige et aprés cela elle a été réduite a trimer dans une friperie au salaire minimum aprés qu'eut fait partie de l'elite au Maroc. Comme je lui temoignais ma compassion car je vivais moi même une situation semblable, je lui demandais sur les raisons qui l'empêchaient de retourner au Maroc. Le Maroc ne connaissait pas de boulversements comme ceux que l'on vivait. Elle m'avait répondu que si elle y retournerait, c'etait le denuement qui l'attendrait la bas car elle avait tout perdu et qu'elle n'avait pas de chances de reprendre son ancien emploi.
A un marocain qui la connaissait et auquel j'avais demanndé de ses nouvelles, j'avais appris qu'elle avait fini par entrer au Maroc il y a deux ans et qu'elle a pu trouver un poste trés intéressant dans le secteur des assurances. Puisse Dieu lui venir en aide en toute circonstance.
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