Enfin des rresponsables osent "défendre" les jeunes qui sont intoxiqués, empoisonnés et envoyés à la mort par les marocains dealers, marchands de la mort et trafiquants de drogue.C'est leur premier devoir normalement mais bon.....On connait les responsables vils, corrompus et irresponsables.
Honte aux complices.
Honte aux complices.
Le Préfet de Tlemcen propose la peine de mort pour les dealers
Le directeur de l’office national algérien de lutte contre la drogue, Abdelmalek El Sayeh, a déclaré que 60% du cannabis consommé dans le monde a comme source le Maroc. L’ex-magistrat au tribunal de la sûreté d’Etat et l’ancien procureur général près la cour d’Alger ajoute que l’Algérie qui a réussi de combattre le terrorisme devrait se mobiliser pour faire face à la consommation et au trafic de drogue.
Les travaux d’un séminaire national d’information lié à ce sujet à ont démarré, hier, lundi au palais de la culture Abdel Kader Alloula, à Tlemcen (ouest). Les représentants des différents corps de sécurité, des douanes, de la protection civile, de la santé, ainsi que des représentants de la société civile ont pris part à cette rencontre. La ville de Tlemcen a abrité ce séminaire vue les grandes quantités de drogue qui transitent par les frontières ouest du pays.
Intervenu lors du travaux de cette rencontre, le préfet de Tlemcen a indiqué qu’une grande activité de réseaux spécialistes en tout type de trafic, y compris l’immigration clandestine, est signalée dans la région. Face à une telle aggravée, les autorités publiques sont obligées de rompre le silence en faisant effectivement face à ce fléau dont la propagation va crescendo, devant la négligence des autorités concernées.
Dans le même contexte, il a indiqué que les autorités sont invitées à fournir des efforts pour lutter contre la drogue, dans un cadre assurant la coordination entre toutes les parties. Vu la nature ce fléau, qui est l’occurrence transcontinentale, il est impératif d’élaborer une loi dissuasive, car la loi de 2004 a besoin d’être révisée. Beaucoup de pays ont adopté la peine de mort contre les trafiquants de drogue, fait remarquer l’orateur en appelant à prendre des mesures similaires.
Par ailleurs, il a ajouté que quelques ministères, tels que le ministère de la Solidarité nationale et le ministère de la Santé, ont gardé le silence par rapport à la propagation de ce fléau, dans les milieux estudiantins notamment.
Le directeur général de l’office national de lutte contre la rogue et la toxicomanie a indiqué que les trafiquants dépensent de grandes sommes d’argents, estimées à 500 milliards de dollars, ajoutant que les trafiquants utilisent des technologies modernes pour acheminer leurs marchandises vers les pays cibles.
Selon un intervenant, les régions des frontières ouest, dont Tlemcen, Naâma, El Bayad, Bechar et El Oued, sont considérés comme des points de transits pour les trafiquants, ajoutant qu’une quantité de 2541 Kg de drogue a été saisie au premier semestre de l’année en cour.
2006-11-21
Le Maroc, premier fournisseur de drogue dans le monde
Le directeur de l’office national algérien de lutte contre la drogue, Abdelmalek El Sayeh, a déclaré que 60% du cannabis consommé dans le monde a comme source le Maroc. L’ex-magistrat au tribunal de la sûreté d’Etat et l’ancien procureur général près la cour d’Alger ajoute que l’Algérie qui a réussi de combattre le terrorisme devrait se mobiliser pour faire face à la consommation et au trafic de drogue.
Les travaux d’un séminaire national d’information lié à ce sujet à ont démarré, hier, lundi au palais de la culture Abdel Kader Alloula, à Tlemcen (ouest). Les représentants des différents corps de sécurité, des douanes, de la protection civile, de la santé, ainsi que des représentants de la société civile ont pris part à cette rencontre. La ville de Tlemcen a abrité ce séminaire vue les grandes quantités de drogue qui transitent par les frontières ouest du pays.
Intervenu lors du travaux de cette rencontre, le préfet de Tlemcen a indiqué qu’une grande activité de réseaux spécialistes en tout type de trafic, y compris l’immigration clandestine, est signalée dans la région. Face à une telle aggravée, les autorités publiques sont obligées de rompre le silence en faisant effectivement face à ce fléau dont la propagation va crescendo, devant la négligence des autorités concernées.
Dans le même contexte, il a indiqué que les autorités sont invitées à fournir des efforts pour lutter contre la drogue, dans un cadre assurant la coordination entre toutes les parties. Vu la nature ce fléau, qui est l’occurrence transcontinentale, il est impératif d’élaborer une loi dissuasive, car la loi de 2004 a besoin d’être révisée. Beaucoup de pays ont adopté la peine de mort contre les trafiquants de drogue, fait remarquer l’orateur en appelant à prendre des mesures similaires.
Par ailleurs, il a ajouté que quelques ministères, tels que le ministère de la Solidarité nationale et le ministère de la Santé, ont gardé le silence par rapport à la propagation de ce fléau, dans les milieux estudiantins notamment.
Le directeur général de l’office national de lutte contre la rogue et la toxicomanie a indiqué que les trafiquants dépensent de grandes sommes d’argents, estimées à 500 milliards de dollars, ajoutant que les trafiquants utilisent des technologies modernes pour acheminer leurs marchandises vers les pays cibles.
Selon un intervenant, les régions des frontières ouest, dont Tlemcen, Naâma, El Bayad, Bechar et El Oued, sont considérés comme des points de transits pour les trafiquants, ajoutant qu’une quantité de 2541 Kg de drogue a été saisie au premier semestre de l’année en cour.
2006-11-21
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