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Crédits : Les banques marocaines débloquent 754 milliards de dirhams

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  • Crédits : Les banques marocaines débloquent 754 milliards de dirhams

    Le ministre de l’économie et des finances, Mohamed Boussaid, a indiqué, que les prêts accordés par les banques se sont élevés à 754 milliards de dirhams à fin novembre 2014, enregistrant ainsi une hausse de 3,76%.

    Boussaid, qui intervenait à la Chambre des Représentants, a fait savoir que les taux d'intérêt des banques au Maroc ont enregistré une amélioration depuis 2011, soulignant qu’ils ont atteint 6,23% en 2013 contre 6,3% en 2012.

    Et cette baisse s’est poursuivie au cours des 3 premiers trimestres de l'année dernière avec une diminution des taux d'intérêt à 5,96% au 1er trimestre de 2014, contre 6,52% au dernier trimestre 2013, a-t-il dit.

    Le ministre a également rappelé que Bank Al Maghrib a décidé de réduire le taux d'intérêt à deux reprises de 0,25%, estimant que cette décision apportera, à son tour, une amélioration des taux d'intérêt adoptés par les banques.

    infomédiaire

  • #2
    ça décélère !

    754 milliards de dirhams à fin novembre 2014, enregistrant ainsi une hausse de 3,76%.
    Seulement 2.2% à fin décembre 2014.

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    • #3
      we ça va très mal

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      • #4
        @jmlix

        A toi de voir. Y a aussi le rapport de BAM (plus détaillé) sur le même sujet.

        Le crédit en panne de croissance

        • L’encours décélère pour la troisième année consécutive à 2,2%
        • Les prêts à l’investissement s’essoufflent en fin d’année
        • L’impact des mesures de politique monétaire se fait attendre

        La progression du crédit est plutôt décevante. L’encours a limité sa croissance à 2,2% en 2014 à 763 milliards de DH.




        Le crédit termine l’année moins bien qu’anticipé. L’encours limite sa progression à 2,2%. Le volume additionnel de 16 milliards de DH est 3,7 fois moins important que la moyenne enregistrée depuis 2007

        La situation est encore moins reluisante en retraitant l’encours de BMCI Crédit Conso (3,4 milliards de DH) qui a été absorbée par sa maison mère au cours de l’année. La progression serait ramenée à 1,7%. C’est un cran en dessous de la croissance du PIB.

        Mi-décembre, Bank Al-Maghrib tablait encore sur une évolution de 4,5% du crédit. Le ralentissement est essentiellement imputé par la Banque Ccentrale au comportement des crédits à caractère financier. L’encours a décroché de 13,1 milliards de DH contre une hausse de 13,5 milliards de DH une année plus tôt.

        Au-delà des opérations avec la clientèle financière, deux indicateurs préoccupent dans les chiffres du crédit. La croissance des prêts à l’équipement a ralenti à 3,7%. Elle avait atteint 6,8% en rythme annuel en octobre. La propension des opérateurs à se projeter sur l’avenir avec un recours plus important au crédit d’investissement laissait beaucoup d’espoir quant à un soutien plus important à la croissance

        économique cette année.

        Les crédits de trésorerie remontent, signe de la recrudescence des tensions sur les finances des entreprises. Dans le même temps, le rythme des crédits d’investissement décélère, ce qui peut susciter des interrogations sur la capacité des entreprises à soutenir la reprise économique

        Aujourd’hui, le sentiment est un peu plus mitigé. Surtout que de l’autre côté, le recours aux crédits à court terme s’est accéléré. La croissance de l’encours s’est établie à 3,1% en décembre 2014 contre 0,6% un mois plus tôt. La hausse de l’encours est la preuve de la recrudescence des tensions sur les trésoreries des entreprises.

        La situation est surtout tendue dans les industries manufacturières, les commerces et les sociétés de réparation automobile ou encore le BTP. Les crédits de trésorerie accordés aux entreprises des deux dernières branches ont augmenté respectivement de 14% et 6,8%. Dans le même temps, elles sont les plus nombreuses à alimenter les défaillances d’entreprises. Elles représentaient plus de la moitié des défauts enregistrés en 2014.

        Malgré la politique accommodante de Bank Al-Maghrib avec deux baisses successives du taux directeur en 2014, l’impact sur le crédit n’est pas garanti. Il dépendra de la volonté des banques à jouer le jeu mais également des agents économiques. La demande des ménages principalement continue à tirer le crédit. Les concours à cette clientèle ont augmenté de 7,6% en 2014 soit 3,4 fois plus important que le rythme global. La crainte ici reste l’importance des impayés qui peut brider la croissance des prêts.

        Les impayés des ménages ont totalisé 22,5 milliards de DH en 2014 en hausse de 14%. Les créances en souffrance des entreprises ont dépassé 29 milliards de DH en augmentation de près de 6 milliards de DH sur un an.

        F. Fa
        leconomiste

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        • #5
          j'avais pas de doute, je sait que tu n'avance pas un chiffre avant d'avoir googlé

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          • #6
            Jmlix pas toujours concernant l'autoroute Safi-Al jadida et les chiffres du tourisme il a très mal googelé.

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