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Il pourrait y avoir un lien entre un traumatisme subit pendant l’enfance et la maladie de "la fatigue chronique" en etant adulte.
Le syndrome de fatigue chronique de l’adulte (SFC) se caractérise par une fatigue inexpliquée interférant avec les activités quotidiennes, et qui ne s’améliore pas avec du repos. D’autres symptômes y sont associés, tels que des problèmes de mémoire, de concentration; des douleurs musculaires et articulaires. L’origine de cette maladie est inconnue, mais des chercheurs américains viennent de mettre en évidence qu’un traumatisme subit durant l’enfance multiplie les risques d’apparition de SFC.
Des chercheurs du centre de contrôle et de prévention des maladies d’Atlanta ont comparé 43 personnes ayant un SFC à 63 personnes témoins. Pour ce faire, un examen médical a été réalisé, et l’historique médical passé en revue. Ensuite, les personnes ont été interrogés pour détecter d’éventuels problèmes psychiatriques; et ceci grâce à un questionnaire évaluant cinq types de traumatisme (émotionnel, physique, abus sexuel, négligence physique et émotionnelle).
Il en est ressorti que les personnes atteintes de SFC ont un score au questionnaire plus élevé que les témoins. De plus, suivant le traumatisme, le risque d’avoir cette maladie augmente de 3 à 8 fois (les abus sexuels et la négligence émotionnelle sont des facteurs qui ont plus d’impact).
Les personnes malades ont davantage de problèmes psychiatriques, dont la dépression et l’anxiété. Tout comme ces troubles, le SFC serait une réponse face à un stress; et les auteurs concluent : En fait ces problèmes semblent refléter l’incapacité du cerveau à s’adapter ou à compenser en réponse à un challenge, conduisant vers une réponse mal adaptée, et en fin de compte à la maladie.
Source: Sciencedaily
Le syndrome de fatigue chronique de l’adulte (SFC) se caractérise par une fatigue inexpliquée interférant avec les activités quotidiennes, et qui ne s’améliore pas avec du repos. D’autres symptômes y sont associés, tels que des problèmes de mémoire, de concentration; des douleurs musculaires et articulaires. L’origine de cette maladie est inconnue, mais des chercheurs américains viennent de mettre en évidence qu’un traumatisme subit durant l’enfance multiplie les risques d’apparition de SFC.
Des chercheurs du centre de contrôle et de prévention des maladies d’Atlanta ont comparé 43 personnes ayant un SFC à 63 personnes témoins. Pour ce faire, un examen médical a été réalisé, et l’historique médical passé en revue. Ensuite, les personnes ont été interrogés pour détecter d’éventuels problèmes psychiatriques; et ceci grâce à un questionnaire évaluant cinq types de traumatisme (émotionnel, physique, abus sexuel, négligence physique et émotionnelle).
Il en est ressorti que les personnes atteintes de SFC ont un score au questionnaire plus élevé que les témoins. De plus, suivant le traumatisme, le risque d’avoir cette maladie augmente de 3 à 8 fois (les abus sexuels et la négligence émotionnelle sont des facteurs qui ont plus d’impact).
Les personnes malades ont davantage de problèmes psychiatriques, dont la dépression et l’anxiété. Tout comme ces troubles, le SFC serait une réponse face à un stress; et les auteurs concluent : En fait ces problèmes semblent refléter l’incapacité du cerveau à s’adapter ou à compenser en réponse à un challenge, conduisant vers une réponse mal adaptée, et en fin de compte à la maladie.
Source: Sciencedaily