Hayatou a "sauvé" le Maroc
Suspendu pour les deux prochaines éditions de la Coupe d'Afrique des nations, pour avoir renoncé à accueillir celle de cette année, le Maroc aurait pu être beaucoup plus lourdement sanctionné sans l'intervention du président de la CAF, Issa Hayatou.
Le Maroc peut remercier Issa Hayatou, le président de la CAF. Si les sanctions contre le pays peuvent apparaître lourdes, elle sont infimes, d’après nos informations, au regard de ce qui était prévu avant le comité exécutif, vendredi. Une première mouture était même déjà écrite avec des résolutions beaucoup plus contraignantes : interdiction de toutes les compétitions des clubs et de la sélection nationale jusqu’en 2022, soit jusqu’à la Coupe du monde au Qatar.
«Si vous faites ça, vous tuez le football marocain.»
Deux tendances lourdes s’affrontaient dans les coulisses et Issa Hayatou a plaidé la cause du Maroc. «Si vous faites ça, vous tuez le football marocain», a-t-il dit en substance. Mais ce ne fut pas aussi simple que ça car certains décideurs tenaient à des sanctions majeures. Finalement, l’avis d’Hayatou a prévalu, non sans mal, et le Maroc a évité le pire.
lequipe Hervé PENOT
Suspendu pour les deux prochaines éditions de la Coupe d'Afrique des nations, pour avoir renoncé à accueillir celle de cette année, le Maroc aurait pu être beaucoup plus lourdement sanctionné sans l'intervention du président de la CAF, Issa Hayatou.
Le Maroc peut remercier Issa Hayatou, le président de la CAF. Si les sanctions contre le pays peuvent apparaître lourdes, elle sont infimes, d’après nos informations, au regard de ce qui était prévu avant le comité exécutif, vendredi. Une première mouture était même déjà écrite avec des résolutions beaucoup plus contraignantes : interdiction de toutes les compétitions des clubs et de la sélection nationale jusqu’en 2022, soit jusqu’à la Coupe du monde au Qatar.
«Si vous faites ça, vous tuez le football marocain.»
Deux tendances lourdes s’affrontaient dans les coulisses et Issa Hayatou a plaidé la cause du Maroc. «Si vous faites ça, vous tuez le football marocain», a-t-il dit en substance. Mais ce ne fut pas aussi simple que ça car certains décideurs tenaient à des sanctions majeures. Finalement, l’avis d’Hayatou a prévalu, non sans mal, et le Maroc a évité le pire.
lequipe Hervé PENOT
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