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Ain El Hammam: un ouvrier enseveli sauvé de justesse

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  • Ain El Hammam: un ouvrier enseveli sauvé de justesse

    Dieu merci, cet ouvrier a pus être sauvé de justesse, mais là se pose la question relative à la sécurité et aux mesures préventives qui devraient être toujours de vigueur mais ce n'est pas le cas alors espérons que ce drame qui a eu un heureux dénouement ne soit pas suivis d'autres .

    ===

    Enseveli par des remblais, un ouvrier du chantier qui se tient en ce moment au centre-ville a failli perdre la vie n’était l’intervention rapide de ses camarades et des agents de la protection civile appelés au secours.

    En effet, au moment où il travaillait dans le fossé creusé pour recevoir des buses d’évacuation des eaux usées de la ville, l’infortuné jeune homme fut recouvert entièrement par de la terre qui s’était affaissée brusquement.

    Il se retrouva enterré vivant, à trois mètres environ du niveau du sol. Ses camarades ainsi que les présents ont appelé au secours. Leurs cris, mal interprétés par la plupart des gens qui vaquaient à leurs occupations, créèrent un mouvement de panique.

    Tous, en effet, pensaient que ce qu’ils redoutaient, c’est-à-dire l’affaissement de la ville, était arrivé. Entre-temps, les pompiers arrivèrent et prirent les choses en main, aidés dans leur tâche par des citoyens qui s’affairaient à dégager le corps au plus vite.

    Moins de cinq minutes après l’accident, le jeune homme fut sorti de terre et conduit immédiatement à l’hôpital où il est toujours gardé en observation.

    Ses jours ne sont pas en danger d’après les renseignement en notre possession. Ce genre d’accident, qui n’est malheureusement pas le premier du genre, doit être prévenu.

    Les tranchées très profondes doivent être sécurisées afin d’éviter le pire. Ce qui est arrivé aujourd’hui doit servir de leçon à tout un chacun. Nous remarquons souvent dans nos chantiers des ouvriers en train de travailler à 10 mètres du sol, sur des échafaudages de fortune et sans sécurité. Ils sont à la merci du moindre coup de vent. Leur vie ne tient qu’à un fil. Si les patrons “offrent” du travail à ces pères de familles dans le besoin, ils devraient aussi leur assurer un minimum de sécurité même si cela doit leur coûter “quelques dinars” de plus.

    Par la dépêche de kabylie
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