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Bonne nouvelle pour les enfants atteints de maladies cardiaques congénitales. Une autre convention pour leur prise en charge a été signée, hier, entre la Caisse nationale des assurances sociales (CNAS) et l’hôpital universitaire de Genève (HUG), lors d’une cérémonie organisée à cet effet au siège du ministère du Travail et de la Sécurité Sociale, à Alger.
La convention a été signée par M. Ahmed Khenchoul, directeur général de la CNAS, et Mme Nicole Rocha, représentante du directeur général de l’hôpital genevoix, et ce en présence du ministre du Travail et de la Sécurité sociale, M. Tayeb Louh, et de l’ambassadeur de Suisse en Algérie, M. Michel Gottret.
Le premier objectif visé à travers cette convention est, bien sûr, la prise en charge de ces enfants. Le deuxième objectif, autrement plus important, réside dans le transfert du savoir. Il s’agit, selon le ministre, «de la formation de nos équipes médicales nationales, médecins et paramédicaux confondus».
Les médecins algériens bénéficieront, selon M. Louh, «de l’expérience d’équipes médicales étrangères qui vont venir en Algérie pour faire des interventions chirurgicales». Une clause prévue dans la convention signée hier engage en effet les chirurgiens suisses à venir opérer en Algérie et former, par la même occasion, les médecins algériens dans ce domaine de la chirurgie de pointe.
La signature de cette convention s’inscrit dans le cadre d’un programme initié, selon M. Louh, en 2006 et qui s’étalera jusqu’à 2009. Il est à rappeler qu’une «liste d’attente» d’enfants atteints de maladies cardiaques congénitales a été établie par les services concernés du ministère.
Le nombre des ces enfants est, selon M. Ahmed Khenchoul, de l’ordre de «3 500, sans oublier les 1 000 nouveaux cas enregistrés chaque année». Une partie de ces enfants, faut-il le préciser, est déjà prise en charge au niveau de la clinique médico-chirurgicale de Bousmaïl (CMCI), spécialisée dans cette pathologie.
Une deuxième partie est prise en charge par 4 cliniques privées algériennes dans le cadre de conventions signées entre la CNAS et celles-ci. Une troisième partie est quant à elle prise en charge dans des hôpitaux étrangers, également dans le cadre de conventions similaires à celle signée hier avec l’hôpital universitaire de Genève.
Il convient de noter que la convention signée hier est la troisième du genre signée avec des hôpitaux étrangers spécialisés dans les pathologies cardiaques infantiles, après celles ratifiées entre les ministères algérien et jordanien de la Santé en 1992 et celle établie, durant la même année, avec l’hôpital Reine-Fabiola en Belgique.
«D’autres conventions suivront, selon M. Tayeb Louh, dont l’objectif est la prise en charge du maximum de patients, pour ne pas dire de la totalité de ces enfants. » Un projet de convention a été d’ailleurs négocié avec l’hôpital Saint-Luc de Bruxelles et la convention sera incessamment signée.
Sur un autre chapitre, interpellé par les journalistes concernant la question des allocataires de retraite proportionnelle et sans condition d’âge, qui ne sont pas inclus dans les récentes augmentations des retraites, M. Louh a réaffirmé que «cette catégorie n’est pas visée par le président de la République et que leurs allocations ne bénéficieront pas de relèvements», soulignant que «ce dossier est désormais clos».
- Le Jeune Indpendant
La convention a été signée par M. Ahmed Khenchoul, directeur général de la CNAS, et Mme Nicole Rocha, représentante du directeur général de l’hôpital genevoix, et ce en présence du ministre du Travail et de la Sécurité sociale, M. Tayeb Louh, et de l’ambassadeur de Suisse en Algérie, M. Michel Gottret.
Le premier objectif visé à travers cette convention est, bien sûr, la prise en charge de ces enfants. Le deuxième objectif, autrement plus important, réside dans le transfert du savoir. Il s’agit, selon le ministre, «de la formation de nos équipes médicales nationales, médecins et paramédicaux confondus».
Les médecins algériens bénéficieront, selon M. Louh, «de l’expérience d’équipes médicales étrangères qui vont venir en Algérie pour faire des interventions chirurgicales». Une clause prévue dans la convention signée hier engage en effet les chirurgiens suisses à venir opérer en Algérie et former, par la même occasion, les médecins algériens dans ce domaine de la chirurgie de pointe.
La signature de cette convention s’inscrit dans le cadre d’un programme initié, selon M. Louh, en 2006 et qui s’étalera jusqu’à 2009. Il est à rappeler qu’une «liste d’attente» d’enfants atteints de maladies cardiaques congénitales a été établie par les services concernés du ministère.
Le nombre des ces enfants est, selon M. Ahmed Khenchoul, de l’ordre de «3 500, sans oublier les 1 000 nouveaux cas enregistrés chaque année». Une partie de ces enfants, faut-il le préciser, est déjà prise en charge au niveau de la clinique médico-chirurgicale de Bousmaïl (CMCI), spécialisée dans cette pathologie.
Une deuxième partie est prise en charge par 4 cliniques privées algériennes dans le cadre de conventions signées entre la CNAS et celles-ci. Une troisième partie est quant à elle prise en charge dans des hôpitaux étrangers, également dans le cadre de conventions similaires à celle signée hier avec l’hôpital universitaire de Genève.
Il convient de noter que la convention signée hier est la troisième du genre signée avec des hôpitaux étrangers spécialisés dans les pathologies cardiaques infantiles, après celles ratifiées entre les ministères algérien et jordanien de la Santé en 1992 et celle établie, durant la même année, avec l’hôpital Reine-Fabiola en Belgique.
«D’autres conventions suivront, selon M. Tayeb Louh, dont l’objectif est la prise en charge du maximum de patients, pour ne pas dire de la totalité de ces enfants. » Un projet de convention a été d’ailleurs négocié avec l’hôpital Saint-Luc de Bruxelles et la convention sera incessamment signée.
Sur un autre chapitre, interpellé par les journalistes concernant la question des allocataires de retraite proportionnelle et sans condition d’âge, qui ne sont pas inclus dans les récentes augmentations des retraites, M. Louh a réaffirmé que «cette catégorie n’est pas visée par le président de la République et que leurs allocations ne bénéficieront pas de relèvements», soulignant que «ce dossier est désormais clos».
- Le Jeune Indpendant