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Plusieurs enseignants de l’enseignement technique de l’éducation nationale seront transférés à partir de l’année prochaine vers les établissements de la formation et de l’enseignement professionnels.
L'annonce a été faite, hier, par Aboubakeur Benbouzid, ministre de l’Education nationale, à l’Institut national de la formation professionnelle (INFP) d’Alger, lors de l’installation de la commission interministérielle chargée d’étudier les modalités de mise en œuvre du nouveau parcours d’enseignement professionnel dans le cadre de la réforme du système national d’éducation et de formation. Lors de cette rencontre qui a vu la présence des ministres concernés, à savoir celui de l’Education nationale, de la Formation et de l’Enseignement professionnel, El-Hadi Khaldi, ainsi que du secrétaire général du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Osmane Brahim, il a été également annoncé que le nombre des enseignants concernés par ce transfert sera connu dans les dix prochains jours. Pour M. Benbouzid, l’enseignement technique relève de l’enseignement professionnel et la réforme du système éducatif ne peut réussir sans la coordination des deux autres secteurs, à savoir celui de l’enseignement professionnel et de l’enseignement supérieur, car c’est une réforme globale avec les autres secteurs. Pour ces responsables, les enseignants de l’enseignement technique, qui seront transférés vers l’enseignement professionnel, bénéficieront d’une formation ces jours-ci dans le domaine de l’informatique. Le ministre de l’Education nationale a, toutefois, déclaré qu’aucun enseignant de l’enseignement professionnel ne sera licencié. Il a également déclaré que dans le cadre de la réforme du système éducatif, les 10 filières de l’enseignement technique qui existent au niveau de son secteur seront réduites à cinq seulement à partir de l’année prochaine, ce qui explique qu’il y aura après cela un sureffectif dans le corps des enseignants. Tout en rappelant que près de 15 000 nouveaux postes budgétaires ont été créés cette année pour les trois secteurs, dont 9 000 pour la formation et l’enseignement supérieur, M. Benbouzid a affirmé que les trois départements ont encore besoin d’enseignants.
Notons, par ailleurs, que M. Khaldi, qui a fait une brève présentation de son secteur ainsi que les objectifs qu’il vise et ce qu’il peut apporter au développement de l’économie du pays, a déclaré que les meilleurs stagiaires de l’enseignement supérieur peuvent prétendre à une licence professionnelle dans les universités.
- La Nouvelle Republique
L'annonce a été faite, hier, par Aboubakeur Benbouzid, ministre de l’Education nationale, à l’Institut national de la formation professionnelle (INFP) d’Alger, lors de l’installation de la commission interministérielle chargée d’étudier les modalités de mise en œuvre du nouveau parcours d’enseignement professionnel dans le cadre de la réforme du système national d’éducation et de formation. Lors de cette rencontre qui a vu la présence des ministres concernés, à savoir celui de l’Education nationale, de la Formation et de l’Enseignement professionnel, El-Hadi Khaldi, ainsi que du secrétaire général du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Osmane Brahim, il a été également annoncé que le nombre des enseignants concernés par ce transfert sera connu dans les dix prochains jours. Pour M. Benbouzid, l’enseignement technique relève de l’enseignement professionnel et la réforme du système éducatif ne peut réussir sans la coordination des deux autres secteurs, à savoir celui de l’enseignement professionnel et de l’enseignement supérieur, car c’est une réforme globale avec les autres secteurs. Pour ces responsables, les enseignants de l’enseignement technique, qui seront transférés vers l’enseignement professionnel, bénéficieront d’une formation ces jours-ci dans le domaine de l’informatique. Le ministre de l’Education nationale a, toutefois, déclaré qu’aucun enseignant de l’enseignement professionnel ne sera licencié. Il a également déclaré que dans le cadre de la réforme du système éducatif, les 10 filières de l’enseignement technique qui existent au niveau de son secteur seront réduites à cinq seulement à partir de l’année prochaine, ce qui explique qu’il y aura après cela un sureffectif dans le corps des enseignants. Tout en rappelant que près de 15 000 nouveaux postes budgétaires ont été créés cette année pour les trois secteurs, dont 9 000 pour la formation et l’enseignement supérieur, M. Benbouzid a affirmé que les trois départements ont encore besoin d’enseignants.
Notons, par ailleurs, que M. Khaldi, qui a fait une brève présentation de son secteur ainsi que les objectifs qu’il vise et ce qu’il peut apporter au développement de l’économie du pays, a déclaré que les meilleurs stagiaires de l’enseignement supérieur peuvent prétendre à une licence professionnelle dans les universités.
- La Nouvelle Republique