Dans cet amour qui est le tien et le mien,
Inconnus on se touche d'un tout, d'un rien,
Enlacés aux désirs de n'être qu'un,
Le temps d'un sourire ou de quelques matins.
Briser la solitude et nous aimer un instant,
Baiser nos corps qui espèrent, latents,
Jusqu'à la démesure, sensuellement,
Emporte-moi au-delà de ce temps.
Aimer, dans ce monde qui se dépeint,
A travers la vérité des cris éteints,
Restent les couleurs des murs pour dire,
Ce que nous ne pouvons plus écrire.
Arrache le masque de l'indifférence,
Toi, le monde, prends la liberté que tu réclames,
Délivre nos rêves de l'espérance,
Baise-moi la main et le corps jusqu'à l'âme.
Nathalie Cougny
Inconnus on se touche d'un tout, d'un rien,
Enlacés aux désirs de n'être qu'un,
Le temps d'un sourire ou de quelques matins.
Briser la solitude et nous aimer un instant,
Baiser nos corps qui espèrent, latents,
Jusqu'à la démesure, sensuellement,
Emporte-moi au-delà de ce temps.
Aimer, dans ce monde qui se dépeint,
A travers la vérité des cris éteints,
Restent les couleurs des murs pour dire,
Ce que nous ne pouvons plus écrire.
Arrache le masque de l'indifférence,
Toi, le monde, prends la liberté que tu réclames,
Délivre nos rêves de l'espérance,
Baise-moi la main et le corps jusqu'à l'âme.
Nathalie Cougny
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