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Derrière cette «narco-guérilla» que nous livre notre voisin de l'Ouest se cachent des desseins inavoués qui n'ont pour autre objectif que de déstabiliser l'Algérie.
Les quantités de drogue réceptionnées par l'Algérie témoignent du degré de haine que voue le pouvoir marocain à l'Algérie. Mais derrière cette «narco-guérilla» que nous livre notre voisin de l'Ouest se cachent des desseins inavoués qui n'ont pour autre objectif que de déstabiliser l'Algérie à travers la réactivation des groupes terroristes. Ceux d'Aqmi, notamment.
Les tonnes de drogue en provenance du Maroc ont pour but de les financer. Des informations dignes de foi qui nous ont été livrées sous le sceau de l'anonymat indiquaient qu'une connexion entre les services marocains et la branche d'Al Qaîda au Maghreb islamique est avérée. Des rencontres entre les deux parties se sont déroulées pour sceller un pacte qui mettrait à nouveau le pays à feu et à sang. Le Sud algérien serait visé en priorité. La bande sahélo-sahélienne étant considérée comme une base arrière et un fief des organisations terroristes qui se livrent au banditisme, aux enlèvements de touristes étrangers et au trafic en tout genre qui constituent les principales activités qui alimentent leurs caisses et constituent leurs principales sources de revenus.
La Tunisie fragilisée par une grave crise politique dont elle se relève petit à petit depuis qu'elle a décidé de mettre fin au règne sans partage de son ex-président Zine el Abidine Ben Ali mais surtout la Libye en plein chaos depuis la chute et la disparition du guide de l'ex- Jamahiriya, Mouaâmar El Gueddaffi, font partie de ce funeste projet d'enterrer le Maghreb.
La question du Sahara occidental reste la principale cause de la brouille des relations algéro-marocaines au point où le pouvoir marocain projette de financer les terroristes d'Aqmi (Al Qaîda au Maghreb islamique) pour déstabiliser l'Algérie. De nombreuses déclarations le soulignent. «Les centres américains et européens spécialisés soulignent dans leurs rapports l'implication de l'Etat marocain dans la déstabilisation de la région et avec des mouvements terroristes dans la région sahélo-saharienne» avait déclaré le 18 août 2014 le ministre sahraoui de la Reconstruction des territoires libérés, Belahi Sayed.
«Le fléau des stupéfiants qui cible les peuples de la région maghrébine et du Sahel africain, s'avère plus dangereux que par le passé...à cause de l'alliance des barons du trafic de drogue produite dans le Royaume du Maroc avec les groupes terroristes», avait fait remarquer le spécialiste des affaires de sécurité, Omar Benjana, à l'occasion d'une conférence qu'il avait animée à Boumerdès (une quarantaine de km à l'est d'Alger), en juillet 2013.
La principale cible du Makhzen demeure cependant l'Algérie, «les quantités de résine de cannabis saisies en 2014, ont affiché près de 182 tonnes...» a révélé le 13 février, le directeur général de l'Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Onldt), Mohamed Benhalla, qui a indiqué que «la totalité des quantités de résine de cannabis saisies, qui représentent la plus grande quantité de drogues saisies en Algérie, provient du pays voisin, le Maroc». L'Algérie qui a reçu 614 tonnes de cannabis en l'espace de 10 ans (entre 2003 et 2013), demeure le pays le plus exposé à la déflagration que peut provoquer cette arme de destruction massive.
Une guerre qui ne dit pas son nom, qu'a décidé de lui livrer le pouvoir marocain. Mettre sens dessus dessous l'Algérie est devenu le leitmotiv du Makhzen. Un business qui pèse 12 milliards de dollars. Il alimente les caisses des groupes terroristes qui n'ont pour seul objectif que de mettre à feu et à sang la région...
l'expression
Les quantités de drogue réceptionnées par l'Algérie témoignent du degré de haine que voue le pouvoir marocain à l'Algérie. Mais derrière cette «narco-guérilla» que nous livre notre voisin de l'Ouest se cachent des desseins inavoués qui n'ont pour autre objectif que de déstabiliser l'Algérie à travers la réactivation des groupes terroristes. Ceux d'Aqmi, notamment.
Les tonnes de drogue en provenance du Maroc ont pour but de les financer. Des informations dignes de foi qui nous ont été livrées sous le sceau de l'anonymat indiquaient qu'une connexion entre les services marocains et la branche d'Al Qaîda au Maghreb islamique est avérée. Des rencontres entre les deux parties se sont déroulées pour sceller un pacte qui mettrait à nouveau le pays à feu et à sang. Le Sud algérien serait visé en priorité. La bande sahélo-sahélienne étant considérée comme une base arrière et un fief des organisations terroristes qui se livrent au banditisme, aux enlèvements de touristes étrangers et au trafic en tout genre qui constituent les principales activités qui alimentent leurs caisses et constituent leurs principales sources de revenus.
La Tunisie fragilisée par une grave crise politique dont elle se relève petit à petit depuis qu'elle a décidé de mettre fin au règne sans partage de son ex-président Zine el Abidine Ben Ali mais surtout la Libye en plein chaos depuis la chute et la disparition du guide de l'ex- Jamahiriya, Mouaâmar El Gueddaffi, font partie de ce funeste projet d'enterrer le Maghreb.
La question du Sahara occidental reste la principale cause de la brouille des relations algéro-marocaines au point où le pouvoir marocain projette de financer les terroristes d'Aqmi (Al Qaîda au Maghreb islamique) pour déstabiliser l'Algérie. De nombreuses déclarations le soulignent. «Les centres américains et européens spécialisés soulignent dans leurs rapports l'implication de l'Etat marocain dans la déstabilisation de la région et avec des mouvements terroristes dans la région sahélo-saharienne» avait déclaré le 18 août 2014 le ministre sahraoui de la Reconstruction des territoires libérés, Belahi Sayed.
«Le fléau des stupéfiants qui cible les peuples de la région maghrébine et du Sahel africain, s'avère plus dangereux que par le passé...à cause de l'alliance des barons du trafic de drogue produite dans le Royaume du Maroc avec les groupes terroristes», avait fait remarquer le spécialiste des affaires de sécurité, Omar Benjana, à l'occasion d'une conférence qu'il avait animée à Boumerdès (une quarantaine de km à l'est d'Alger), en juillet 2013.
La principale cible du Makhzen demeure cependant l'Algérie, «les quantités de résine de cannabis saisies en 2014, ont affiché près de 182 tonnes...» a révélé le 13 février, le directeur général de l'Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Onldt), Mohamed Benhalla, qui a indiqué que «la totalité des quantités de résine de cannabis saisies, qui représentent la plus grande quantité de drogues saisies en Algérie, provient du pays voisin, le Maroc». L'Algérie qui a reçu 614 tonnes de cannabis en l'espace de 10 ans (entre 2003 et 2013), demeure le pays le plus exposé à la déflagration que peut provoquer cette arme de destruction massive.
Une guerre qui ne dit pas son nom, qu'a décidé de lui livrer le pouvoir marocain. Mettre sens dessus dessous l'Algérie est devenu le leitmotiv du Makhzen. Un business qui pèse 12 milliards de dollars. Il alimente les caisses des groupes terroristes qui n'ont pour seul objectif que de mettre à feu et à sang la région...
l'expression
Et aussi à traverser le territoire algérien pour se retrouver au Caire et au delà de ce pays
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