Heureusement pour l’historien saoudien Saleh Al-Saadoun que le ridicule ne tue pas. Ses propos ont juste provoqué le fou rire de la journaliste qui l’interviewait sur la chaîne Rotana Khalijia.
Débattant de l’interdiction pour les femmes de conduire en Arabie saoudite sur le plateau de télévision de l’émission « Ettijahat » sur la chaîne Rotana Khalijia, l’historien Saleh Al-Saadoun en est venu à l’expliquer par le fait que si leur voiture tombait en panne, les conductrices pouvaient faire de mauvaises rencontres et être violées. Et quand la journaliste Nadine Al Badeir a évoqué les pays dans lesquels les femmes conduisent, il a répondu que les étrangères se fichaient de se faire violer au bord de la route.
Quitte à pousser l’historien au bout de sa pensée, la journaliste a rétorqué que le chauffeur d’une Saoudienne pouvait aussi bien la violer. Réponse ahurissante du savant : il suffit d’engager des femmes chauffeurs étrangères ! (vidéo en arabe sous-titrée en anglais).
Tel Quel
Débattant de l’interdiction pour les femmes de conduire en Arabie saoudite sur le plateau de télévision de l’émission « Ettijahat » sur la chaîne Rotana Khalijia, l’historien Saleh Al-Saadoun en est venu à l’expliquer par le fait que si leur voiture tombait en panne, les conductrices pouvaient faire de mauvaises rencontres et être violées. Et quand la journaliste Nadine Al Badeir a évoqué les pays dans lesquels les femmes conduisent, il a répondu que les étrangères se fichaient de se faire violer au bord de la route.
Quitte à pousser l’historien au bout de sa pensée, la journaliste a rétorqué que le chauffeur d’une Saoudienne pouvait aussi bien la violer. Réponse ahurissante du savant : il suffit d’engager des femmes chauffeurs étrangères ! (vidéo en arabe sous-titrée en anglais).
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