Il n’y a rien de plus assommant que d’écrire des articles à propos de scélérats dont les ambitions se mesurent au contenu de leurs comptes en banque. A chaque fois, je ressens de l’amertume, car j’appartiens à une école malheureusement effondrée aujourd’hui, celle du patriotisme. Néanmoins, mon devoir de journaliste patriote m’impose de pourchasser les coléoptères coprophages qui pullulent dans mon pays et prospèrent en bouffant de la *****.
Un nom pollue actuellement l’Algérie de mes ancêtres et s’étale partout : Ali Haddad. On pourrait dire de lui qu’il a repris à son compte la fable de la grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le bœuf, sans avoir rien retenu de la morale de l’histoire qui finit, comme chacun sait, par un « Pffuuuit ».
Ce virus sorti de nulle part s’improvise tout à la fois chef de l’Etat, de la diplomatie, d’entreprises qui n’ont rien produit, et j’en passe. Le mégalomane Ali Haddad se prend pour le nouveau Messie et est persuadé qu’il peut être tête d’affiche, lui, le petit bricoleur qui s’est engraissé grâce à l’ex-wali de Tizi Ouzou, Mostefa Benmansour, qui lui a octroyé les marchés publics de gré à gré et l’a entraîné dans son sillage lors de son accession au poste de ministre de l’Intérieur. Haddad est omniprésent et tout le monde lui prédit un grand destin, certains le voyant même assumer la charge présidentielle. Allons-nous remplacer une chaise roulante par un escroc notoire ?
L’Algérie des martyrs mérite-t-elle un pouvoir politique off shore avec des patrons made in Taiwan servis par des medias adeptes de la mangeoire et se prostituant pour les deniers de la pub ? Il est temps de remettre les pendules à l’heure.
Fils d’un épicier établi dans la petite ville côtière d’Azzefoun, Ali Haddad s’est associé avec ses frères pour monter une entreprise et, doté d’une ambition démesurée, a joué des coudes pour se placer où il est aujourd’hui.
Dans le brouillard opaque et l’anarchie qui règnent dans l’Algérie d’aujourd’hui, des usurpateurs comme Haddad se sont faufilés à la tête des institutions et l’on voit un vulgaire boutiquier s’introniser président, ministre, diplomate, patron des patrons, sans que personne ne le renvoie dans son épicerie à coups de pied au ***. Ce microbe se prend pour un capitaine d’industrie alors qu’il n’est même pas capitaliste, juste un affairiste spéculateur qui ne produit absolument rien et qui se sert de son réseau de relations pour se faire du fric.
Il représente à lui tout seul l’absurdité et le délabrement politique, car comment comprendre qu’un marchand de légumes gravisse tous les échelons en un temps record pour prendre la tête du FCE (Forum des chefs d’entreprise), amasse une fortune estimée à 400 millions d’euros, rafle tous les marchés publics avec son groupe ETRHB Haddad qui englobe plusieurs sociétés : BPH (bitume et pétrole Haddad) – BERTHO spa (filiale études et maîtrise d’œuvres) – Housing Construction Haddad spa (Filiale promotion immobilière) – SAVEM spa (Société Algérienne des Véhicules, Engins et Maintenance) – une filiale de tourisme et d’hôtellerie (structures hôtelières LE MARIN et LE MARIN BIS), soit concessionnaire de plusieurs marques d’automobiles, devienne propriétaire du club de foot l’USM d’Alger, de deux journaux, Le Temps d’Algérie et Wakt el Djzair, et de deux chaînes de télévision off shore, Dzair TV et Dzaïr News ? Il est aussi partenaire du groupe italien de la construction Rizzani de Eccher d’Udine, spécialisé dans le génie civil, les infrastructures et la construction de bâtiments de luxe. Comment édifie-t-on une fortune en un clin d’œil, si ce n’est en pratiquant le copinage et en utilisant les pots-de-vin pour corrompre? Le « Kadi » de l’hypermarché des travaux publics ou souk algérien, rempli de marchandise informelle et de scandales en vrac par les manigances des copains coquins, se balade sur une autoroute qui a coûté deux fois le prix du tunnel de la Manche.
Non content de s’enrichir outrageusement aux dépends de l’Etat et donc du peuple, Ali Haddad, stagiaire de la bourgeoisie compradore, se prostitue aux puissances occidentales pour accéder au pouvoir. Il est passé maître dans l’art de lécher le *** de Fafa, sa mère-patrie la France sur laquelle il compte pour le sacrer futur roi. Nom de dieu ! Peut-on être roi sans l’aval de Fafa (la France) ? Un proche m’a dit un jour que l’Algérie avait chassé la France mais que la canaille finirait par lui courir après, ce qui est pire que le syndrome de Stockholm.
C’est à tel point que l’ambassadeur de France en Algérie est devenu porte-parole du gouvernement algérien en annonçant les allées et venues entre Paris et Alger de nos ministres et du clan de l’argent sale. Début février, c’était au tour de la visite à Paris du patron compradore stagiaire Ali Haddad. Nous n’avons rien à faire des ambassadeurs occidentaux qui encensent les cloportes susceptibles de servir leurs intérêts.
Mais les Français ne sont pas les seuls à apprécier Haddad, car les Américains ont fait sa promotion depuis longtemps. Selon un câble de Wikileaks du 7/12/2009, l’ambassade américaine avait recommandé Ali Haddad parmi d’autres candidats pour présider le sommet de l’entreprenariat algérien : « l’ambassade recommande Ali Haddad pour le Sommet de l’entreprise comme l’un des quelques entrepreneurs de la construction en Algérie, dont l’entreprise a gagné certains contrats et a rempli l’énorme déficit d’infrastructure de l’Algérie, élargissant ainsi l’expertise de gestion de la construction dans ce pays ».
Ainsi, déjà à l’époque, il bénéficiait déjà d’un soutien de poids. Et aujourd’hui, que peut offrir Haddad à une France en récession et quels sont donc les intérêts de l’Algérie aux mains des pilleurs de la nation ? Des ministres algériens offrent leur derrière sans état d’âme à ce mercenaire qui, à son tour, présente le sien avec enthousiasme à leur « métropole », la France.
Un nom pollue actuellement l’Algérie de mes ancêtres et s’étale partout : Ali Haddad. On pourrait dire de lui qu’il a repris à son compte la fable de la grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le bœuf, sans avoir rien retenu de la morale de l’histoire qui finit, comme chacun sait, par un « Pffuuuit ».
Ce virus sorti de nulle part s’improvise tout à la fois chef de l’Etat, de la diplomatie, d’entreprises qui n’ont rien produit, et j’en passe. Le mégalomane Ali Haddad se prend pour le nouveau Messie et est persuadé qu’il peut être tête d’affiche, lui, le petit bricoleur qui s’est engraissé grâce à l’ex-wali de Tizi Ouzou, Mostefa Benmansour, qui lui a octroyé les marchés publics de gré à gré et l’a entraîné dans son sillage lors de son accession au poste de ministre de l’Intérieur. Haddad est omniprésent et tout le monde lui prédit un grand destin, certains le voyant même assumer la charge présidentielle. Allons-nous remplacer une chaise roulante par un escroc notoire ?
L’Algérie des martyrs mérite-t-elle un pouvoir politique off shore avec des patrons made in Taiwan servis par des medias adeptes de la mangeoire et se prostituant pour les deniers de la pub ? Il est temps de remettre les pendules à l’heure.
Fils d’un épicier établi dans la petite ville côtière d’Azzefoun, Ali Haddad s’est associé avec ses frères pour monter une entreprise et, doté d’une ambition démesurée, a joué des coudes pour se placer où il est aujourd’hui.
Dans le brouillard opaque et l’anarchie qui règnent dans l’Algérie d’aujourd’hui, des usurpateurs comme Haddad se sont faufilés à la tête des institutions et l’on voit un vulgaire boutiquier s’introniser président, ministre, diplomate, patron des patrons, sans que personne ne le renvoie dans son épicerie à coups de pied au ***. Ce microbe se prend pour un capitaine d’industrie alors qu’il n’est même pas capitaliste, juste un affairiste spéculateur qui ne produit absolument rien et qui se sert de son réseau de relations pour se faire du fric.
Il représente à lui tout seul l’absurdité et le délabrement politique, car comment comprendre qu’un marchand de légumes gravisse tous les échelons en un temps record pour prendre la tête du FCE (Forum des chefs d’entreprise), amasse une fortune estimée à 400 millions d’euros, rafle tous les marchés publics avec son groupe ETRHB Haddad qui englobe plusieurs sociétés : BPH (bitume et pétrole Haddad) – BERTHO spa (filiale études et maîtrise d’œuvres) – Housing Construction Haddad spa (Filiale promotion immobilière) – SAVEM spa (Société Algérienne des Véhicules, Engins et Maintenance) – une filiale de tourisme et d’hôtellerie (structures hôtelières LE MARIN et LE MARIN BIS), soit concessionnaire de plusieurs marques d’automobiles, devienne propriétaire du club de foot l’USM d’Alger, de deux journaux, Le Temps d’Algérie et Wakt el Djzair, et de deux chaînes de télévision off shore, Dzair TV et Dzaïr News ? Il est aussi partenaire du groupe italien de la construction Rizzani de Eccher d’Udine, spécialisé dans le génie civil, les infrastructures et la construction de bâtiments de luxe. Comment édifie-t-on une fortune en un clin d’œil, si ce n’est en pratiquant le copinage et en utilisant les pots-de-vin pour corrompre? Le « Kadi » de l’hypermarché des travaux publics ou souk algérien, rempli de marchandise informelle et de scandales en vrac par les manigances des copains coquins, se balade sur une autoroute qui a coûté deux fois le prix du tunnel de la Manche.
Non content de s’enrichir outrageusement aux dépends de l’Etat et donc du peuple, Ali Haddad, stagiaire de la bourgeoisie compradore, se prostitue aux puissances occidentales pour accéder au pouvoir. Il est passé maître dans l’art de lécher le *** de Fafa, sa mère-patrie la France sur laquelle il compte pour le sacrer futur roi. Nom de dieu ! Peut-on être roi sans l’aval de Fafa (la France) ? Un proche m’a dit un jour que l’Algérie avait chassé la France mais que la canaille finirait par lui courir après, ce qui est pire que le syndrome de Stockholm.
C’est à tel point que l’ambassadeur de France en Algérie est devenu porte-parole du gouvernement algérien en annonçant les allées et venues entre Paris et Alger de nos ministres et du clan de l’argent sale. Début février, c’était au tour de la visite à Paris du patron compradore stagiaire Ali Haddad. Nous n’avons rien à faire des ambassadeurs occidentaux qui encensent les cloportes susceptibles de servir leurs intérêts.
Mais les Français ne sont pas les seuls à apprécier Haddad, car les Américains ont fait sa promotion depuis longtemps. Selon un câble de Wikileaks du 7/12/2009, l’ambassade américaine avait recommandé Ali Haddad parmi d’autres candidats pour présider le sommet de l’entreprenariat algérien : « l’ambassade recommande Ali Haddad pour le Sommet de l’entreprise comme l’un des quelques entrepreneurs de la construction en Algérie, dont l’entreprise a gagné certains contrats et a rempli l’énorme déficit d’infrastructure de l’Algérie, élargissant ainsi l’expertise de gestion de la construction dans ce pays ».
Ainsi, déjà à l’époque, il bénéficiait déjà d’un soutien de poids. Et aujourd’hui, que peut offrir Haddad à une France en récession et quels sont donc les intérêts de l’Algérie aux mains des pilleurs de la nation ? Des ministres algériens offrent leur derrière sans état d’âme à ce mercenaire qui, à son tour, présente le sien avec enthousiasme à leur « métropole », la France.
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