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Djallab dit que le dinar n’a pas été dévalué, les chiffres disent le contraire

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  • Djallab dit que le dinar n’a pas été dévalué, les chiffres disent le contraire

    Mohamed Djallab, ministre des Finances, n’est pas d’accord avec les chiffres et il le dit : le dinar n’a pas été dévalué.

    « Il n’y a pas eu de dévaluation du dinar. Posez la question au gouverneur de la Banque d’Algérie « , a répondu le ministre à la question d’un journaliste sur une éventuelle dévaluation du dinar qui aurait été à l’origine de la hausse des prix des produits alimentaires depuis quelques jours, selon des propos rapportés ce mercredi 18 février, par l’agence officielle APS.

    M. Djallab n’est pas le seul a réfuter la baisse de la monnaie nationale face aux principales devises. Fin décembre, la Banque d’Algérie affirmait même que le dinar s’était apprécié ces derniers mois.

    Mais les chiffres disent le contraire, comme le montre le graphique que nous publions. En un an, le dinar a perdu 19% de sa valeur face au dollar. Mohamed Djallab et Mohamed Laksaci auront du mal à convaincre les Algériens qu’une chute de près de 20% de leur monnaie n’est pas une dévaluation.



    Samir Allam.
    TSA
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

  • #2
    c'est impressionnant !
    Remarquez dans le même temps l Euro a quand même perdu 16 %
    Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
    Mahomet

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    • #3
      Envoyé par gdesmon
      c'est impressionnant !
      Remarquez dans le même temps l Euro a quand même perdu 16 %
      Cela va rendre plus compétitif l'exportation des produits européens et renfloué un peu les marges de ces entreprises
      Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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      • #4
        Il veulent nous faire avaler une grosse couleuvre

        En fait ces gens la veulent nous faire, tout simplement, avaler une grosse couleuvre!!
        Il ont peut être raison car le Dinar non seulement il a été dévalué mais, en plus et surtout, il a été ridiculise par ceux qui sont payes pour le protéger et le valoriser !!
        En tous cas cette dévaluation qui est une réalité indiscutable et palpable,même si on s’efforce a inventer des théories contraires et absurdes, n'a rien apporte de concret et de positif au Pays si ce n'est un appauvrissement, encore un peu plus, des classes moyennes et moins que moyennes !!!!
        Le Sage

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        • #5
          La dévaluation du Dinar est voulu par les autorités monétaires pour stopper l'importation des produits et les rendre plus cher

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          • #6
            En fait ces gens la veulent nous faire, tout simplement, avaler une grosse couleuvre!!
            Il ont peut être raison car le Dinar non seulement il a été dévalué mais, en plus et surtout, il a été ridiculise par ceux qui sont payes pour le protéger et le valoriser !!
            En tous cas cette dévaluation qui est une réalité indiscutable et palpable,même si on s’efforce a inventer des théories contraires et absurdes, n'a rien apporte de concret et de positif au Pays si ce n'est un appauvrissement, encore un peu plus, des classes moyennes et moins que moyennes !!!
            franchement ton discours est fait de brics et de brocs...
            tu sais combien vaut le yuan ? de combien a été dévalué le yen ?
            combien de milliers de lires fallait donner pour se payer un café à rome ?



            tu sais que l'euro lui même à perdu 30% face au dollar qui lui même a été dévalué ??

            jusqu'à qd le bricolage des mots ?

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            • #7
              Envoyé par tawenza
              tu sais que l'euro lui même à perdu 30% face au dollar qui lui même a été dévalué ??

              jusqu'à qd le bricolage des mots ?
              On s'en fou que le dollar perde de la valeur par rapport à une autre monnaie où que le dinar perde 20% par rapport au dollar, ce qui compte c'est qu'est ce tu peux acheter avec un dollar au US ou un dinar en Algérie.
              Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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              • #8
                Si ça continu ,bientôt vous aurez besoin de brouettes pour allez faire vous courses hhhhhhh

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                • #9
                  On s'en fou que le dollar perde de la valeur par rapport à une autre monnaie où que le dinar perde 20% par rapport au dollar, ce qui compte c'est qu'est ce tu peux acheter avec un dollar au US ou un dinar en Algérie.
                  l'inflation est mécanique qd il y a dévaluation.

                  les loyers, le panier de la ménagère fkambent de façon quasi inverse à la dévaluation..

                  c connu dans toutes les écoles d'économie.

                  tous les gouv du monde sacrifient les couches populaires fragiles sur l'autel de l'économie avec la dévaluation.. mais pour être juste, ils le font parce qu'il n'ya pas d'autre choix..

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                  • #10
                    L'Algérie a d'autres moyens que la dévaluation, elle peut mettre en place des barrières douanières tarifaires et non tarifaires. La dévaluation ne va pas rendre service à l'économie algérienne.

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                    • #11
                      Votre analyse c'est de la daube pour populiste en mal de motivation.
                      Le dollar etant le dénominateur commun, donner la courbe de celui ci par rapport a toutes les monnaies.
                      Le lobby de l'export ne veut pas rater l'occasion pour encore se remplir les poches que dis je les comptes offshore bande de rascasse

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                      • #12
                        Dépréciation n'est pas dévaluation.

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                        • #13
                          Envoyé par danube
                          Votre analyse c'est de la daube pour populiste en mal de motivation.
                          Le dollar etant le dénominateur commun, donner la courbe de celui ci par rapport a toutes les monnaies.
                          Le lobby de l'export ne veut pas rater l'occasion pour encore se remplir les poches que dis je les comptes offshore bande de rascasse
                          Je me demande s'il y a vraiment une difference entre un patron vénézuelien et un patron algérien ?

                          Par Manuel Sutherland, économiste marxiste vénézuélien

                          Aujourd’hui plus que jamais, le Venezuela affirme son rôle de gigantesque centre commercial

                          Les prix élevés du pétrole et les bas niveaux d’endettement d’hier ont permis une augmentation grotesque de 347% des importations totales (sur la période 2003-2011). Cependant, la non-croissance des prix du pétrole et les échéances de remboursement de la dette ont limité les bénéfices pour l’État et ont fait apparaître de gros problèmes.

                          Les importations disproportionnées du secteur privé

                          La faiblesse des exportations privées s’exprime principalement par la nullité productive du patronat local, autrement dit son incapacité absolue et manifeste à être compétitive sur le marché international, étant ouvertement inefficace dans la production de marchandises.

                          Évidemment, cette situation d’improductivité et de haut niveau d’importation est pire que ce que les classiques de l’économie politique, Smith ou Ricardo, appellent l’état stationnaire.

                          Ce que l’on voit, c’est que l’État vénézuélien a vendu au patronat local (étrangers et vénézuéliens dont le cadre d’exploitation de la force de travail se circonscrit au territoire national) plus de 273 milliards de dollars à prix préférentiels, c’est-à-dire vendus au prix officiel, alors que sur le marché parallèle (en 2013), ils coûtent 500% de plus.

                          Le gouvernement a transféré des fortunes au patronat local, qui s’est enrichi comme jamais avec la rentre pétrolière.

                          Loin de profiter de la sur-évaluation du bolivar pour acheter des machines et des équipements, le patronat s’est consacré au cycle : importer des marchandises raffinées mais pas chères et les revendre (spéculer) et/ou importer rien du tout, pour s’approprier des dollars états-uniens et les revendre sur le marché parallèle.

                          Bien que le contrôle des changes ait freiné en 2003 la scandaleuse fuite des devises, depuis 2004 il n’a fait que renforcer cette hémorragie de devises.

                          Les calculs les plus prudents montrent que les devises que la bourgeoisie locale s’est appropriée et qu’elle a ensuite déposé à l’étranger avoisine les 145 milliards de $.

                          Ce chiffre est équivalent à 100 fois le coût de la construction de la ligne 5 du métro de Caracas, un des travaux d’infrastructure les plus coûteux d’Amérique latine.

                          Pire, les 273 milliards de dollars préférentiels livrés à la bourgeoisie locale pour qu’elle importe (bien plus de dollars que ce que l’économie vénézuelienne devrait importer), se sont traduits par un climat de pénurie, de réduction drastique de la qualité et de la disponibilité des marchandises dans le pays.

                          Tout cela indique clairement que la majorité des importations sont frauduleuses, elles n’existent tout simplement pas. Ce n’est qu’une fiction utile pour s’approprier des dollars préférentiels, qui sont immédiatement placés à l’étranger ou qui se vendent au prix du dollar parallèle, s’arrogeant des marges de profits de 500% …

                          Tant qu’on appliquera pas une radicale Nationalisation du commerce extérieur, par une Centrale étatique unique des importations (CEUI), la spirale importation-spéculation-dévaluation-inflation continuera de ruiner le pays.

                          Source: solidarité internationale pcf
                          Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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                          • #14
                            Medias24 ma

                            Le Maroc doit se préparer à une dépréciation du dirham

                            Selon les dernières communications du gouverneur de BAM, l’introduction d’une flexibilité du taux de change du dirham ne serait plus qu’une question de temps : le délai nécessaire pour BAM et le Ministère de l’Economie et des Finances d’affermir les pré-requis afin d’éviter de devoir faire marche arrière...
                            Dernière modification par MEK, 19 février 2015, 15h43.

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                            • #15
                              19 . 02 . 2015

                              Mohamed Djellab, qui a réfuté, hier, tout recours à une dévaluation du dinar, tout en soulignant, implicitement, que certains importateurs maintiennent leurs prix à la hausse malgré la baisse des cours mondiaux de certaines matières premières notamment alimentaires.

                              "Il n'y a pas eu de dévaluation du dinar. Posez la question au gouverneur de la Banque d'Algérie ", a répondu le ministre à une question d'un journaliste sur une éventuelle dévaluation du dinar qui aurait été à l'origine de la hausse des prix des produits alimentaires depuis quelques jours.

                              "Je peux vous poser la question inversement: Pourquoi les cours (des matières premières) qui ont baissé sur les marchés internationaux n'ont pas été répercutés sur le marché intérieur?", s'est interrogé le ministre qui s'exprimait en marge de la 9ème rencontre de l'Union des régulateurs boursiers arabes (UASA) qui se tient à Alger.

                              A rappeler que la Banque d'Algérie avait déjà affirmé n'avoir jamais dévalué le dinar, mais qu'elle procède, quand c'est nécessaire, à un ajustement du taux de change nominal de façon à ce que le taux de change réel soit à son niveau d'équilibre qui est déterminé par les fondamentaux de l'économie que sont le prix du pétrole, le différentiel de la productivité avec les partenaires et le niveau de la dépense publique.

                              La Banque centrale avait aussi précisé que la dévaluation d'une monnaie s'exerce dans le cas des taux de change fixes, alors que le taux de change du dinar est fixé, plutôt, selon un flottement dirigé.
                              ..............

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