Par ses méthodes musclées et agressives, le ministère marocain de l’intérieur a apparemment ouvert la boite de Pandore. Après l’arrestation manu militari de deux journalistes français à l’intérieur du siège de l’Association marocaine des droits humains (AMDH), un siège qui a été violé par une trentaine de policiers qui ont agressé une employée, Rabea Bouzidi, la presse française commence à s’intéresser sérieusement au*régime alaouite.
L’une des victimes de l’assaut policier, le journaliste et réalisateur français*Jean-Louis Perez, est allé témoigner de sa mésaventure marocaine sur Arte, une chaîne franco-allemande généralement*discrète sut les*d’atteintes aux droits de l’homme au royaume enchanté
Demainonline
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