Malmenée mardi à Annaba par Amar Saâdani, qui ne lui a pas « passé » ses critiques contre le président Bouteflika à qui elle reprochait dans un entretient à El Watan de n’avoir pas tenu ses engagements, Louisa Hanoune était en meeting mardi à Hassi Rmel, dans la wilaya de Laghouat pour les célébrations du 24 février. Son discours est un plaidoyer enflammé en faveur de l’exploitation du gaz de schiste, une position qu’elle a toujours défendue envers et contre l’opposition. Pour Louisa Hanoune, un éventuel empêchement des opérations d’exploration du gaz de schiste reviendrait tout simplement à « confisquer les attributions, missions et responsabilité de l’Etat s’agissant du développement du pays ». La chef du parti des travailleurs, reprenant à son compte les arguments du gouvernement soulignera que « le blocage de l’exploration de ce type d’énergie expose le pays au déficit et le conduira vers l’endettement extérieur ».
Revenant sur la fronde anti gaz de schiste, elle se demande si c’est « la réalité du gaz de schiste, en elle même qui pose problème, ou constituerait-elle seulement l’élément déclencheur ?». En tout état de cause elle considère que « la situation mérite d’être étudiée pour comprendre les préoccupations de la population d’In-Salah notamment, et trouver une issue à cette situation, à travers le dialogue et le débat rationnel et scientifique ».
Louisa Hanoune apporte des éclairages par rapport à la position du PT, favorable à l’exploitation de cette énergie, expliquant « avoir défendu l’exploration du gaz de schiste après s’être assurée des garanties technologiques et écologiques avancées ». Considérant surtout les retombées financières sur le pays, elle tente de convaincre par conséquent que « cette exploration devra impulser le développement dans les wilayas du Sud, générer des milliers d’emplois et créer d’importants instituts de formation spécialisés ».
Au sujet de la célébration du 24 février, elle juge qu’il s’agit des « haltes historiques reflétant la volonté et la détermination des travailleurs et du peuple dans la résistance, la protection de la nation, ainsi que la défense de sa souveraineté, son intégrité territoriale et les acquis de l’indépendance ». Et c’est aussi , ajoute t-elle un « renouvellement du serment à défendre cette nationalisation des hydrocarbures et des mines, et à la préservation de la propriété collective du peuple algérien ».
La responsable du PT a suggéré la mise en œuvre de ce qu’elle a qualifié de « distinction positive » qui, a-t-elle argué, « accorde la priorité aux couches défavorisées et régions accusant un retard de développement », en vue de « renforcer la cohésion nationale et atteindre les objectifs escomptés par la Révolution du 1er novembre ». Elle a, par ailleurs, appelé à « revoir » les mécanismes en vigueur au niveau de l’Agence nationale de l’emploi et à « hâter » la révision de la loi du travail, pour « lutter contre la fragilité de l’emploi et remédier au problème du chômage par la réouverture des entreprises fermées et la dynamisation des zones industrielles ».
source: algerie1
Revenant sur la fronde anti gaz de schiste, elle se demande si c’est « la réalité du gaz de schiste, en elle même qui pose problème, ou constituerait-elle seulement l’élément déclencheur ?». En tout état de cause elle considère que « la situation mérite d’être étudiée pour comprendre les préoccupations de la population d’In-Salah notamment, et trouver une issue à cette situation, à travers le dialogue et le débat rationnel et scientifique ».
Louisa Hanoune apporte des éclairages par rapport à la position du PT, favorable à l’exploitation de cette énergie, expliquant « avoir défendu l’exploration du gaz de schiste après s’être assurée des garanties technologiques et écologiques avancées ». Considérant surtout les retombées financières sur le pays, elle tente de convaincre par conséquent que « cette exploration devra impulser le développement dans les wilayas du Sud, générer des milliers d’emplois et créer d’importants instituts de formation spécialisés ».
Au sujet de la célébration du 24 février, elle juge qu’il s’agit des « haltes historiques reflétant la volonté et la détermination des travailleurs et du peuple dans la résistance, la protection de la nation, ainsi que la défense de sa souveraineté, son intégrité territoriale et les acquis de l’indépendance ». Et c’est aussi , ajoute t-elle un « renouvellement du serment à défendre cette nationalisation des hydrocarbures et des mines, et à la préservation de la propriété collective du peuple algérien ».
La responsable du PT a suggéré la mise en œuvre de ce qu’elle a qualifié de « distinction positive » qui, a-t-elle argué, « accorde la priorité aux couches défavorisées et régions accusant un retard de développement », en vue de « renforcer la cohésion nationale et atteindre les objectifs escomptés par la Révolution du 1er novembre ». Elle a, par ailleurs, appelé à « revoir » les mécanismes en vigueur au niveau de l’Agence nationale de l’emploi et à « hâter » la révision de la loi du travail, pour « lutter contre la fragilité de l’emploi et remédier au problème du chômage par la réouverture des entreprises fermées et la dynamisation des zones industrielles ».
source: algerie1
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