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La fondation Clinton épinglée pour un don de 500.000 dollars de l'Algérie en 2010

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  • La fondation Clinton épinglée pour un don de 500.000 dollars de l'Algérie en 2010

    HufftPost Algérie | Par Malik Tahir


    Publication: 26/02/2015

    La fondation Clinton a accepté des millions de dollars de fonds provenant de sept gouvernements étrangers durant la période où Hillary Clinton était à la tête du département d'Etat. L'un de ces dons en provenance de l'Algérie a été fait en violation de ses engagements éthiques vis à vis de l'administration Obama, rapporte le Washington Post, qui cite des officiels au sein de la Fondation.



    La plupart de ces contributions ont été rendues possibles par des exceptions écrites prévues dans un accord datant de 2008 qui a introduit des limites aux dons des gouvernements étrangers.
    L'accord avait été établi avant la désignation de Mme Clinton dans le souci d'éviter que des pays étrangers puissent utiliser les dons destinés à la Fondation comme un moyen de "gagner les faveurs" du département.
    L'accord permettait à des gouvernements qui avaient fait des dons à la fondation avant l'accession de Mme Clinton au département d'Etat de continuer à le faire à un même niveau.
    Des responsables au sein de la Fondation ont reconnu en réponse à des questions du Washington Post qu'ils auraient dû demander en 2010 l'accord du Bureau de l'éthique du département d’Etat avant d'accepter un don de 500.000 dollars de l'Algérie destiné à aider la population de Haïti après le tremblement de terre.
    A cette époque, note le Washington Post, l'Algérie qui recherchait une relation "plus étroite" avec Washington a beaucoup dépensé "en lobbying en direction du département d'Etat sur les questions des droits de l'homme".
    Un porte-parole de la fondation a indiqué mercredi que les dons sont allés totalement au financement de l'action philanthropique dans le monde.
    "Comme avec les autres organismes de bienfaisance globales, nous comptons sur le soutien des individus, des organisations, des sociétés et des gouvernements qui ont l'objectif commun de relever les défis mondiaux critiques d'une manière significative," a déclaré le porte-parole de la Fondation, Craig Minassian en soulignant que les fonds vont vers des programmes qui "aident à sauver des vies".

    Un "pic" des dépenses de lobbying de l’Algérie en 2010

    Le Washington Post note que certains dons proviennent de pays ayant des "relations diplomatiques, militaires et finances complexes avec le gouvernement des États-Unis" dont le Koweït, le Qatar et Oman.
    Le don de l'Algérie est arrivé sans préavis dans les jours qui ont suivis le séisme et il a été distribué en aide direct pour aider la population, ont indiqué les responsables de la Fondation. Ils ont précisé que l'Algérie n'a pas fait d'autres dons à la fondation depuis.
    Ce don, relève le journal, a correspondu à un "pic" dans les dépenses de lobbyings du gouvernement algérien auprès des responsables du gouvernement américains sur les questions des droits de l'homme et les relations algéro-américaines. Ils ont atteint le montant de 422.097 dollars, selon les documents déposés en vertu de la loi sur la Foreign Agents Registration (FARA).
    Selon les données de la Sunlight Foundation, une ONG qui lutte pour la transparence des activités du gouvernement et du congrès, si les dépenses de lobbying du gouvernement algérien aux Etats-Unis sont restées "stables" en 2010, il y a eu un accroissement des rencontres au département d'Etat organisés par les lobbystes du pays. L'ONG a comptabilisé douze visites avec des officiels du State Departement dont des responsables de haut niveau.
    Durant les années précédentes et celles qui ont suivi le "pic" de 2010, seule une "poignée" de visites ont été enregistrés par les lobbyistes de l'Algérie qui était une "source de préoccupation" pour Hillary Clinton et son département.



    Un "allié" contre le terrorisme qui a un "piètre bilan" dans les droits de l’homme

    Le journal rappelle que le rapport du département d'Etat sur les droits de l'homme de 2010 notait que les principaux problèmes en Algérie résident dans les "restrictions à la liberté de réunion et d'association" et évoque une "corruption généralisée et une manque de transparence". .
    "L'Algérie est l'un de ces pays compliqués qui contraignent les Etats-Unis à faire la balance entre nos intérêts et nos valeurs" a écrit Hillary Clinton dans son livre, "Hard Choices" (choix difficiles) publié en 2014, "choix difficiles."


    L'Algérie, a-t-elle relevé est un "allié dans la lutte contre le terrorisme qui a aussi " un piètre bilan en matière des droits de l'homme et une économie relativement fermée ".

  • #2
    Mouna Izddine

    Maroc Hebdo

    Trente millions de dollars. Un chiffre qui donne le tournis. C'est, d'après un article signé par Ian Williams dans le quotidien britannique The Guardian, la somme qui aurait été dépensée par le Maroc dans le lobbying aux Etats-Unis pour promouvoir son plan d'autonomie des provinces sahariennes. Le Moroccan American Policy Center (MAPC), organisation non-lucrative pro-marocaine aux USA, aurait ainsi dans ce but, d'après le même journaliste, recruté plusieurs lobbyistes qui ont notamment défendu la politique israélienne et la guerre en Irak au sein des cercles de pouvoir américains. Pas moins de 168 membres du Congrès américain ont de la sorte signé une pétition demandant à la Maison-Blanche de soutenir la proposition marocaine à l'Organisation des Nations Unies, (présentée le 11 avril 2007 à Ban Ki-moon), sous l'argument choc (en ces temps de guerre anti-terroriste) que le plan en question est l'unique moyen d'empêcher Al Qaïda de prendre racine au Maghreb en profitant du climat d'instabilité engendré par le conflit Maroc-Front Polisario.
    «On peut aisément affirmer que 160 parmi ces congressmen n'avaient jamais entendu parler du Sahara Occidental un mois auparavant. Si lesdites personnes se sont précipitées de la sorte pour signer une lettre ayant trait à la politique étrangère, vous pouvez être sûr qu'il y a un gros travail de lobbying derrière», écrit en substance Ian Williams.
    La contre-pétition du Polisario n'aura, elle, recueilli qu'une cinquantaine de signatures. Un «scoop» repris aussitôt et commenté en long et en large par la presse algérienne, sans grande surprise. Info ou intox? D'autres organes de presse parlent carrément, pour leur part, de guerre froide à Washington par cabinets de lobbying interposés.

    Quelle crédibilité accorder à tout cela? Ce qui est sûr, c'est qu'il est pour le moins difficile de vérifier ces assertions, tant il est vrai que le travail de lobbying est, par essence, discret et informel. Ceci dit, l'existence d'un lobby pro-marocain au pays de l'Oncle Sam est désormais un secret de Polichinelle. Sénat, Maison Blanche, Département d'Etat, Etat Major, ONU… Le Maroc a en effet su tisser au fil des ans un réseau d'amitiés précieuses au cœur même des cercles du pouvoir américain. Un réseau si vaste et si solide que les positions marocaines sont aujourd'hui indéniablement bien défendues au sein des instances décisionnelles américaines et onusiennes. Intégrité territoriale, défense de l'image d'un Maroc stable politiquement, socialement et économiquement, d'un Maroc de traditions et de progrès… tout y passe. Preuve s'il en faut de l'efficience de ce colossal travail d'influence, le soutien outre-Atlantique au Royaume chérifien ne s'est jamais démenti ou n'a été mis à mal à ce jour, et ce malgré les changements de gouvernements successifs. Et il faut croire par ailleurs que les pétrodollars sonnants et trébuchants dont Alger arrose ces défenseurs n'y font pas grand chose, si l'on prend le cas précis du délicat dossier du Sahara.
    Mais qui sont véritablement les lobbyistes pro-marocains? Comment agissent-ils?

    «Le lobby pro-marocain n'est pas, à ma connaissance, un lobby structuré comme c'est le cas par exemple pour le lobby pro-israélien. Ce sont davantage des gens de pouvoir dispersés ici et là, qui apprécient le Maroc pour des raisons ou des intérêts divers et variés et prennent position en sa faveur à chaque fois que l'occasion se présente ou qu'on leur demande, chacun dans sa sphère propre. Ceci dit, à Washington, il existe des lobbys professionnels, déclarés et rémunérés en tant que tels et agissant dans un cadre légal, strict et réglementé», explique Gabriel Banon, conseiller économique spécialisé en géo-politique auprès de chefs d'Etat.
    Les lobbys professionnels dont parle l'ex-conseiller de Yasser Arafat et de Pascal Lissouba sont en général des cabinets d'avocats ayant pignon sur rue qui interviennent à la demande de gouvernements étrangers ou autres. Parmi les cabinets de lobbying renommés avec lesquels le Maroc a signé des contrats en bonne et due forme, on peut ainsi citer le cabinet Tew Cardenas, chargé, fin mars 2007, par le Moroccan American Center for Policy de promouvoir le Maroc auprès des responsables politiques américains moyennant une rémunération de 15.000 dollars par mois.
    Côté plus officieux si l'on peut dire, aux Etats-Unis, certains sénateurs sont clairement connus pour être acquis aux positions marocaines. On peut ainsi citer, entre autres, Allard Wayne (républicain), Robert Byrd (démocrate), Michael Enzi (républicain), Chuck Hagel (républicain), Robert Casey (démocrate) et Christopher Dold (démocrate). Ou, dans le gouvernement, Eagle Burger, secrétaire d'Etat sous l'administration de Bush Senior, l'ex-président Bill Clinton et son épouse Hillary, Al Gore (ex vice-président de 1993 à 2001) ou encore l'ex- secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères (1973-1977) et prix Nobel de la paix Henri Kissinger.

    C'est dire si, en Amérique du Nord, le lobbying est monnaie courante, admise, assumée et affichée avec plus ou moins de transparence. Ainsi, les lobbyistes professionnels, dûment enregistrés, doivent respecter un code de conduite pour pouvoir exercer leur profession au Congrès par exemple, instance à laquelle ils remettent en outre des comptes-rendus trimestriels détaillés sur leurs activités.
    En revanche, en Europe notamment, c'est loin d'être le cas. Le lobbying y est encore assimilé à du trafic d'influence ou à de la corruption. A une sorte de pratique de couloir (lobby est tiré justement du nom d'une antichambre du parlement britannique destinée au vote des députés à une certaine époque) clandestine et anti-déontologique.
    Il faut dire que la frontière entre ces pratiques est encore perçue comme floue et fragile. Et ce malgré la mise en place de chartes déontologiques régissant la profession de conseil en lobbying, comme c'est le cas en France depuis quelques années (l'exercice de la profession est toutefois strictement incompatible avec tout mandat politique électif national ou européen, tout emploi salarié dans la fonction publique nationale, communautaire ou internationale). Quoi qu'il en soit, en général, en Europe ou ailleurs, pour éviter de se faire coller l'étiquette peu envieuse de soudoyeurs en force, les lobbys pro-marocains qui ne désirent pas être catalogués comme tels revêtent les masques plus subtils de club d'amitié mixtes et autres associations non-lucratives de coopération «socio-culturelle».
    «Mais, de toutes les façons, le véritable lobbying, le plus efficace, est informel», nous dit Gabriel Banon. Plus discret tu seras, plus de bénéf' tu en tireras. Et cela, le Maroc l'a vraisemblablement bien compris. Le calcul est en fait élémentaire. Qu'est-ce qui rapporte le plus? Un groupe de pression déclaré, qui, contre argent liquide, agira ponctuellement en votre faveur, auréolé d'une image peu flatteuse de “mercenaire”?
    Ou des promoteurs subtils, permanents de surcroît, qui continueront à vous défendre et pas seulement en cas de mauvaise passe? L'écho du second est sensiblement meilleur. Il est néanmoins difficile de croire, et c'est légitime, que les lobbyistes officieux ne reçoivent aucune contrepartie du Maroc. Là encore, rien ne le prouve, surtout si les récompenses et autres présents sont versés en nature: (réceptions grandioses, séjours individuels, vacances en famille, traitement de faveur au Maroc, aide à l'investissement ou à la résidence, etc), cadeaux précieux…
    Mais tous les défenseurs du Maroc ne le font pas forcément par intérêt. Ainsi, et même si nombre d'analystes confinent le vrai lobbying à la politique stricto-sensu, reléguant l'action de promotion du pays auprès
    -ou par- des hommes d'affaires, d'art ou de culture à du marketing, force est de constater que nombre de Marocains du monde font du lobbying sans le savoir. Il en va ainsi de certaines célébrités natives du Maroc, comme les humoristes et comédiens Gad El Maleh ou Djamel Debbouz. A eux seuls, ils ont probablement réussi à vendre mieux que n'importe quel officiel le Maroc «terre de paix, de tolérance, d'ouverture et de modernité», de Washington à Bruxelles en passant par New-York et Paris.
    De même pour la diaspora juive marocaine. Personne n'est près d' oublier l'image émouvante de la New-Yorkaise d'origine marocaine Lilliane Shalom, vice-présidente du Rassemblement du Judaïsme marocain, saluant, les larmes aux yeux et la voix tremblante d'émotion feu Hassan II lors d'une réception donnée par le défunt en l'honneur de la communauté judéo-marocaine à New-York à la fin des années 90. Plus de 60 ans après l'exode massif des juifs marocains vers Israël, le Canada, les Etats-Unis et dans une moindre mesure l'Europe, ceux-ci sont toujours et majoritairement fortement attachés à la terre qui les a vu naître.
    On comprend que les quelques 300.000 juifs marocains qui ont quitté le Maroc depuis 1947 seulement et leurs milliers de descendants ne comptent pas, fût-ce numériquement, pour du beurre.
    D'autant plus que nombre d'entre eux occupent des postes clés au sein des plus hautes sphères du pouvoir ou du monde des affaires, aussi bien en Amérique, en Israël (Raphaël Edri, Amor Shaoul, Yitzhak Navon, Asher Ohana, David Lévy, Shlomo Ben Ami, pour ne citer qu'eux) qu'un peu partout à travers le monde.
    Mais n'est pas lobbyiste qui veut! Comme le souligne Gabriel Banon: «Pour pouvoir exercer une influence auprès des grands responsables américains, il faut soi-même avoir un certain poids. On a tendance à oublier que beaucoup de membres de la diaspora judéo-marocaine sont de simples citoyens. Mais, dès qu'ils peuvent, ils parlent en bien de leur pays natal et suscitent par leurs éloges des voyages touristiques, vendant sans le savoir la destination Maroc. C'est déjà pas mal!». D'ailleurs, qui nierait que de nos jours, toutes les sphères (économique, politique ou culturelle) se rejoignent et s'influencent d'une manière ou d'une autre?
    Mais, concernant ce cas particulier de la diaspora juive marocaine dans le monde, n'y-a-t-il pas une part d'irrationnel dans leur amour viscéral et sans concessions pour le Maroc?
    «Il y a toujours une part d'irrationnel dans le cas des juifs marocains. Personnellement, je me sens animé d'un sentiment de devoir envers ma terre natale mais, si je la défends avec autant de verve et d'enthousiasme chaque fois que l'occasion m'est donnée, c'est parce que je suis en grande partie convaincu que le Maroc est un pays exemplaire, le plus tolérant du monde arabe, un pays indéniablement ouvert, en route vers la démocratie et amené à devenir un grand Etat dans la sphère africaine», se défend Gabriel Banon en
    Othmane BENZAGHOU

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    • #3
      ../.

      conclusion.
      Personne à ce jour n'a évalué exactement le pouvoir et l'impact de ces travailleurs de l'ombre. Mais, une chose est incontestable: ces réseaux de soutien souterrains constituent, chacun à son échelle et selon ses moyens, une aide précieuse aux ambassadeurs attitrés du Maroc officiel. Ce dernier les estime-t-il à leur juste valeur?
      Othmane BENZAGHOU

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      • #4
        Une épingle qui a une couleur si caractéristique...
        Othmane BENZAGHOU

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        • #5
          @Serpico

          Zappe ! zappe !!!

          t aime zapper houari16 ???


          Révélations


          Voici un article qui a pu voir le jour ....., il y a plus d’une semaine sur le site d’information Slateafrique dans lequel le journaliste marocain Ali Amar évoque d'une façon très personnelle la nature des liens entre la secrétaire d’état américaine Hillary Clinton et la famille royale marocaine. Plus que des liens, amabilités et cadeaux royaux se sont échangés entre l'Amérique et le Maroc, alors bien sûr, à la lecture de cet article, on ne peut manquer de se dire que malgré les tentatives de rapprochements, une rivalité existe bel et bien entre ces deux royaumes, l'Algérie et le Maroc. Et, elle ne semble pas prête à se ternir.
          Dans l'article ci-dessous, j'ai omis intentionnellement ou rectifié tout ce qui ne me semblait pas loyal, comme les jugements de valeur.

          @serpico

          zappe des extraits sur la monarchie alaouite

          *Au Maghreb, Mme Clinton aurait toujours eu un tropisme prononcé pour la monarchie alaouite. La presse algérienne ne s’y trompait pas comme El Watan qui a commenté sa venue dans la région en disant avec taquinerie que « les secrétaires d’Etat américains n’ont pas pour habitude de poser leurs valises à Alger comme ils le font cycliquement à Marrakech ou Rabat».

          *Le Washington Post avait dit que c’était au Maroc qu'elle s’était découverte une âme de diplomate. Hillary et sa fille Chelsea, à l’époque agée de 19 ans, avaient été «les hôtes du palais à une longue soirée de réjouissances» avant de retrouver «[leur] suite confortable de la Mamounia à Marrakech» rapportait le Post.

          *Jacques Chirac l’imita sur le champ. « Le roi aurait voulu que je fasse ça, alors je l’ai fait » avait rapporté Bill Clinton dans ses mémoires.

          * Cinq caftans brodés d’or

          Deux ans plus tôt, en juin 2000, lors de sa visite officielle à Washington, Mohammed VI avait offert cinq caftans brodés d’or à Hillary Clinton. Elle devait porter l’un d’eux lors du dîner officiel offert au roi à la Maison-Blanche.

          *Des liens d’argent tenus secrets

          Mais plus sérieux sont les liens d’argent qui existent entre les Clinton et la monarchie marocaine. La Fondation Clinton compte en effet parmi ses heureux donateurs le roi du Maroc. Longtemps tenus secrets, ces liens ont été rendus publics lorsque Hillary a été choisie par Barack Obama pour diriger sa diplomatie, même si les montants versés par Mohammed VI n’ont jamais été divulgués avec précision.

          /elle fut accusée «d’hypocrisie envers une dictature /

          Par SlateAfrique - El Wata. Ali Amar.
          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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          • #6
            Hillary Clinton & les cinq caftans brodés d’or


            La réunion inaugurale de «Clinton Global Initiative, Middle East and Africa» aura lieu du 5 au 7 mai 2015 à Marrakech. L’organisation de cette rencontre internationale d’envergure en terre marocaine témoigne du «leadership régional» et des «actions louables» réalisées par le Maroc, notamment en matière de réformes économiques et d'énergies renouvelables.

            La réunion inaugurale de la «Clinton Global Initiative» (CGI), dédiée au développement de l'Afrique et du Moyen-Orient, aura lieu, du 5 au 7 mai prochain à Marrakech.

            Pour rappel, le Président Bill Clinton, son épouse, Hillary Clinton, ancienne chef de la diplomatie américaine, et leur fille Chelsea avaient annoncé, en septembre dernier à New York, la tenue au printemps 2015 au Maroc de cette première réunion du genre de la CGI, consacrée au développement économique de l'Afrique et du Moyen-Orient. «En plus de l'hospitalité reconnue au Maroc, le choix du Royaume pour la réunion inaugurale de la “Clinton Global Initiative” dédiée au Moyen-Orient et à l'Afrique s'explique par la dynamique et la position stratégique du pays en tant que hub économique et culturel pour l'Europe, l'Afrique et le Moyen-Orient», explique la directrice de cette initiative, Lisa Rickert, dans une déclaration à la MAP.

            L’organisation de cette rencontre internationale d’envergure en terre marocaine, témoigne également du «leadership régional» et des «actions louables» réalisées par le Maroc, notamment en matière de réformes économiques et d'énergies renouvelables, estime la même responsable.


            MAP

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            • #7
              "lobbystes du pays"

              encore des privilégiés qui vivent dans l'ombre

              Commentaire


              • #8
                le pauvre Serpico il me fait de la peine, à chaque fois qu'il croit avoir péché un poisson pour son soupé , il se retrouve a se justifier pourquoi il a soulevé le tapis et ouvert des discussions qui porte atteinte à son roitelet , à ce stade il ne pourra plus subvenir a ses besoins sans se casser les dents, car il devra des explications maintenant au Makhzen de savoir s'il travail pour eux ou s'il travaille contre eux

                à propos Serpico qui veut dire le petit le tout petit serpent qui vit dans un tout petit royaume au service d'un roitelet je te dois au moins une certaine confidence, le don algerien va servir a activer la procedure et les negociations concernant la question du Sahara Occidental, tout marche avec un carburant , les occientaux aussi excele dans la tchipa et la rechouia, c'est eux les premiers initiateur de ce principe si tu ne le sait pas encore, alors les yankee ont pris leur enveloppe et maintenant ils vont agir en fonction de qui offrira le plus , tu a compris, donc tu doit savoir ce qu'il te reste a faire.... serrer la ceinture et demander à ton roitelet par le biais de ton Makhnez d'allonger les billets on appauvrissant d'avantage les serviteurs

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