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Le ministère délégué au commerce extérieur et l’administration des douanes et des impôts indirects viennent d’annoncer la mise en place d’un arrêté relatif aux importations des drones.
La fièvre des drones a-t-elle atteint le Maroc aussi ? Après avoir fait des ravages en Europe et au Etats-Unis, le royaume a peur qu’on se retrouve avec un vrai marché pour ces appareils de haute technologie et considérés comme étant un danger. Le quotidien les Eco du 27 février, nous annonce qu’un arrêté relatif à l’importation de ces engins vient d’être publié au Bulletin officiel. Le ministère délégué au Commerce extérieur a envie de réguler et d’avoir un œil sur les objets volants sans pilote, propulsés par un moteur et télécommandés. Désormais, et selon le ministère et l’administration des douanes et des impôts indirects, les importateurs ont besoin d’une licence et ce même s’il ne s’agit que d’un transit. Les demandes doivent dons être soumises au ministère de tutelle, qui à son tour devra les transférer au ministère de l’Intérieur qui a la main pour décider de son destin.
Une décision justifiée en premier lieu par les risques sécuritaires que pourrait entraîner ces appareils ainsi que l’atteinte à la vie privée des citoyens. Ce qui voudrait dire qu’en cas d’infraction, la marchandise sera saisie et le commerçant se verra sanctionné. Pour les personnes qui ont réussi à en avoir, avant que cet arrêté ne soit appliqué, devront à leur tour demander des autorisations d’exploitation aux autorités concernées. Alors que le contraire est servi à toutes institutions publiques qui aimeraient l’utiliser. Concrètement, que ça soit, entres autres, pour les besoins d’un film ou d’un concert, les autorisations d’importation et d’utilisation ne devraient pas leur poser problème.
360 ma
La fièvre des drones a-t-elle atteint le Maroc aussi ? Après avoir fait des ravages en Europe et au Etats-Unis, le royaume a peur qu’on se retrouve avec un vrai marché pour ces appareils de haute technologie et considérés comme étant un danger. Le quotidien les Eco du 27 février, nous annonce qu’un arrêté relatif à l’importation de ces engins vient d’être publié au Bulletin officiel. Le ministère délégué au Commerce extérieur a envie de réguler et d’avoir un œil sur les objets volants sans pilote, propulsés par un moteur et télécommandés. Désormais, et selon le ministère et l’administration des douanes et des impôts indirects, les importateurs ont besoin d’une licence et ce même s’il ne s’agit que d’un transit. Les demandes doivent dons être soumises au ministère de tutelle, qui à son tour devra les transférer au ministère de l’Intérieur qui a la main pour décider de son destin.
Une décision justifiée en premier lieu par les risques sécuritaires que pourrait entraîner ces appareils ainsi que l’atteinte à la vie privée des citoyens. Ce qui voudrait dire qu’en cas d’infraction, la marchandise sera saisie et le commerçant se verra sanctionné. Pour les personnes qui ont réussi à en avoir, avant que cet arrêté ne soit appliqué, devront à leur tour demander des autorisations d’exploitation aux autorités concernées. Alors que le contraire est servi à toutes institutions publiques qui aimeraient l’utiliser. Concrètement, que ça soit, entres autres, pour les besoins d’un film ou d’un concert, les autorisations d’importation et d’utilisation ne devraient pas leur poser problème.
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