Des sources médiatiques suisses ont révélé que le Tribunal criminel suisse a refusé un recours en appel, introduit par un ex-ministre algérien, demandant à ce que ses données bancaires ne soient pas accessibles aux autorités compétentes algériennes ayant demandé en 2012 l’aide de leurs homologues helvétiques dans le cadre de leur enquête.
Selon des observateurs, le responsable algérien en question n’est autre que l’ex-ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil, installé actuellement aux États-Unis.
Le site électronique helvétique «Swissinfo» a révélé que le jugement était alors susceptible d’appel, expliquant que l’affaire concernait l’origine des sommes d’argent estimées à 200 millions d’euros, provenant, en effet, d’une société publique algérienne dont ledit ministre était responsable et un homme d’affaires de nationalité italienne. Le même site ajoute que ce dernier a transféré cet argent vers un compte d’une autre entreprise, dont le directeur venait d’être désigné par l’ex-ministre algérien.
D’après les indices fournis par le site suisse, des observateurs avancent qu’il s’agit donc de l’ancien ministre Chakib Khelil, et de l’affaire Sonatrach-Saipem qui a fait couler beaucoup d’encre en Algérie et ailleurs, dont 200 millions d’euros de pots-de-vin auraient été versés à des responsables algériens dans le cadre de la même affaire.Selon la même source, l’ex-ministre algérien qui est installé actuellement aux États-Unis et son épouse détiennent des comptes dans des banques suisses.
Cette révélation intervient après quelques jours seulement de la publication par le quotidien français, «Le Monde», du premier volet de son enquête spectaculaire sur l’affaire HSBC, dont 440 Algériens seraient clients de cette banque, sachant que la source ayant réalisé l’enquête a promis de révéler leurs noms.
source: ouvalalgerie
Selon des observateurs, le responsable algérien en question n’est autre que l’ex-ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil, installé actuellement aux États-Unis.
Le site électronique helvétique «Swissinfo» a révélé que le jugement était alors susceptible d’appel, expliquant que l’affaire concernait l’origine des sommes d’argent estimées à 200 millions d’euros, provenant, en effet, d’une société publique algérienne dont ledit ministre était responsable et un homme d’affaires de nationalité italienne. Le même site ajoute que ce dernier a transféré cet argent vers un compte d’une autre entreprise, dont le directeur venait d’être désigné par l’ex-ministre algérien.
D’après les indices fournis par le site suisse, des observateurs avancent qu’il s’agit donc de l’ancien ministre Chakib Khelil, et de l’affaire Sonatrach-Saipem qui a fait couler beaucoup d’encre en Algérie et ailleurs, dont 200 millions d’euros de pots-de-vin auraient été versés à des responsables algériens dans le cadre de la même affaire.Selon la même source, l’ex-ministre algérien qui est installé actuellement aux États-Unis et son épouse détiennent des comptes dans des banques suisses.
Cette révélation intervient après quelques jours seulement de la publication par le quotidien français, «Le Monde», du premier volet de son enquête spectaculaire sur l’affaire HSBC, dont 440 Algériens seraient clients de cette banque, sachant que la source ayant réalisé l’enquête a promis de révéler leurs noms.
source: ouvalalgerie
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