sans m'arrêter je t'ai écouté
je ne voulais comprendre ces maux
qui te faisaient aussi mal
mes mots sont si pitoyables face à ta souffrance
que j'ai honte de les dire ou de les écrire
ils sont si faibles, si vulnérables
que même le soleil n'arrivent même pas à les réchauffer
je suis perdue, seule, dans cette nuit
t'écoutant pleurer tes maux sans dire un mot !
je te tend une chaîne de phrases interminables
ils s'enchaînent sans virgules, sans points !
je te demande, je t'implore dans ces mots qui
défilent, de les attraper, de les tenir, de ne point les lâcher
de t'en imprégner de les laisser parcourir ce corps!
cette âme qui te fait tant de mal !
d'essayer de sentir leur chaleur
qu'ils puissent atténuer pour quelques heures
cette douleur qui a massacré ce coeur
surtout n'aie pas peur!
ne sois pas effrayé, je ne fais que passer !
toi seul à la clef de ta volonté !
quand tu auras fini de les lire
tu pourras venir et je t'aiderai à mieux repartir !
et là tu pourras lire avec sourire
ce délire de mots où même les maux
deviennent aussi beaux qu'un bouquet de fleurs
fané et laissé dans un coin pour ne pas oublier
ce petit moment de bonheur dans cette noirceur
de cet être qui nous
l'a apporté en toute timidité!
séchées elles paraissent encore plus belles
et on n'osent les jeter de peur d'oublier
que demain peut encore tout basculer !
lily
la diablesse !
je ne voulais comprendre ces maux
qui te faisaient aussi mal
mes mots sont si pitoyables face à ta souffrance
que j'ai honte de les dire ou de les écrire
ils sont si faibles, si vulnérables
que même le soleil n'arrivent même pas à les réchauffer
je suis perdue, seule, dans cette nuit
t'écoutant pleurer tes maux sans dire un mot !
je te tend une chaîne de phrases interminables
ils s'enchaînent sans virgules, sans points !
je te demande, je t'implore dans ces mots qui
défilent, de les attraper, de les tenir, de ne point les lâcher
de t'en imprégner de les laisser parcourir ce corps!
cette âme qui te fait tant de mal !
d'essayer de sentir leur chaleur
qu'ils puissent atténuer pour quelques heures
cette douleur qui a massacré ce coeur
surtout n'aie pas peur!
ne sois pas effrayé, je ne fais que passer !
toi seul à la clef de ta volonté !
quand tu auras fini de les lire
tu pourras venir et je t'aiderai à mieux repartir !
et là tu pourras lire avec sourire
ce délire de mots où même les maux
deviennent aussi beaux qu'un bouquet de fleurs
fané et laissé dans un coin pour ne pas oublier
ce petit moment de bonheur dans cette noirceur
de cet être qui nous
l'a apporté en toute timidité!
séchées elles paraissent encore plus belles
et on n'osent les jeter de peur d'oublier
que demain peut encore tout basculer !
lily
la diablesse !
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