(Agence Ecofin) - Le premier puits d’exploration sur le permis Cap Boujdour, offshore du Sahara occidental, à 170 km au large de Boujdour, a entrecoupé des hydrocarbures non commercialisables et sera obstrué et abandonné, a annoncé le 2 mars la compagnie américaine Kosmos Energy.
Selon le pétro-gazier coté à New-York, le puits CB-1 a atteint une profondeur finale de 5700 m et entrecoupé environ 14 m de gaz net et un système de condensat dans des réservoirs clastiques dans un gisement d’hydrocarbures d’environ 500m. « La découverte n’est pas commercialisable et le puits sera obstrué et abandonné », a précisé Kosmos Energy, opérateur, qui détient 55% dans ce puits, contre 20% pour la compagnie Cairn Energy et 25 % pour l’ONHYM.
Selon Andrew G. Inglis, Pdg de Kosmos, CB-1 a « considérablement levé le risque des explorations futures sur le bassin Laâyoune par sa mise en évidence d’un système d’hydrocarbures en cours » et confirme le potentiel du bloc Cap Boujdour couvrant 22 000 km2.
Les données recueillies seront analysées et intégrées à celles du sondage sismique 3D récemment acquises pour, dit-il, « affiner le plan d’exploration comprenant la décision du forage du second puits exploratoire et sa localisation ».
Selon le pétro-gazier coté à New-York, le puits CB-1 a atteint une profondeur finale de 5700 m et entrecoupé environ 14 m de gaz net et un système de condensat dans des réservoirs clastiques dans un gisement d’hydrocarbures d’environ 500m. « La découverte n’est pas commercialisable et le puits sera obstrué et abandonné », a précisé Kosmos Energy, opérateur, qui détient 55% dans ce puits, contre 20% pour la compagnie Cairn Energy et 25 % pour l’ONHYM.
Selon Andrew G. Inglis, Pdg de Kosmos, CB-1 a « considérablement levé le risque des explorations futures sur le bassin Laâyoune par sa mise en évidence d’un système d’hydrocarbures en cours » et confirme le potentiel du bloc Cap Boujdour couvrant 22 000 km2.
Les données recueillies seront analysées et intégrées à celles du sondage sismique 3D récemment acquises pour, dit-il, « affiner le plan d’exploration comprenant la décision du forage du second puits exploratoire et sa localisation ».
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