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wa salam
Les députés italiens ont soutenu une résolution non contraignante pour encourager le gouvernement à reconnaître la Palestine en tant qu’Etat
La motion a été adoptée par 300 voix contre 45, avec 39 abstentions. Elle a été présentée par le Parti démocratique du Premier ministre Matteo Renzi (**) afin de « de promouvoir la reconnaissance de la Palestine comme un Etat démocratique ». Les députés n’ont pas accepté une autre motion, soutenu par l’écologie de gauche et le parti de la liberté, qui aurait «pleinement et officiellement reconnu l’Etat palestinien ». Une autre motion qui appelle à la reprise des négociations a également été votée.
Les pays européens sont de plus en plus critiques de l’occupation israélienne, qui, depuis l’effondrement de la dernière série de pourparlers parrainés par les Etats-Unis en avril dernier, a accéléré la construction de colonies illégales sur les territoires palestiniens. Un vote symbolique qui ne change pas la position du gouvernement italien qui, comme d’autres pays européens, soutient toujours une solution négociée à deux Etats. Une solution à deux Etats quasiment morte et enterrée si l’on analyse d’un peu plus près les intentions et la volonté des dirigeants israéliens.
Les deux motions ont été critiquées par le Comité exécutif de l’OLP pour la raison qu’elle ne reconnait pas inconditionnellement la Palestine. « Nous appelons le gouvernement italien à reconnaître l’Etat palestinien sans conditions, de prendre des mesures sérieuses et concrètes pour mettre fin à l’occupation militaire et à œuvrer pour une paix juste », a déclaré le membre du Comité Hanan Ashrawi.
L’Irlande, la Grande-Bretagne et la France ont tenu des votes parlementaires similaires sur le statut de la Palestine au cours des derniers mois. La Suède est allée plus loin, en reconnaissant officiellement la Palestine. Une décision qui a provoqué la condamnation rapide d’Israël et des États-Unis.
quid.ma
Les députés italiens ont soutenu une résolution non contraignante pour encourager le gouvernement à reconnaître la Palestine en tant qu’Etat
La motion a été adoptée par 300 voix contre 45, avec 39 abstentions. Elle a été présentée par le Parti démocratique du Premier ministre Matteo Renzi (**) afin de « de promouvoir la reconnaissance de la Palestine comme un Etat démocratique ». Les députés n’ont pas accepté une autre motion, soutenu par l’écologie de gauche et le parti de la liberté, qui aurait «pleinement et officiellement reconnu l’Etat palestinien ». Une autre motion qui appelle à la reprise des négociations a également été votée.
Les pays européens sont de plus en plus critiques de l’occupation israélienne, qui, depuis l’effondrement de la dernière série de pourparlers parrainés par les Etats-Unis en avril dernier, a accéléré la construction de colonies illégales sur les territoires palestiniens. Un vote symbolique qui ne change pas la position du gouvernement italien qui, comme d’autres pays européens, soutient toujours une solution négociée à deux Etats. Une solution à deux Etats quasiment morte et enterrée si l’on analyse d’un peu plus près les intentions et la volonté des dirigeants israéliens.
Les deux motions ont été critiquées par le Comité exécutif de l’OLP pour la raison qu’elle ne reconnait pas inconditionnellement la Palestine. « Nous appelons le gouvernement italien à reconnaître l’Etat palestinien sans conditions, de prendre des mesures sérieuses et concrètes pour mettre fin à l’occupation militaire et à œuvrer pour une paix juste », a déclaré le membre du Comité Hanan Ashrawi.
L’Irlande, la Grande-Bretagne et la France ont tenu des votes parlementaires similaires sur le statut de la Palestine au cours des derniers mois. La Suède est allée plus loin, en reconnaissant officiellement la Palestine. Une décision qui a provoqué la condamnation rapide d’Israël et des États-Unis.
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