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Nous pouvons régler le problème des embouteillages en Algérie
DEUX CITOYENS RÉCLAMENT UNE OREILLE ATTENTIVE DES AUTORITÉS
"Nous pouvons régler le problème des embouteillages"
La circulation à Alger est dévenue infernale
Leur technique demande peu de moyens et de temps. «C'est des petits changements de plaques et de sens de circulation. Les plus grosses modifications sont la création de petits ronds-points ou de nouvelles déviations routières», soulignent-ils.
Une solution simple pour régler l'épineux problème des embouteillages. C'est le pari lancé par deux citoyens de la capitale. En effet, Charchouri Abdelwaheb, un inventeur reconnu qui a déjà quatre brevets d'invention à son actif et son jeune compagnon Haloul Fethi se sont penchés sur les plans de circulations de plusieurs points classés «noirs» par les automobilistes. En se basant sur la théorie qu'ils appellent «pas de croisement entre les véhicules», les deux compères attestent pouvoir désengorger la capitale en quelques jours.
«Voire quelques heures pour certains endroits», assurent-ils avec un optimisme déconcertant. Et pour cause! Le fameux nouveau plan de circulation automobile de Dély Ibrahim, au niveau de la rue Ahmed-Ouaked reliant le siège de la FAF à l'université des sciences économiques est, disent-ils, basé sur leur théorie. Cet axe très fréquenté par les usagers comme les transporteurs privés de la ligne Ben Aknoun-Chevalley et les bus des étudiants, était un véritable enfer où l'on passait plusieurs heures bloqués dans la circulation. Mais miracle!
Depuis que le rond-point a été construit et que le nouveau plan a été instauré, on passe comme une lettre à la poste sur cet axe. Eh bien, c'est cette technique qu'ils se proposent de renouveler sur plusieurs axes routiers afin d'y alléger la circulation automobile.
Explication: «On a modifié des plans de circulation en y ajoutant des ronds-points ou simplement en changeant les plaques pour qu'elles deviennent en sens unique. Notre but est d'éviter les goulots d'étranglement en empêchant les voitures de se croiser. Avec quelques petites modifications, on leur change de parcours et on arrive ainsi à éviter ces fatidiques croisements.» Parmi les plans qu'ils ont déjà élaborés, ils citent l'entrée de Aïn Naâdja du côté de la rocade Sud où en changeant quelques plaques directionnelles ils attestent pouvoir mettre fin aux bouchons qui se répercutent sur toute la circulation au niveau de la rocade Sud. Au niveau du carrefour de Oued Romane, ils proposent de créer une nouvelle bretelle sur la route qui mène vers Ben Aknoun pour ouvrir un nouvel accès à la rocade Sud. «Il y a un terrain vague là-bas.
On peut facilement y faire une bretelle pour diminuer l'affluence sur celle de la résidence Sahraoui», indiquent-ils. Du côté Est de la capitale, dans le fameux rond-point du café Chergui (Bordj El Bahri) et ses très connus encombrements que les autorités locales n'arrivent pas à solutionner, Abdelwaheb et Fethi attestent qu'ils arriveront à régler le problème en changeant simplement le sens de la circulation.
En résumé, avec des petites modifications ils promettent des miracles. «Cela ne demandera pas beaucoup de temps ni beaucoup d'argent. C'est des petits changements de plaques et de sens de circulation. Les plus grosses modifications sont la création de petits rond-points ou de nouvelles déviations routières», soulignent-ils en insistant sur le fait qu'ils ont déjà une dizaine de plans déjà prêts et qu'ils pourront les appliquer en quelques heures.
«Avec notre méthode pour n'importe quel problème de circulation, on peut trouver une solution qui demande peu d'investissements», certifient-ils avant de déplorer le fait que leur voix reste inaudible auprès des autorités. «On est des citoyens qui veulent aider la communauté. On a frappé à toutes les portes pour proposer notre plan, notamment dans plusieurs APC qui sont confrontées à de gros problèmes d'embouteillage. Les responsables font mine d'être intéressés, nous disent de ne pas s'inquiéter on va travailler dessus. Mais au final... personne ne nous répond», dénoncent-ils. Charchouri Abdelwaheb et Haloul Fethi appellent donc les responsables du ministère des Transports à leur donner une oreille attentive pour leur projet d'intérêt public. Le génie algérien peut faire des miracles, il suffit juste de lui donner sa chance! Les deux compères et leur plan de circulation en sont la meilleure preuve...
Par Walid AÏT SAÏD -l'expression-
"Nous pouvons régler le problème des embouteillages"
La circulation à Alger est dévenue infernale
Leur technique demande peu de moyens et de temps. «C'est des petits changements de plaques et de sens de circulation. Les plus grosses modifications sont la création de petits ronds-points ou de nouvelles déviations routières», soulignent-ils.
Une solution simple pour régler l'épineux problème des embouteillages. C'est le pari lancé par deux citoyens de la capitale. En effet, Charchouri Abdelwaheb, un inventeur reconnu qui a déjà quatre brevets d'invention à son actif et son jeune compagnon Haloul Fethi se sont penchés sur les plans de circulations de plusieurs points classés «noirs» par les automobilistes. En se basant sur la théorie qu'ils appellent «pas de croisement entre les véhicules», les deux compères attestent pouvoir désengorger la capitale en quelques jours.
«Voire quelques heures pour certains endroits», assurent-ils avec un optimisme déconcertant. Et pour cause! Le fameux nouveau plan de circulation automobile de Dély Ibrahim, au niveau de la rue Ahmed-Ouaked reliant le siège de la FAF à l'université des sciences économiques est, disent-ils, basé sur leur théorie. Cet axe très fréquenté par les usagers comme les transporteurs privés de la ligne Ben Aknoun-Chevalley et les bus des étudiants, était un véritable enfer où l'on passait plusieurs heures bloqués dans la circulation. Mais miracle!
Depuis que le rond-point a été construit et que le nouveau plan a été instauré, on passe comme une lettre à la poste sur cet axe. Eh bien, c'est cette technique qu'ils se proposent de renouveler sur plusieurs axes routiers afin d'y alléger la circulation automobile.
Explication: «On a modifié des plans de circulation en y ajoutant des ronds-points ou simplement en changeant les plaques pour qu'elles deviennent en sens unique. Notre but est d'éviter les goulots d'étranglement en empêchant les voitures de se croiser. Avec quelques petites modifications, on leur change de parcours et on arrive ainsi à éviter ces fatidiques croisements.» Parmi les plans qu'ils ont déjà élaborés, ils citent l'entrée de Aïn Naâdja du côté de la rocade Sud où en changeant quelques plaques directionnelles ils attestent pouvoir mettre fin aux bouchons qui se répercutent sur toute la circulation au niveau de la rocade Sud. Au niveau du carrefour de Oued Romane, ils proposent de créer une nouvelle bretelle sur la route qui mène vers Ben Aknoun pour ouvrir un nouvel accès à la rocade Sud. «Il y a un terrain vague là-bas.
On peut facilement y faire une bretelle pour diminuer l'affluence sur celle de la résidence Sahraoui», indiquent-ils. Du côté Est de la capitale, dans le fameux rond-point du café Chergui (Bordj El Bahri) et ses très connus encombrements que les autorités locales n'arrivent pas à solutionner, Abdelwaheb et Fethi attestent qu'ils arriveront à régler le problème en changeant simplement le sens de la circulation.
En résumé, avec des petites modifications ils promettent des miracles. «Cela ne demandera pas beaucoup de temps ni beaucoup d'argent. C'est des petits changements de plaques et de sens de circulation. Les plus grosses modifications sont la création de petits rond-points ou de nouvelles déviations routières», soulignent-ils en insistant sur le fait qu'ils ont déjà une dizaine de plans déjà prêts et qu'ils pourront les appliquer en quelques heures.
«Avec notre méthode pour n'importe quel problème de circulation, on peut trouver une solution qui demande peu d'investissements», certifient-ils avant de déplorer le fait que leur voix reste inaudible auprès des autorités. «On est des citoyens qui veulent aider la communauté. On a frappé à toutes les portes pour proposer notre plan, notamment dans plusieurs APC qui sont confrontées à de gros problèmes d'embouteillage. Les responsables font mine d'être intéressés, nous disent de ne pas s'inquiéter on va travailler dessus. Mais au final... personne ne nous répond», dénoncent-ils. Charchouri Abdelwaheb et Haloul Fethi appellent donc les responsables du ministère des Transports à leur donner une oreille attentive pour leur projet d'intérêt public. Le génie algérien peut faire des miracles, il suffit juste de lui donner sa chance! Les deux compères et leur plan de circulation en sont la meilleure preuve...
Par Walid AÏT SAÏD -l'expression-
on plus de çà, qu'est ce qu'on s'en fou, l’Algérie ne produit pas de voiture donc aucune perte d'emplois au contraire.
lol
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