HuffPost Algérie | Par Hamdi Baala
Les forces de sécurité ont écourté la visite de Rachid Nekkaz à In Salah. L'ex-candidat à la présidentielle d'avril 2014 a été obligé de quitter la ville ce jeudi 5 mars, dans la matinée, sous escorte de la police.
Arrivé mercredi dans la soirée pour apporter son soutien au mouvement anti-gaz de schiste qui se poursuit depuis plus deux mois, M. Nekkaz a été chaleureusement accueilli. Comme le montrent des images qui ont circulé sur les réseaux sociaux, des habitants de la ville ont porté Rachid Nekkaz sur les épaules à la place Somoud (Résistance), où se tiennent des rassemblements quotidiens contre l'exploration et l'exploitation du gaz de schiste dans la région.
http://i.huffpost.com/gen/2686250/th...D-large570.jpg
http://i.huffpost.com/gen/2686224/th...ALAH-570.jpg?1
Mais dans la matinée de jeudi, il a eu droit à un autre traitement. "La police nous a empêchés de rejoindre la place Somoud (où se tiennent les rassemblements quotidiens). Dès l'hôtel, ils nous ont dit: "Ne bougez plus! vous êtes interdits dans la wilaya de Tamanrasset", a-t-il expliqué au Huffington Post Algérie.
Joint dans l'après-midi par téléphone, il a évoqué des raisons politiques concernant son renvoi de In Salah. "Ça ne leur a pas plus qu'il y ait des milliers de personnes hier sur la place de la Résistance où l'accueil a été extrêmement chaleureux. Ça n'a sûrement pas plu à certaines autorités à Alger", a-t-il déclaré.
Les forces de sécurité ont écourté la visite de Rachid Nekkaz à In Salah. L'ex-candidat à la présidentielle d'avril 2014 a été obligé de quitter la ville ce jeudi 5 mars, dans la matinée, sous escorte de la police.
Arrivé mercredi dans la soirée pour apporter son soutien au mouvement anti-gaz de schiste qui se poursuit depuis plus deux mois, M. Nekkaz a été chaleureusement accueilli. Comme le montrent des images qui ont circulé sur les réseaux sociaux, des habitants de la ville ont porté Rachid Nekkaz sur les épaules à la place Somoud (Résistance), où se tiennent des rassemblements quotidiens contre l'exploration et l'exploitation du gaz de schiste dans la région.
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Mais dans la matinée de jeudi, il a eu droit à un autre traitement. "La police nous a empêchés de rejoindre la place Somoud (où se tiennent les rassemblements quotidiens). Dès l'hôtel, ils nous ont dit: "Ne bougez plus! vous êtes interdits dans la wilaya de Tamanrasset", a-t-il expliqué au Huffington Post Algérie.
Joint dans l'après-midi par téléphone, il a évoqué des raisons politiques concernant son renvoi de In Salah. "Ça ne leur a pas plus qu'il y ait des milliers de personnes hier sur la place de la Résistance où l'accueil a été extrêmement chaleureux. Ça n'a sûrement pas plu à certaines autorités à Alger", a-t-il déclaré.
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