Apprend moi le sens de ces silences,
Quand dans la chambre tu me tances
Que les rideaux bleutés filtrent l'éclat
De la sueur lors de nos ébats.
Dis-moi que nos deux âmes se jumellent
Plus que deux corps qui se chevauchent
Ne nie pas l'impérieuse réalité de cette passion,
Furieuse litanie de deux âmes en contact.
Il n'y a de coupable que la lumière qui ne souligne
Pas toujours les contours des sommets atteints,
Le vibrant baiser mortel du rosier humain
S'agrippant à ce filet de vie qui encore, trépigne.
Samuel Coelho
Quand dans la chambre tu me tances
Que les rideaux bleutés filtrent l'éclat
De la sueur lors de nos ébats.
Dis-moi que nos deux âmes se jumellent
Plus que deux corps qui se chevauchent
Ne nie pas l'impérieuse réalité de cette passion,
Furieuse litanie de deux âmes en contact.
Il n'y a de coupable que la lumière qui ne souligne
Pas toujours les contours des sommets atteints,
Le vibrant baiser mortel du rosier humain
S'agrippant à ce filet de vie qui encore, trépigne.
Samuel Coelho