Les hommes, victimes des agressions commises par les femmes, optent pour le silence
Renversement de l´équation. Les hommes sont de plus en plus, victimes des agressions commises par les femmes. «Effectivement, des hommes mariés et plusieurs autres célibataires se sont rapprochés de nos services aux fins de se faire délivrer des certificats médicaux d´incapacité leur permettant de poursuivre en justice des femmes les ayant agressés», a affirmé un médecin exerçant dans les urgences médicales et chirurgicales du CHU d´Oran. En effet, la gent masculine n´est pas indemne de certains comportements, allant jusqu´aux violences physiques, exercées par l´épouse....
C´est le cas de cette femme qui, pour avoir tabassé son époux à l´aide d´un marteau, lui a causé une incapacité de travail de 36 jours, cette femme d´une trentaine d´années résidant à Gdyel, a été condamnée en fin 2010 à 6 mois de prison ferme et une amende de 20.000 dinars. Le verdict est loin de satisfaire l´accusée qui vient de faire appel estimant que son époux lui a causé trop de mal en prenant à une deuxième épouse;;
«On entend chaque jour les cris hystériques de notre voisine qui insulte, pendant de longues heures, son mari le traitant de tous les noms d´oiseaux», a affirmé Salah habitant du centre-ville d´Oran.
Plus de 1.500 hommes sont victimes de violences physiques et psychologiques par leurs femmes au Maroc. Selon Abdelfettah Bahjaji, président du réseau marocain pour la défense des droits des hommes, la situation peut empirer. violence physique de son épouse. «C’est une femme agressive, qui a des colères noires. J’ai reçu de nombreux coups et des fois, elle est capable de me jeter une théière, une assiette et même une fois elle m’a frappé avec un couteau de cuisine. Elle frappe aussi les enfants. Aujourd’hui, j’ai un fils de 22 ans que sa mère frappe encore».
Ce type de violence s’exprime sous plusieurs formes : refus, insultes ou accusations non fondées. Bon nombre de femmes ont recours aux insultes et ce devant les enfants, les voisins, en plein public et parfois même dans le lieu du travail du conjoint, ce qui porte atteinte à la dignité de l’homme», souligne M. Bahjaji. C’est le cas d’un autre homme, Idriss, accablé par sa femme à cause de sa sexualité.
«Le plus dur, c’est quand ma femme me compare à tel ou tel membre de sa famille en me disant qu’il est meilleur que moi.» C’est là l’une des insultes favorites de certaines épouses qui disent à leurs conjoints qu’il n’est pas comme les autres mâles en utilisant le vocable “siadek”, qui sonne comme un coup de poignard pour tous les hommes qui ont été amenés à entendre de telles injures.
Source: L'expression dz & Maroc Hebdo
Renversement de l´équation. Les hommes sont de plus en plus, victimes des agressions commises par les femmes. «Effectivement, des hommes mariés et plusieurs autres célibataires se sont rapprochés de nos services aux fins de se faire délivrer des certificats médicaux d´incapacité leur permettant de poursuivre en justice des femmes les ayant agressés», a affirmé un médecin exerçant dans les urgences médicales et chirurgicales du CHU d´Oran. En effet, la gent masculine n´est pas indemne de certains comportements, allant jusqu´aux violences physiques, exercées par l´épouse....
C´est le cas de cette femme qui, pour avoir tabassé son époux à l´aide d´un marteau, lui a causé une incapacité de travail de 36 jours, cette femme d´une trentaine d´années résidant à Gdyel, a été condamnée en fin 2010 à 6 mois de prison ferme et une amende de 20.000 dinars. Le verdict est loin de satisfaire l´accusée qui vient de faire appel estimant que son époux lui a causé trop de mal en prenant à une deuxième épouse;;
«On entend chaque jour les cris hystériques de notre voisine qui insulte, pendant de longues heures, son mari le traitant de tous les noms d´oiseaux», a affirmé Salah habitant du centre-ville d´Oran.
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Plus de 1.500 hommes sont victimes de violences physiques et psychologiques par leurs femmes au Maroc. Selon Abdelfettah Bahjaji, président du réseau marocain pour la défense des droits des hommes, la situation peut empirer. violence physique de son épouse. «C’est une femme agressive, qui a des colères noires. J’ai reçu de nombreux coups et des fois, elle est capable de me jeter une théière, une assiette et même une fois elle m’a frappé avec un couteau de cuisine. Elle frappe aussi les enfants. Aujourd’hui, j’ai un fils de 22 ans que sa mère frappe encore».
Ce type de violence s’exprime sous plusieurs formes : refus, insultes ou accusations non fondées. Bon nombre de femmes ont recours aux insultes et ce devant les enfants, les voisins, en plein public et parfois même dans le lieu du travail du conjoint, ce qui porte atteinte à la dignité de l’homme», souligne M. Bahjaji. C’est le cas d’un autre homme, Idriss, accablé par sa femme à cause de sa sexualité.
«Le plus dur, c’est quand ma femme me compare à tel ou tel membre de sa famille en me disant qu’il est meilleur que moi.» C’est là l’une des insultes favorites de certaines épouses qui disent à leurs conjoints qu’il n’est pas comme les autres mâles en utilisant le vocable “siadek”, qui sonne comme un coup de poignard pour tous les hommes qui ont été amenés à entendre de telles injures.
Source: L'expression dz & Maroc Hebdo
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