Il a suffit d’un instant où j’ai hésité
Pour que tu me le fasses à jamais regretter
Depuis je porte en moi le poids de la culpabilité
Je sais désormais que pour l’éternité
Te voir ne serait-ce qu’un instant m’est refusé
Je réalise que pour toujours tu t’en es allé
Je suis restée seule face à ma responsabilité
Entourée, sans doute, noyée dans mes regrets.
Sur une île au milieu de l’océan je voudrais m’y réfugier,
Tenter tout aussi d’oublier mon cœur brisé
De la faute qui ne sera jamais pardonnée.
Une île déserte surtout pour ne plus espérer
Pour me morfondre, crier, hurler et pleurer
Un endroit très isolé pour m’y réfugier.
Un lieu où personne ne verra mes larmes couler.
Tu es parti sans même te retourner,
Je le sais puisque je t’ai observé
Dans mon trou de souris bien caché.
De méchant tu voulais certainement te garder
Mais tu l’as bel et bien été, plus qu’il n’en fallait.
Malgré mes excuses à ton égard répétées
Fallait me dire que tu ne sais pas pardonner
Ou bien que tu ne voulais surtout pas m’excuser.
Je ne cherchais pourtant pas à te les arracher
Mais le mal tu l’as fait sans même t’en douter.
Et pourtant mon cœur t’a pardonné,
Sans que tu aies à me le demander.
Mais, de rien tu ne te doutes puisque jamais
Je ne te dirais ce qu’il m’en coûté
De mettre dans ces quelques vers éparpillés.
Pour moi, réellement un ami tu as été,
Et tu continueras encore dans mon coeur de sommeiller
Puisque mon amour pour toi n’a pas cessé
De déborder de ma poitrine ô mon bien-aimé.
Il ne me reste plus que mes nuits à continuer
Inlassablement et infiniment de te rêver.
A Dieu et à jamais…
Pour que tu me le fasses à jamais regretter
Depuis je porte en moi le poids de la culpabilité
Je sais désormais que pour l’éternité
Te voir ne serait-ce qu’un instant m’est refusé
Je réalise que pour toujours tu t’en es allé
Je suis restée seule face à ma responsabilité
Entourée, sans doute, noyée dans mes regrets.
Sur une île au milieu de l’océan je voudrais m’y réfugier,
Tenter tout aussi d’oublier mon cœur brisé
De la faute qui ne sera jamais pardonnée.
Une île déserte surtout pour ne plus espérer
Pour me morfondre, crier, hurler et pleurer
Un endroit très isolé pour m’y réfugier.
Un lieu où personne ne verra mes larmes couler.
Tu es parti sans même te retourner,
Je le sais puisque je t’ai observé
Dans mon trou de souris bien caché.
De méchant tu voulais certainement te garder
Mais tu l’as bel et bien été, plus qu’il n’en fallait.
Malgré mes excuses à ton égard répétées
Fallait me dire que tu ne sais pas pardonner
Ou bien que tu ne voulais surtout pas m’excuser.
Je ne cherchais pourtant pas à te les arracher
Mais le mal tu l’as fait sans même t’en douter.
Et pourtant mon cœur t’a pardonné,
Sans que tu aies à me le demander.
Mais, de rien tu ne te doutes puisque jamais
Je ne te dirais ce qu’il m’en coûté
De mettre dans ces quelques vers éparpillés.
Pour moi, réellement un ami tu as été,
Et tu continueras encore dans mon coeur de sommeiller
Puisque mon amour pour toi n’a pas cessé
De déborder de ma poitrine ô mon bien-aimé.
Il ne me reste plus que mes nuits à continuer
Inlassablement et infiniment de te rêver.
A Dieu et à jamais…
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