A l’heure où je te voyais comme mon ombre
Que tu m’accompagnais, quand bien même la pénombre
Que tu me dégageais de ces idées parfois trop sombres
Tu t’es montrée autre, avec tes facettes en surnombre…
J’ai eu peur quand tu m’as parlé ainsi, oui
Je l’avoue, c’est vrai, j’ai étouffé mes cris
C’est vrai, tu as raison ce n’était pas la première nuit
Où tu t’imposais à moi en me disant que tout était fini
Et tu as osé partir, me laisser seule dans les bras du vide
Me prêtant comme réconfort cette fin douloureuse et limpide
Tu m’as comme lynchée, riant de mon malheur, de cet œil avide
Tu as écrasé mon cœur comme une victime que l’on trucide !
Mais te rends-tu compte du mal que tu me fais subir ?
Suis-je bête, ton rôle n’est certainement pas de pâtir
Encore moins de revenir pour ces blessures et les guérir
Non, j’oubliais toutes les autres fois où tu as aimé me mentir !
J’ai peur de toi, car même si j’ai beau accepter parfois
Je retombe dans tes bras, je t’admire comme autrefois
Tu m’aveugles, tu m’enlaces et me regagnes pas à pas
Comment fais-tu, dis le moi, pour que je puisse t’aimer comme ça ?
Pauvre de moi, je n’ai pu retenir la leçon, à mes dépends
Tu me pièges sans cesse, et j’ose te dédier candidement
Ces quelques vers qui m’attriste pour le moment, à toi, si tendrement
Oh toi qu’on appelle La Vie, qu’on déteste parfois mais qu’on chérit tant…
Que tu m’accompagnais, quand bien même la pénombre
Que tu me dégageais de ces idées parfois trop sombres
Tu t’es montrée autre, avec tes facettes en surnombre…
J’ai eu peur quand tu m’as parlé ainsi, oui
Je l’avoue, c’est vrai, j’ai étouffé mes cris
C’est vrai, tu as raison ce n’était pas la première nuit
Où tu t’imposais à moi en me disant que tout était fini
Et tu as osé partir, me laisser seule dans les bras du vide
Me prêtant comme réconfort cette fin douloureuse et limpide
Tu m’as comme lynchée, riant de mon malheur, de cet œil avide
Tu as écrasé mon cœur comme une victime que l’on trucide !
Mais te rends-tu compte du mal que tu me fais subir ?
Suis-je bête, ton rôle n’est certainement pas de pâtir
Encore moins de revenir pour ces blessures et les guérir
Non, j’oubliais toutes les autres fois où tu as aimé me mentir !
J’ai peur de toi, car même si j’ai beau accepter parfois
Je retombe dans tes bras, je t’admire comme autrefois
Tu m’aveugles, tu m’enlaces et me regagnes pas à pas
Comment fais-tu, dis le moi, pour que je puisse t’aimer comme ça ?
Pauvre de moi, je n’ai pu retenir la leçon, à mes dépends
Tu me pièges sans cesse, et j’ose te dédier candidement
Ces quelques vers qui m’attriste pour le moment, à toi, si tendrement
Oh toi qu’on appelle La Vie, qu’on déteste parfois mais qu’on chérit tant…
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