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Un grand programme de modernisation des villages et des kseurs sera lancé avant la fin de l’année 2007 dans le cadre du développement rural. Cette annonce a été faite avant-hier par Rachid Benaïssa, ministre délégué chargé du développement rural, lors de son passage au forum de la Chaîne II.
Selon le ministre délégué chargé du développement rural, près de 3 000 villages sont ciblés par ce programme qui s’étalera sur plusieurs années. «La modernisation se fera par étapes et en fonction des besoins exprimés par chaque village concerné par ce projet», a-t-il expliqué, avant d’ajouter qu’«après l’analyse que nous avons effectuée et que nous sommes en train de raffiner avec la population concernée, nous essayerons de concrétiser avec les autorités locales, cette action intégrée autour d’un village ou d’une activité». L’invité de la Radio nationale a, par ailleurs, saisi cette occasion pour réitérer les objectifs tracés par son département en lançant une politique de développement rural. Il est, en effet, revenu sur la stratégie du secteur qui est passé «d’une période d’urgence à une période plus réfléchie». Selon lui, au début de cette opération, «il a fallu agir vite pour répondre à certains besoins jugés important, entre autres, la construction des routes et l’alimentation de certains villages en énergie électrique». «Seulement, dira-t-il, depuis 2003, une nouvelle approche est apparue et a touché au plus près la population. Il s’agit du lancement de 2070 projets de proximité qui sont en cours d’exécution.» Il est à rappeler que ces projets, basés sur l’aspect d’accompagnement, ont touché près de 2 064 ménages et ont permet la création de 93 000 postes d’emploi. Le premier responsable du secteur a tenu également à préciser qu’«il y a eu un écho favorable auprès de la population en dépit des problèmes de communication enregistrés sur ce plan-là». «Le mot rural a depuis quatre ans changé de signification. Il n’est plus synonyme de misère et d’analphabétisme, mais de potentialité et d’avenir», a-t-il souligné. «Actuellement, dira-t-il encore, l’Algérie ne pourra plus se développer d’une manière harmonieuse que si tout le territoire est pris en compte». Il a en outre tenu à rappeler que «sur les 2 541 communes qui existent sur tout le territoire national, 999 sont considérées comme totalement rurales.»
«Sur les 562 communes restantes, certaines ont une partie rurale. C’est le cas de la wilaya d’Alger qui compte six communes rurales qui ont besoin d’accompagnement pour leur développement », a-t-il expliqué.
- Le jeune independant
Selon le ministre délégué chargé du développement rural, près de 3 000 villages sont ciblés par ce programme qui s’étalera sur plusieurs années. «La modernisation se fera par étapes et en fonction des besoins exprimés par chaque village concerné par ce projet», a-t-il expliqué, avant d’ajouter qu’«après l’analyse que nous avons effectuée et que nous sommes en train de raffiner avec la population concernée, nous essayerons de concrétiser avec les autorités locales, cette action intégrée autour d’un village ou d’une activité». L’invité de la Radio nationale a, par ailleurs, saisi cette occasion pour réitérer les objectifs tracés par son département en lançant une politique de développement rural. Il est, en effet, revenu sur la stratégie du secteur qui est passé «d’une période d’urgence à une période plus réfléchie». Selon lui, au début de cette opération, «il a fallu agir vite pour répondre à certains besoins jugés important, entre autres, la construction des routes et l’alimentation de certains villages en énergie électrique». «Seulement, dira-t-il, depuis 2003, une nouvelle approche est apparue et a touché au plus près la population. Il s’agit du lancement de 2070 projets de proximité qui sont en cours d’exécution.» Il est à rappeler que ces projets, basés sur l’aspect d’accompagnement, ont touché près de 2 064 ménages et ont permet la création de 93 000 postes d’emploi. Le premier responsable du secteur a tenu également à préciser qu’«il y a eu un écho favorable auprès de la population en dépit des problèmes de communication enregistrés sur ce plan-là». «Le mot rural a depuis quatre ans changé de signification. Il n’est plus synonyme de misère et d’analphabétisme, mais de potentialité et d’avenir», a-t-il souligné. «Actuellement, dira-t-il encore, l’Algérie ne pourra plus se développer d’une manière harmonieuse que si tout le territoire est pris en compte». Il a en outre tenu à rappeler que «sur les 2 541 communes qui existent sur tout le territoire national, 999 sont considérées comme totalement rurales.»
«Sur les 562 communes restantes, certaines ont une partie rurale. C’est le cas de la wilaya d’Alger qui compte six communes rurales qui ont besoin d’accompagnement pour leur développement », a-t-il expliqué.
- Le jeune independant