S’il est vrai que l’heure est, plutôt, à l’union et la conjugaison des efforts de toutes les forces vives du pays, pour gagner en puissance dans le combat que livre le pays au fléau du terrorisme, il est aussi vrai, qu’il est plus que temps de demander des comptes à ceux qui ont été, et sont encore, derrière l’installation dans le pays, de ce phénomène, jadis absent de nos villes et de nos têtes.
Il est bien beau de lancer chaque jour que le Bon Dieu fait, des hommes de la Nation, dans le combat contre ces énergumènes barbus, qu’on dirait issus d’une obscure machine à voyager dans le temps, des énergumènes dont la principale qualité est la lâcheté et la traitrise, puisqu’ils n’osent jamais se montrer au grand jour, et combattre à la loyale, comme des hommes. Il est bien beau d’envoyer au front, chaque jour, encore plus de héros, qui risquent de ne jamais revenir parmi les leurs. Il est bien beau de promettre du matériel high tech, et des appareils sophistiqués pour les aider dans leur combat. Il est bien beau de promettre des lois anti terroristes qui ne voient toujours pas le jour, pour protéger les héros de la nation dans leur combat pour la survie de la Tunisie…
Tout çà est bien beau, mais il faudrait, tout de même penser, un jour ou l’autre, demander des comptes à toute personne qui a aidé à installer ce fléau dans nos murs. Il faudra que toute personne ayant appelé au Jihad rende des comptes à la Patrie. Il faudra que toute personne ayant minimisé le phénomène au début, ou ayant expliqué la folie de ces énergumènes par des élans de jeunesse rappelant à certains leur propre histoire, rende compte de ces faits. Il faudra que toute personne qui a déclaré que si elle était moins âgée, serait certainement partie au Jihad en Syrie, en rende compte. Il faudra que toute personne ayant fait l’éloge des jihadistes ou ayant appelé au jihad du haut des chaires des imams, en rende compte. Il faudra que toute personne ayant irrémédiablement disloqué le système sécuritaire du pays, en révoquant les compétences et en dissolvant les appareils de l’Etat, en rende compte. Il faudra, aussi que toute personne ayant appelé à la libération de terroristes invétérés de prison au nom d’une connerie d’amnistie ou au nom des soi-disant, droits de l’homme, et toute personne ayant malmené les forces de l’ordre dès qu’ils touchent à un terroriste, en rende compte…
Peut-être, qu’alors, seulement, la Tunisie pourra comprendre l’origine de son malheur, et faire en sorte de traiter le mal à sa racine.
Tunisie numérique
Il est bien beau de lancer chaque jour que le Bon Dieu fait, des hommes de la Nation, dans le combat contre ces énergumènes barbus, qu’on dirait issus d’une obscure machine à voyager dans le temps, des énergumènes dont la principale qualité est la lâcheté et la traitrise, puisqu’ils n’osent jamais se montrer au grand jour, et combattre à la loyale, comme des hommes. Il est bien beau d’envoyer au front, chaque jour, encore plus de héros, qui risquent de ne jamais revenir parmi les leurs. Il est bien beau de promettre du matériel high tech, et des appareils sophistiqués pour les aider dans leur combat. Il est bien beau de promettre des lois anti terroristes qui ne voient toujours pas le jour, pour protéger les héros de la nation dans leur combat pour la survie de la Tunisie…
Tout çà est bien beau, mais il faudrait, tout de même penser, un jour ou l’autre, demander des comptes à toute personne qui a aidé à installer ce fléau dans nos murs. Il faudra que toute personne ayant appelé au Jihad rende des comptes à la Patrie. Il faudra que toute personne ayant minimisé le phénomène au début, ou ayant expliqué la folie de ces énergumènes par des élans de jeunesse rappelant à certains leur propre histoire, rende compte de ces faits. Il faudra que toute personne qui a déclaré que si elle était moins âgée, serait certainement partie au Jihad en Syrie, en rende compte. Il faudra que toute personne ayant fait l’éloge des jihadistes ou ayant appelé au jihad du haut des chaires des imams, en rende compte. Il faudra que toute personne ayant irrémédiablement disloqué le système sécuritaire du pays, en révoquant les compétences et en dissolvant les appareils de l’Etat, en rende compte. Il faudra, aussi que toute personne ayant appelé à la libération de terroristes invétérés de prison au nom d’une connerie d’amnistie ou au nom des soi-disant, droits de l’homme, et toute personne ayant malmené les forces de l’ordre dès qu’ils touchent à un terroriste, en rende compte…
Peut-être, qu’alors, seulement, la Tunisie pourra comprendre l’origine de son malheur, et faire en sorte de traiter le mal à sa racine.
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