Un litre d’eau potable sur 5 consommés par les citoyens algériens proviendra, d’ici à 2018, du dessalement d’eau de mer, a affirmé lundi à Constantine, le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib.
Actuellement, 14 % du volume distribué provient de l’eau dessalée, a souligné le ministre au cours du forum de la chaîne 1 de la radio nationale retransmis depuis la station de Constantine, durant lequel il s’est attardé sur "l’impact de la diversification des ressources en eau pour (à) sécuriser la fourniture du précieux liquide aux populations".
Avec la réalisation des différentes opérations inscrites dans le cadre du développement du secteur, l’Algérie disposera de 13 stations de dessalement d’eau de mer, a indiqué le ministre après avoir mis l’accent sur l’importance du "choix stratégique de diversifier les ressources en eau, adopté par l’Etat depuis les années 2000".
M. Necib a également affirmé que son secteur a projeté, dans le cadre d’une vision prospective, "d’importants investissements" en mesure de répondre aux besoins des Algériens jusqu’à 2030.
Le ministre a par ailleurs affirmé, au cours de ce forum, que les pouvoirs publics continueront de soutenir les tarifs de l’eau, avant de préciser, à ce propos, que le coût du mètre cube coûte à l’Etat entre 40 et 120 dinars selon la topographie et la nature des sites où la ressource est exploitée.
APS
Actuellement, 14 % du volume distribué provient de l’eau dessalée, a souligné le ministre au cours du forum de la chaîne 1 de la radio nationale retransmis depuis la station de Constantine, durant lequel il s’est attardé sur "l’impact de la diversification des ressources en eau pour (à) sécuriser la fourniture du précieux liquide aux populations".
Avec la réalisation des différentes opérations inscrites dans le cadre du développement du secteur, l’Algérie disposera de 13 stations de dessalement d’eau de mer, a indiqué le ministre après avoir mis l’accent sur l’importance du "choix stratégique de diversifier les ressources en eau, adopté par l’Etat depuis les années 2000".
M. Necib a également affirmé que son secteur a projeté, dans le cadre d’une vision prospective, "d’importants investissements" en mesure de répondre aux besoins des Algériens jusqu’à 2030.
Le ministre a par ailleurs affirmé, au cours de ce forum, que les pouvoirs publics continueront de soutenir les tarifs de l’eau, avant de préciser, à ce propos, que le coût du mètre cube coûte à l’Etat entre 40 et 120 dinars selon la topographie et la nature des sites où la ressource est exploitée.
APS
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