Bank al-Maghrib, la banque centrale marocaine indique maintenir son principal taux directeur inchangé à 2,5% et prévoit une croissance de l'économie de 5% en 2015.
Une croissance de 5% pour l'économie marocaine en 2015. C'est ce que prévoit Bank Al Maghrib (BAM), la banque centrale marocaine dans sa note trimestrielle sur la politique monétaire publiée mardi 24 mars à l'issue de son conseil.
Bank Al Maghrib au cours de celui-ci a décidé de maintenir son taux directeur à son niveau actuel, soit 2,5%, après l'avoir abaissé à deux reprises l'an dernier en septembre et décembre.
La raison de ces bonnes nouvelles est due "aux indicateurs positifs stimulés par la baisse des prix du pétrole" indique BAM.
Quant à la prévision de croissance, après un terne taux de croissance de 2,5% enregistré en 2014, le rapport trimestriel de Bank Al Maghrib se base sur l'hypothèse d'une forte campagne agricole, une production industrielle accrue et une baisse de 45% attendues dans les dépenses d'énergie".
Ces facteurs auront selon Bank al Maghrib un impact positif sur le déficit du compte courant qui pourrait lui baisser de 5,9% à 4% du PIB cette même année.
usine nouvelle
Une croissance de 5% pour l'économie marocaine en 2015. C'est ce que prévoit Bank Al Maghrib (BAM), la banque centrale marocaine dans sa note trimestrielle sur la politique monétaire publiée mardi 24 mars à l'issue de son conseil.
Bank Al Maghrib au cours de celui-ci a décidé de maintenir son taux directeur à son niveau actuel, soit 2,5%, après l'avoir abaissé à deux reprises l'an dernier en septembre et décembre.
La raison de ces bonnes nouvelles est due "aux indicateurs positifs stimulés par la baisse des prix du pétrole" indique BAM.
Quant à la prévision de croissance, après un terne taux de croissance de 2,5% enregistré en 2014, le rapport trimestriel de Bank Al Maghrib se base sur l'hypothèse d'une forte campagne agricole, une production industrielle accrue et une baisse de 45% attendues dans les dépenses d'énergie".
Ces facteurs auront selon Bank al Maghrib un impact positif sur le déficit du compte courant qui pourrait lui baisser de 5,9% à 4% du PIB cette même année.
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