De l’aveu même du ministre de l’Education nationale, l’école publique au Maroc a touché le fond. Selon Rachid Benmokhtar, 76% des élèves ne savent ni lire ni écrire après quatre années passées au primaire. Pour sa nouvelle stratégie, dont les premières mesures seront appliquées à partir de l’année prochaine, le ministère a sondé les avis de 100.000 personnes parmi les intervenants du système, dont 68.000 enseignants. A.Na
Leconomiste du 20 Mars 2015
Leconomiste du 20 Mars 2015
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