Ca se passe en Mauritanie, hier vendredi 27 mars. L’actuel président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz ordonne l’arrêt de la diffusion en direct de sa rencontre avec des journalistes. Le faits que les journalistes ont été (quasiment) triés sur le volet n’a pas suffit à éviter ses sauts d’humeurs. « TFII TELVEZE, TFI BEUSS » ou littéralement « ÉTEINT LA TELE, COUPE LA RETRANSMISSION ».
En bon militaire, il connait l’art de « l’intimidation des journalistes ».
Le président dit au journaliste Ahmed Wadiaa qui n’a pas sa langue dans sa poche « Tu fais comme les autres ou tu part. ça veut dire quoi ça hein. Tu ne posera pas 3 questions ce soir ». Le journaliste répond » Non je ne partirai pas, je vais poser des questions. Le président rétorque « PARTEZ TOUS ».
Furieux, le président ordonne l’arrêt immédiat de la diffusion.
Chose que le « journaliste-modérateur » va exécuter en demandant à la régit de couper la retransmission.
Rappelons qu’Ould Abdel Aziz est arrivé au pouvoir par un coup d’Etat militaire en 2008, avant de se présenter aux présidentielles de 2009 qu’il remporta, il fut réélu avec un score nord coréen (plus de 80%), en 2014.
Cette histoire, continue 24 heures après, de faire couler encre et salive.
Afrique 360
En bon militaire, il connait l’art de « l’intimidation des journalistes ».
Le président dit au journaliste Ahmed Wadiaa qui n’a pas sa langue dans sa poche « Tu fais comme les autres ou tu part. ça veut dire quoi ça hein. Tu ne posera pas 3 questions ce soir ». Le journaliste répond » Non je ne partirai pas, je vais poser des questions. Le président rétorque « PARTEZ TOUS ».
Furieux, le président ordonne l’arrêt immédiat de la diffusion.
Chose que le « journaliste-modérateur » va exécuter en demandant à la régit de couper la retransmission.
Rappelons qu’Ould Abdel Aziz est arrivé au pouvoir par un coup d’Etat militaire en 2008, avant de se présenter aux présidentielles de 2009 qu’il remporta, il fut réélu avec un score nord coréen (plus de 80%), en 2014.
Cette histoire, continue 24 heures après, de faire couler encre et salive.
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