Les universitaires et les hommes de science algériens ont légitimement le droit de s’exprimer sur ce genre questions qui les concernent en un premier lieu, et en second lieu ont trait au développement du pays. Si critiques il y a, cela n’inquiète pas, mais rassure plutôt sur l’engagement de la communauté scientifique. Tant mieux. On ne viendra pas nous accuser de ne pas avoir initié de débat. Nous avons été effectivement réceptifs aux sollicitations formulées par certains, et également attentifs à la perception que se sont fait les médias sur la question.
Car il est aussi important de sensibiliser la communauté scientifique algérienne que la population et l’opinion publique sur ce nouvel acquis pour le pays. L’idée de la création d’une seule Académie des sciences et des technologies a été retenue. Cette dernière est le résultat de consultations ayant fait consensus et paraît viable dans le cas de l’Algérie pour assurer une couverture rigoureuse des différentes disciplines en sciences et dans les technologies. Les grands domaines des sciences retenus sont : les mathématiques, la physique, la chimie, l’informatique, les sciences de la terre et de l’univers, les sciences de la vie et de la nature, les sciences médicales et les sciences de l’ingénieur.
Le projet de la création de l’Académie, initié d’abord par le Conseil national économique et social (CNES) a été conduit ensuite par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. En toute transparence.
Un comité de suivi a été institué pour accompagner le processus de mise en place de cette institution scientifique et regroupe outre des universi- taires, les représentants de onze départements ministé- riels : ministère de l’Industrie et des Mines, ministère de l’Energie, ministère de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication, ministère des Trans- ports, ministère de la Défense nationale, ministère de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, ministère des Travaux publics, ministère de l’ Agriculture et du Développement rural, ministère des Ressources en eau, ministère de la Santé publique et de la Réforme hospitalière, ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques.
Preuve que les choses ne se font pas en catimini comme le prétendent certains. J’aimerais enfin pondérer les propos critiques formulés à l’égard des responsables en charge du projet et d’in- sister que le terme «irrégularité» n’a pas lieu de cité ; nous avons été extrêmement diligents afin de lever toute prétendue ambiguïté exprimée par d’aucuns.
Des ambiguïtés - bien réelles celles-là - ont été effectivement constatées - par notre rédaction notamment - relatives à la date limite erronée qui a été communiquée sur le site officiel. N’y a-t-il pas là de quoi alimenter les pressentiments légitimes de certains ?
Il s’agit en fait d’un malencontreux malentendu, et je tiens justement à rassurer toute la communauté scientifique que l’appel à candidature est toujours ouvert, les scientifiques disposent encore d’une échéance largement suffisante de se porter candidat pour faire partie du noyau fondateur de la future Académie des sciences. Profitons de cet entretien pour rappeler – officiellement - que le dépôt des dossiers de candidature est bel et bien ouvert.
La date limite de clôture est fixée au 7 mai 2015, et même passé ce délai, le plus grand nombre de scienti- fiques aura toujours l’opportunité d’être coopté par ses pairs en toute transparence et dans le respect de l’éthique scienti- fique. L’Algérie, en tant que pays majeur du continent africain, gagnerait à se doter d’une telle autorité scientifique suprême, sachant que tous les indicateurs lui reconnaissent l’élite la plus consistante d’ Afrique et des pays arabes exerçant en Algérie et à l’étranger.
Aujourd’hui, cette élite est en attente d’une représen- tation nécessaire à son expression et à sa visibilité dans le monde. A ce titre, il convient de rappeler que l’élite scienti-fique est la frange la plus astreinte à faire preuve de responsabilité quant au respect de la déontologie ; aussi, ne laissons pas la subjectivité des ego des uns et les ambitions suspectes de mauvaise foi ternir l’image de cette entreprise censée rehausser le statut de nos scientifiques en leur octroyant la visibilité internationale, la représentativité ainsi que l’autonomie et l’indépendance indispensables à l’en- treprise scientifique.
Car il est aussi important de sensibiliser la communauté scientifique algérienne que la population et l’opinion publique sur ce nouvel acquis pour le pays. L’idée de la création d’une seule Académie des sciences et des technologies a été retenue. Cette dernière est le résultat de consultations ayant fait consensus et paraît viable dans le cas de l’Algérie pour assurer une couverture rigoureuse des différentes disciplines en sciences et dans les technologies. Les grands domaines des sciences retenus sont : les mathématiques, la physique, la chimie, l’informatique, les sciences de la terre et de l’univers, les sciences de la vie et de la nature, les sciences médicales et les sciences de l’ingénieur.
Le projet de la création de l’Académie, initié d’abord par le Conseil national économique et social (CNES) a été conduit ensuite par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. En toute transparence.
Un comité de suivi a été institué pour accompagner le processus de mise en place de cette institution scientifique et regroupe outre des universi- taires, les représentants de onze départements ministé- riels : ministère de l’Industrie et des Mines, ministère de l’Energie, ministère de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication, ministère des Trans- ports, ministère de la Défense nationale, ministère de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, ministère des Travaux publics, ministère de l’ Agriculture et du Développement rural, ministère des Ressources en eau, ministère de la Santé publique et de la Réforme hospitalière, ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques.
Preuve que les choses ne se font pas en catimini comme le prétendent certains. J’aimerais enfin pondérer les propos critiques formulés à l’égard des responsables en charge du projet et d’in- sister que le terme «irrégularité» n’a pas lieu de cité ; nous avons été extrêmement diligents afin de lever toute prétendue ambiguïté exprimée par d’aucuns.
Des ambiguïtés - bien réelles celles-là - ont été effectivement constatées - par notre rédaction notamment - relatives à la date limite erronée qui a été communiquée sur le site officiel. N’y a-t-il pas là de quoi alimenter les pressentiments légitimes de certains ?
Il s’agit en fait d’un malencontreux malentendu, et je tiens justement à rassurer toute la communauté scientifique que l’appel à candidature est toujours ouvert, les scientifiques disposent encore d’une échéance largement suffisante de se porter candidat pour faire partie du noyau fondateur de la future Académie des sciences. Profitons de cet entretien pour rappeler – officiellement - que le dépôt des dossiers de candidature est bel et bien ouvert.
La date limite de clôture est fixée au 7 mai 2015, et même passé ce délai, le plus grand nombre de scienti- fiques aura toujours l’opportunité d’être coopté par ses pairs en toute transparence et dans le respect de l’éthique scienti- fique. L’Algérie, en tant que pays majeur du continent africain, gagnerait à se doter d’une telle autorité scientifique suprême, sachant que tous les indicateurs lui reconnaissent l’élite la plus consistante d’ Afrique et des pays arabes exerçant en Algérie et à l’étranger.
Aujourd’hui, cette élite est en attente d’une représen- tation nécessaire à son expression et à sa visibilité dans le monde. A ce titre, il convient de rappeler que l’élite scienti-fique est la frange la plus astreinte à faire preuve de responsabilité quant au respect de la déontologie ; aussi, ne laissons pas la subjectivité des ego des uns et les ambitions suspectes de mauvaise foi ternir l’image de cette entreprise censée rehausser le statut de nos scientifiques en leur octroyant la visibilité internationale, la représentativité ainsi que l’autonomie et l’indépendance indispensables à l’en- treprise scientifique.
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