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Le jeudi 26 mars 2015 une première en Tunisie a eu lieu avec une manifestation de gays et d’homosexuels tunisiens, qui a été organisée par l’association lesbiennes, gays, bisexuels et transsexuels (LGBT) dans le cadre du Forum Social Mondial.
Même si cette manifestation n’a connue la participation que d’une trentaine de personnes, les activistes de la LGBT ont quand même tenus à dénoncer la discrimination dont ils sont sujets, tout en appelant les autorités tunisiennes à dépénaliser l’homosexualité en Tunisie, qui est passible d’une peine pouvant aller jusqu’à 3 ans de prison ferme.
Les manifestants de la LGBT ont cependant été soutenus par certains hétérosexuels qui jugent que la sexualité est une question qui relève de la vie privée de chacun, et que l’État ne devrait pas s’en mêler et encore moins infliger une peine de prise aux homosexuels.
Ci-dessous le témoignage de « Sam » un homosexuel de 23 ans habitant à la Banlieue Nord de Tunis :
«Il est possible de changer les choses, de faire évoluer les mentalités et de casser les préjugés, mais pour réussir, nous devons bouger et être unis. En Tunisie, nous sommes traités comme des pestiférés et beaucoup d’entre nous ont été victimes d’agressions gratuites»
Source: webmanagercenter
Même si cette manifestation n’a connue la participation que d’une trentaine de personnes, les activistes de la LGBT ont quand même tenus à dénoncer la discrimination dont ils sont sujets, tout en appelant les autorités tunisiennes à dépénaliser l’homosexualité en Tunisie, qui est passible d’une peine pouvant aller jusqu’à 3 ans de prison ferme.
Les manifestants de la LGBT ont cependant été soutenus par certains hétérosexuels qui jugent que la sexualité est une question qui relève de la vie privée de chacun, et que l’État ne devrait pas s’en mêler et encore moins infliger une peine de prise aux homosexuels.
Ci-dessous le témoignage de « Sam » un homosexuel de 23 ans habitant à la Banlieue Nord de Tunis :
«Il est possible de changer les choses, de faire évoluer les mentalités et de casser les préjugés, mais pour réussir, nous devons bouger et être unis. En Tunisie, nous sommes traités comme des pestiférés et beaucoup d’entre nous ont été victimes d’agressions gratuites»
Source: webmanagercenter
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