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L’Algérie et l’Afrique du Sud envisagent de créer une filiale mixte de transport aérien, a indiqué le ministre de l'Industrie et des mines, Abdesselam Bouchouareb lors de la rencontre économique algéro-sud-africaine, tenue à l'occasion de la visite du président Jacob Zuma à Alger.
Outre le secteur des mines où l'Afrique du Sud capitalise une longue expérience, l’Algérie souhaite renforcer la coopération bilatérale dans l'agro-alimentaire, l'industrie électrique, l'électronique, l'automobile, le textile, l'industrie pharmaceutique et des TIC, le bâtiment, les travaux publics ainsi que l'énergie.
Ces domaines qui offrent des opportunités de partenariat peuvent permettre aux deux pays, explique le ministre, de produire des « synergies nouvelles pour aller s'imposer en Afrique et partout ailleurs où des opportunités les appellent ».
D’ailleurs, pour concrétiser cette volonté d’œuvrer ensemble pour donner naissance à une « réussites africaines exemplaires », un comité mixte multisectoriel a été créé entre les deux pays. Ce comité, dira le ministre, aura pour mission de promouvoir les opportunités d'affaires et d'investissement notamment dans le domaine industriel, de suivre et d'évaluer l'avancement des projets de partenariat.
Il aura à examiner prochainement la création d'une filiale mixte de transport aérien et l'ouverture d'une ligne directe entre les deux pays, a-t-il ajouté sans pour autant donner plus de détail à ce sujet.
Un moteur de développement pour l'Afrique
Le raffermissement des relations bilatérales entre les deux pays dans la perspective d’être la locomotive de l’intégration économique en Afrique a été également au centre de l’intervention du ministre de l’Industrie et des mines.
L'objectif ultime est de créer un moteur de développement pour l'Afrique, souligne M. Bouchouareb ajoutant que les efforts des deux pays dans le cadre de l'initiative du Nepad (Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique) témoignent de cette volonté de « réinventer l'avenir du continent ». « L'action algéro-sud-africaine a les moyens de transcender le cadre bilatéral pour promouvoir l'intégration économique africaine. Pour y parvenir, nous devons, au préalable, hisser nos liens économiques bilatéraux au niveau de la qualité de nos relations politiques », a-t-il encore noté.
Le vice-ministre sud-africain du Commerce et de l'industrie, Mzwandile Masina dira à ce propos que l'intégration économique africaine reste tributaire de l'efficacité de la communauté d'affaires qui doivent traduire les efforts déployés dans la promotion des opportunités de partenariat par une croissance continue des volumes d'échange.
Il est à signaler qu’une rencontre d'affaires (B to B) a été organisée lors de cette rencontre entre des opérateurs des deux pays notamment des secteurs de l'énergie et des mines, des télécoms, de la construction et du transport maritime.
leconews
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Outre le secteur des mines où l'Afrique du Sud capitalise une longue expérience, l’Algérie souhaite renforcer la coopération bilatérale dans l'agro-alimentaire, l'industrie électrique, l'électronique, l'automobile, le textile, l'industrie pharmaceutique et des TIC, le bâtiment, les travaux publics ainsi que l'énergie.
Ces domaines qui offrent des opportunités de partenariat peuvent permettre aux deux pays, explique le ministre, de produire des « synergies nouvelles pour aller s'imposer en Afrique et partout ailleurs où des opportunités les appellent ».
D’ailleurs, pour concrétiser cette volonté d’œuvrer ensemble pour donner naissance à une « réussites africaines exemplaires », un comité mixte multisectoriel a été créé entre les deux pays. Ce comité, dira le ministre, aura pour mission de promouvoir les opportunités d'affaires et d'investissement notamment dans le domaine industriel, de suivre et d'évaluer l'avancement des projets de partenariat.
Il aura à examiner prochainement la création d'une filiale mixte de transport aérien et l'ouverture d'une ligne directe entre les deux pays, a-t-il ajouté sans pour autant donner plus de détail à ce sujet.
Un moteur de développement pour l'Afrique
Le raffermissement des relations bilatérales entre les deux pays dans la perspective d’être la locomotive de l’intégration économique en Afrique a été également au centre de l’intervention du ministre de l’Industrie et des mines.
L'objectif ultime est de créer un moteur de développement pour l'Afrique, souligne M. Bouchouareb ajoutant que les efforts des deux pays dans le cadre de l'initiative du Nepad (Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique) témoignent de cette volonté de « réinventer l'avenir du continent ». « L'action algéro-sud-africaine a les moyens de transcender le cadre bilatéral pour promouvoir l'intégration économique africaine. Pour y parvenir, nous devons, au préalable, hisser nos liens économiques bilatéraux au niveau de la qualité de nos relations politiques », a-t-il encore noté.
Le vice-ministre sud-africain du Commerce et de l'industrie, Mzwandile Masina dira à ce propos que l'intégration économique africaine reste tributaire de l'efficacité de la communauté d'affaires qui doivent traduire les efforts déployés dans la promotion des opportunités de partenariat par une croissance continue des volumes d'échange.
Il est à signaler qu’une rencontre d'affaires (B to B) a été organisée lors de cette rencontre entre des opérateurs des deux pays notamment des secteurs de l'énergie et des mines, des télécoms, de la construction et du transport maritime.
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