Le printemps avait raison de s'attarder à venir,
neige s'empile sur les cœurs, serrant leurs poitrines, ressortant la rage d'un mot de trop.
Comme cette jeune mère qui, le jour de la naissance de sa fille, sa propre mère lui apprend qu'elle n'a pas été voulu car fille, entre d'autres filles, que sa fille connaîtra le même sort, le sort d’être de trop ... de se faire ignorer par le mâle.
Comme cet autre enfant à qui on a dit qu'il ressemble à son père lorsqu'il ne plait pas , père qui a trahi l’innocence de la mère.
Ou comme un jour ou rien ne va comme dans un déjà vu, on s'efforce à aller affronter, mais quelle erreur de ne pas s'avoir s'écouter, d’être égoïste un peu pour soi-même , de se dire ils s'en sortiront laisse les faire, mais non, on se pousse encore, par loyauté ou par gêne, on se met des lourdeurs sur les épaules et sur le cœur,
Mais qu'au final, leurs yeux ne regardent pas les tiens, quand ils suivent le livre à la lettre, quand les plaintes dépassent la gratitude, quand l'acharnement devient une obligation, quand cette douleur nous monte à la poitrine et quand le cri reste mué, quand les yeux montrent cette expression de peine infinie et s'y noient dedans..
Ce jour la, au Diable la politesse et le calme , au diable ceux qui ne calculent l'étendu de leurs mots, exploses et laisses la sueur sortir de ton front, n'essuies pas tes larmes et si ton souffle se coupe et mots s'éssoufflent , alors hurles !
Mais demain.. ne soit pas gêné de ton courage.
neige s'empile sur les cœurs, serrant leurs poitrines, ressortant la rage d'un mot de trop.
Comme cette jeune mère qui, le jour de la naissance de sa fille, sa propre mère lui apprend qu'elle n'a pas été voulu car fille, entre d'autres filles, que sa fille connaîtra le même sort, le sort d’être de trop ... de se faire ignorer par le mâle.
Comme cet autre enfant à qui on a dit qu'il ressemble à son père lorsqu'il ne plait pas , père qui a trahi l’innocence de la mère.
Ou comme un jour ou rien ne va comme dans un déjà vu, on s'efforce à aller affronter, mais quelle erreur de ne pas s'avoir s'écouter, d’être égoïste un peu pour soi-même , de se dire ils s'en sortiront laisse les faire, mais non, on se pousse encore, par loyauté ou par gêne, on se met des lourdeurs sur les épaules et sur le cœur,
Mais qu'au final, leurs yeux ne regardent pas les tiens, quand ils suivent le livre à la lettre, quand les plaintes dépassent la gratitude, quand l'acharnement devient une obligation, quand cette douleur nous monte à la poitrine et quand le cri reste mué, quand les yeux montrent cette expression de peine infinie et s'y noient dedans..
Ce jour la, au Diable la politesse et le calme , au diable ceux qui ne calculent l'étendu de leurs mots, exploses et laisses la sueur sortir de ton front, n'essuies pas tes larmes et si ton souffle se coupe et mots s'éssoufflent , alors hurles !
Mais demain.. ne soit pas gêné de ton courage.
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