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Conférence du consensus : les aveux du FFS

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  • Conférence du consensus : les aveux du FFS

    Le FFS a admis, ce dimanche 5 avril, que la conférence nationale du consensus qu’il entend organiser rencontre des «obstacles» et des « résistances ».
    «Ce qui a été entrepris est considérable, le parti continue d’explorer les chemins du consensus. Cette démarche enregistre des avancées mais rencontre aussi des obstacles et des résistances. Certaines déclarations ou certains commentaires médiatiques donnent, parfois, l’impression qu’il existe une unanimité contre le parti et son projet », a affirmé le premier secrétaire du parti, Mohamed Nebou dans un appel aux militants du parti pour une mobilisation en perspective d’un grand meeting populaire prévu le 18 avril prochain à la salle Atlas, à Alger.
    Mais en dépit de ces obstacles, le FFS se montre optimiste même s’il relève également « l’absence de volonté politique exprimée chez le pouvoir». « En haut, c’est le statut quo chez les gouvernants, mais en bas la société est en mouvement. Notre initiative, malgré des difficultés conjoncturelles et l’absence d’une volonté politique clairement exprimée par le pouvoir, demeure riche d’espoirs et finira, étant incontournable, par aboutir. J’en suis convaincu », écrit Mohamed Nebou.
    Malgré les difficultés, le parti qui projetait d’organiser la conférence de consensus avant la fin de l’année écoulée, avant de fixer la date du 23 février en cours pour enfin la reporter à une date ultérieure, est déterminé à mener à bon port son projet.
    Par Sonia Lyes
    TSA
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    les doutes du FFS

    Il relève l’absence de volonté chez le pouvoir et l’existence “d’obstacles” et de “résistances”



    “Ce qui a été entrepris est considérable”, estime le FFS, mais la démarche “rencontre aussi des obstacles et des résistances”, ajoute-t-il, évoquant “une unanimité contre le parti et son projet”.
    La construction du consensus national s’annonce comme un véritable parcours du combattant pour le FFS. Le parti, qui en a fait son sacerdoce depuis son cinquième congrès, réalise aujourd’hui toute la complexité et la difficulté pour réaliser cet objectif. Non pas par manque de volonté, mais en raison de l’existence “d’obstacles” et de “résistances”, mais aussi par “l’absence de volonté chez le pouvoir”. Et c’est le premier secrétaire du parti, Mohamed Nebbou, qui en fait ce constat amer dans un appel aux militants et aux militantes du parti en perspective d’un grand rassemblement que le parti projette d’organiser le 18 avril prochain à la salle Atlas, à Alger. “Ce qui a été entrepris est considérable, le parti continue d’explorer les chemins du consensus ; cette démarche enregistre des avancées, mais rencontre aussi des obstacles et des résistances. Certaines déclarations ou certains commentaires médiatiques donnent, parfois, l’impression qu’il existe une unanimité contre le parti et son projet”, déplore le FFS dans cet appel rendu public hier.
    “En haut, c’est le statu quo chez les gouvernants, mais en bas, la société est en mouvement
    “Chers camarades, notre initiative, malgré des difficultés conjoncturelles et l’absence d’une volonté politique clairement exprimée par le pouvoir, demeure riche d’espoirs et finira, étant incontournable, par aboutir. J’en suis convaincu”, écrit Mohamed Nebbou, qui ne dissimule pas l’optimisme du parti de mener à bon port ce projet malgré l’adversité. Pour au moins deux raisons : “Les raisons d’espérer sont toujours là, bien présentes ; d’abord, notre projet répond aux besoins de la situation actuelle de notre pays ; ensuite, la société algérienne montre un intérêt politique réel envers notre action.”
    Le FFS ne se laisse pas décourager et se dit déterminé à relever le défi qu’il s’est fixé. “Certes, la route est longue et difficile, mais c’est la seule voie pour un changement réel dans le pays. Forts de cette conviction, nous sommes déterminés à poursuivre la mobilisation du parti, la mobilisation des Algériennes et des Algériens, la mobilisation des forces politiques et sociales conscientes pour réaliser cet objectif.” “Plus que jamais, l’Algérie a besoin de transformations politiques, économiques, sociales et culturelles dans un contexte interne, régional et international instable et préoccupant”, conclut le texte. Initialement prévue par le FFS pour la fin de l’année écoulée, la conférence nationale du consensus a été fixée pour le 23 février avant de voir le parti la renvoyer à une date ultérieure, faute d’avoir réussi à regrouper autour de son initiative toutes les forces politiques dans leurs diverses obédiences.
    K. K.
    LIBERTE
    dz(0000/1111)dz

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    • #3
      Le FFS ne se laisse pas décourager et se dit déterminé à relever le défi qu’il s’est fixé
      l'algerie est la maison de tout les forces politique ..

      le choix politique de la futur nouvelle repulique algerien doit ètre basé sur la démocratisation du pauvoir
      dz(0000/1111)dz

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