Rabat 1 - Alger 0
Au moment où Mezouar et Kerry scellaient un nouvel épisode du dialogue stratégique Maroc-USA, Ban Ki-moon recevait de notre ministre des Affaires étrangères, une lettre ferme et déterminée. Le royaume vient d'exprimer au secrétaire général de l'ONU son refus catégorique de voir l'Union africaine (UA) essayer de s'immiscer dans le processus de règlement du conflit du Sahara. Les mots directs, secs et sans détour dénotent de ce que l'on appelle, depuis un moment, le «new style» marocain dans le traitement des relations étrangères. S'agissant du dossier du Sahara, l'UA, manipulée par l'Algérie, essaye d'imposer son «émissaire» chargé de l'affaire du Sahara. Une initiative, dont l'hostilité au Maroc est à peine voilée, ne peut qu'être vouée à l'échec. Car le Maroc, depuis quatre décennies, a traité ce sujet très sensible dans le cadre d'une approche onusienne. Or, lassés de voir toutes leurs manigances réduites à néant par les puissances chargées de ce dossier, les Algériens tentent une ultime hypocrisie pour porter préjudice à notre cause nationale, mais c'était sans compter avec la fermeté de la diplomatie marocaine. Une détermination testée par l'ONU elle-même quant à la nécessité de neutralité de l'émissaire onusien pour ce dossier épineux. Maintenant, certes nous avons gagné cette bataille, mais nos adversaires ne s'avouent pas pour autant vaincus et vont ressortir d'autres «armes» pour nous déstabiliser, notamment à l'approche de chaque échéance de renouvellement du mandat de la Minurso. Restons vigilants !
leseco
Au moment où Mezouar et Kerry scellaient un nouvel épisode du dialogue stratégique Maroc-USA, Ban Ki-moon recevait de notre ministre des Affaires étrangères, une lettre ferme et déterminée. Le royaume vient d'exprimer au secrétaire général de l'ONU son refus catégorique de voir l'Union africaine (UA) essayer de s'immiscer dans le processus de règlement du conflit du Sahara. Les mots directs, secs et sans détour dénotent de ce que l'on appelle, depuis un moment, le «new style» marocain dans le traitement des relations étrangères. S'agissant du dossier du Sahara, l'UA, manipulée par l'Algérie, essaye d'imposer son «émissaire» chargé de l'affaire du Sahara. Une initiative, dont l'hostilité au Maroc est à peine voilée, ne peut qu'être vouée à l'échec. Car le Maroc, depuis quatre décennies, a traité ce sujet très sensible dans le cadre d'une approche onusienne. Or, lassés de voir toutes leurs manigances réduites à néant par les puissances chargées de ce dossier, les Algériens tentent une ultime hypocrisie pour porter préjudice à notre cause nationale, mais c'était sans compter avec la fermeté de la diplomatie marocaine. Une détermination testée par l'ONU elle-même quant à la nécessité de neutralité de l'émissaire onusien pour ce dossier épineux. Maintenant, certes nous avons gagné cette bataille, mais nos adversaires ne s'avouent pas pour autant vaincus et vont ressortir d'autres «armes» pour nous déstabiliser, notamment à l'approche de chaque échéance de renouvellement du mandat de la Minurso. Restons vigilants !
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