L’ennemi de la Libye est « le terrorisme, l’instabilité et le chaos », a estimé Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, à l’ouverture du deuxième round des pourparlers inter-libyens, ce lundi 13 avril à Alger.
Plus de 20 leaders politiques libyens étaient présents autour de la table des discussions pour le second round de négociations qu’accueille l’Algérie. Le mot d’ordre était à l’optimisme. « Nous sommes ouverts au dialogue. Si nous sommes là c’est forcément pour trouver des solutions », a déclaré un des participants.
Mohamed Saouan, président du Parti de la justice et de la construction a, également, salué cette initiative dans une déclaration faite à TSA. Interrogé sur la principale revendication de son parti, il explique : « Ce deuxième round vise à étudier le projet d’accord que nous avons établi lors des premières discutions. Nous n’avons pas de revendications particulières. Le but est de renforcer le dialogue ».
Abdelkader Messahel a appelé à un cessez-le-feu, en affirmant que la solution de paix passe par le dialogue. Un avis partagé par Bernardino Leon, l’émissaire des Nations unies pour la Libye. « Nous devons faire passer à travers cette rencontre un message fort : plus aucun Libyen ne doit perdre la vie », a-t-il souhaité, en dénonçant les attaques perpétrées contre l’ambassade du Maroc et de la Corée du Sud en Libye.
Arriver à un accord de paix ne sera pas une mince affaire, selon l’émissaire des Nations unies pour la Libye, même s’il reste optimiste.
TSA
Plus de 20 leaders politiques libyens étaient présents autour de la table des discussions pour le second round de négociations qu’accueille l’Algérie. Le mot d’ordre était à l’optimisme. « Nous sommes ouverts au dialogue. Si nous sommes là c’est forcément pour trouver des solutions », a déclaré un des participants.
Mohamed Saouan, président du Parti de la justice et de la construction a, également, salué cette initiative dans une déclaration faite à TSA. Interrogé sur la principale revendication de son parti, il explique : « Ce deuxième round vise à étudier le projet d’accord que nous avons établi lors des premières discutions. Nous n’avons pas de revendications particulières. Le but est de renforcer le dialogue ».
Abdelkader Messahel a appelé à un cessez-le-feu, en affirmant que la solution de paix passe par le dialogue. Un avis partagé par Bernardino Leon, l’émissaire des Nations unies pour la Libye. « Nous devons faire passer à travers cette rencontre un message fort : plus aucun Libyen ne doit perdre la vie », a-t-il souhaité, en dénonçant les attaques perpétrées contre l’ambassade du Maroc et de la Corée du Sud en Libye.
Arriver à un accord de paix ne sera pas une mince affaire, selon l’émissaire des Nations unies pour la Libye, même s’il reste optimiste.
TSA
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